Le
Symbole de Nicée est une profession solennelle de la foi. Il condamne
clairement l’erreur d’Arius et tous ceux qui ne croient pas en la divinité de
Notre Seigneur Jésus-Christ. Cependant, il n’est pas suffisant pour faire taire
les hérétiques. Au contraire, il semble désormais être le point de départ d’une
nouvelle crise au sein de l'Église. Le Concile de Constantinople (381) mettra définitivement fin à ces
divisions en proclamant un nouveau symbole plus précis. Ce fait historique pourrait
alors nous faire croire en un progrès possible du dogme. Les adversaires du
christianisme mettent aussi en exergue cet exemple pour montrer la stupidité et
la puérilité des chrétiens qui se battent dans de vaines disputes [14]. Il peut alors
s’avérer comme un redoutable argument contre l’Église et notre foi. Mais
resituée dans son contexte et hors de tout parti pris, cette histoire est un
bon exemple de ce qu’est le développement d’un dogme. C’est pourquoi il est
utile de la connaître afin d'approfondir notre connaissance et de faire taire toutes les fables …
Saint Athanase (298-373) Evêque d'Alexandrie Père de l'Eglise Adversaire de l'arianisme |
Pour s’opposer à l’erreur
d’Arius, les Pères du Concile de Nicée insistent particulièrement sur sa génération naturelle. Il
est « né du Père », « Dieu de Dieu », « vrai Dieu de vrai Dieu », « n’a pas été fait, mais engendré ».
Dans l’appendice du
symbole, ils condamnent ceux qui déclarent que le Fils de Dieu est d’une autre
substance ou essence de Dieu le Père. Ainsi le
Fils de Dieu est Dieu comme Dieu le Père.
Le terme de « homoousio », source de malentendus
Pour bien marquer cette vérité de foi, les Pères du Concile de Nicée utilisent
le mot grec « homoousio ».
Il est tiré de « homo » et d’« ousia », c’est-à-dire de même essence. Selon Tixeront[1], il viendrait
du latin « consubstantialis »,
de même substance, en usage à Rome. Le Fils de Dieu est
consubstantiel au Père…
Saint Hilaire (300-368) Évêque de Poitiers Père de l'Eglise autre adversaire de l'arianisme |
Le
terme se ramène à la notion d'hypostase qui est à cette époque imprécise et équivoque, donc source d’incompréhensions et de
malentendus. Au III et IVe siècle, il n’est pas en effet parfaitement défini
dans toutes les communautés chrétiennes. Certaines usent du mot « hypostase » pour désigner l’essence
quand d’autres lui donnent le sens de personne. Ainsi quand certains disent que le Fils est de
même « hypostase » que le
Père pour indiquer une identité d’essence, d’autres le comprennent comme une
négation de la distinction des Personnes divines. C’est pourquoi certains
défendent l’expression « trois
hypostases en Dieu » quand d’autres y voient une hérésie. Il met en jeu deux vérités de foi : l'Unité de Dieu et la Sainte Trinité, pouvant accentuer l'une au détriment de l'autre. Cette
incertitude terminologique est clairement perçue dans la lettre synodale d’Alexandrie,
appelée Tome aux Antochiens (362).
Enfin,
pour certaines communautés, il est lié à un contexte inquiétant et donc
défavorable. Les gnostiques du IIe siècle et Paul de Samosate l’ont utilisé pour
répandre leurs erreurs, même si le sens qu’ils lui ont donné est différent de
celui du Symbole de foi. Paul de Samosate l’emploie soit dans le sens de « personne » dans le but de renier la
distinction des Personnes divines dans la Sainte Trinité, soit dans un sens
matériel pour montrer que le Père et le Fils proviennent d’une même substance
préexistante. En 268, le Concile d’Antioche a fini par condamner son usage. Cette
inquiétude est très vive surtout lorsque des défenseurs de la foi finissent à ne plus distinguer les Personnes divines.
L’emploi
de « homoousio » inquiète donc les communautés orientales qui
craignent un retour d’une ancienne hérésie, le sabellianisme. Elles craignent
qu’en insistant davantage sur l’unité de l’essence, on en vient à supprimer la
distinction des Personnes divines. Finalement, l’emploi du terme « homoousio »
est source de rejet de la part de nombreux chrétiens parfaitement orthodoxes. Sa
réception s’avère donc difficile.
Pourtant,
« homoousio » est bien
approprié
Les
adversaires de l’emploi d’« homoousio »
proposent alors d’autres termes très proches dont « homoiousios »[2] ou
« homoios ».
Saint Basile (329-379) Évêque de Césarée Père de l'Eglise Adversaire de l'arianisme |
A
l’origine, les Pères de Nicée voulaient définir que « le Verbe est de Dieu, la
vertu vraie de Dieu, l’image du Père, parfaitement semblable au Père, immuable
et toujours sans division dans le Père »[3]. Mais
ils s’aperçurent que les ariens trouvaient moyen de ramener ces expressions à
leur sentiment. D'où le choix des termes du symbole « comme ne donnant lieu à aucune ambiguïté »[4]. Le
terme d’« homoousia » a été
pris comme étant la meilleure et la plus opportune expression de la foi contre
les ariens.
L’Église
rejette donc les termes d'« homoiousios » et d'« homoios ». Ils sont bien insuffisants pour définir la vérité de foi
qu’elle veut défendre : le Père et le Fils sont deux Personnes divines
distinctes tout en étant de même substance divine. Ce point est fondamental dans le christianisme. Dieu est un et trine...
Saint Grégoire de Nazianze (329-390) Évêque de Constantinople Père de l'Eglise Adversaire de l'arianisme |
Saint Grégoire (335-394) Évêque de Nysse, Père de l'Eglise Adversaire de l'arianisme |
L’opposition aux termes proposés (« Homoiousios », « Homoios ») est donc parfaitement légitime et inévitable pour les chrétiens soucieux de défendre les vérités de foi et de préserver l’intégrité du dépôt sacré. Il ne s’agit pas d’une vaine dispute entre des savants enfermés dans leur savoir. Ce combat engage le fondement même de la foi. De simples chrétiens s'en sont rapidement aperçus. Ce sont eux qui ont appelé l'attention de leur évêque et souligné les dangers des discours que prononçait Arius. Croire que Notre Seigneur Jésus-Christ n’est qu’un homme même suréminent ou héroïque vide la foi de son véritable contenu. Au sens qu’a défini le Concile de Nicée, le terme d'« homoousio » (ou de « consubstantiel ») est assez précis pour exprimer que le Fils de Dieu est Dieu comme le Père tout en étant distinct. La génération du Fils est naturelle.
Un mot non biblique mais de sens biblique
Pour
définir sa profession de foi, l’Église use d’un mot non biblique, ce qui
provoque un scandale dans certaines communautés chrétiennes. Il correspond cependant
à une réalité que nous retrouvons dans les Saintes Écritures. Les défenseurs de
la foi vont donc montrer que si le mot n’est pas biblique, la vérité qu’il
signifie est bien révélée dans la Sainte Bible. « Si quelqu'un fait une étude attentive, il reconnaîtra que, même si ces
mots ne sont pas ainsi dans les Écritures, du moins la doctrine qu’ils
expriment s’y trouve réellement »[6]. Une
formulation dogmatique a pour but de définir la vérité avec des mots appropriés
et justes. Il faut donc vérifier et démontrer qu’elle corresponde fidèlement à
ce que la Saint Écriture exprime avec d’autres mots sans rien ajouter ni
diminuer. L'Eglise justifie donc l'emploi de termes non bibliques pour définir une vérité de foi tant qu'ils signifient ce que veut signifier la Sainte Ecriture.
Saint Ambroise (337-397) Évêque de Milan Père de l'Eglise Adversaire de l'arianisme |
Le
terme de « homoousio » est caractéristique. Sa
définition a évolué dans le temps et n’est pas défini de la même façon dans
toutes les communautés chrétiennes. Autrefois employé pour exprimer une erreur,
il est désormais utilisé dans un sens orthodoxe. Comment reconnaître alors le
véritable sens qu’il exprime ?
Isolé du texte dans lequel il s’inscrit, il
peut encore vouloir énoncer une erreur, d’où une certaine réticence et
finalement son rejet. Mais inséré dans la profession de foi, bien encadré par
les affirmations du Symbole, il devient clair et précis. Il n'est plus source de malentendus. Car c’est ce
texte en son entier qu'il faut accepter et non le mot seul. Ainsi est-il défini
comme il doit l’être. La formulation dogmatique n’est compréhensible que dans
sa totalité. Elle doit être interprétée et comprise selon le sens qu'a défini l'Eglise.
Réactions face à la formulation de foi
La profession de foi provoque en fait quatre types de réactions :
- certains adhèrent sans problème au mot « homoousio » car ils perçoivent ce que les Pères du Concile veulent signifier. A travers le mot, ils défendent la vérité de foi. Ils cherchent donc à en montrer la conformité avec la Sainte Écriture ;
- d’autres refusent ce terme car ils y voient une erreur. Ce sont les ariens ou anoméens [8]. Ils isolent le terme de son contexte et profitent des difficultés de compréhension pour élever et accentuer les oppositions ;
- d’autres le rejettent de crainte d’user un mot illégitime tout en adhérant à la vérité de foi qu'il renferme. Ils sont en outre sensibles aux erreurs qu’il énonçait autrefois, notamment le sabellianisme ;
- enfin, certains tentent d’apaiser les difficultés en remplaçant ce mot par un autre afin de complaire toutes les « sensibilités », mais toutes les tentatives, nombreuses, aboutissent à des échecs car les mots trouvés ne parviennent pas à exprimer la vérité de foi. Ils ne correspondent pas finalement à la profession de foi des Pères de Nicée.
Le
terme de « consubstantiel »
ou d’« homousious » n’est
peut-être pas à l’origine de ces nombreuses divisions. Il les éclaire et les oblige à sortir de l'ombre. Il a rendu impossibles les doctrines ou les pensées incompatibles avec la foi. Bien avant le
Concile de Nicée et l’arianisme, quelques hésitations
épisodiques et des déviations doctrinales étaient déjà perceptibles. L’Église a choisi
un mot d’origine philosophique, un mot décisif, précis, qui garantit désormais l’orthodoxie
de la foi et évite tout échappatoire sur les relations entre Dieu le Père et le
Dieu le Fils. Il n'y a plus d'hésitation et de doute mais certitude et sérénité.
Néanmoins,
il unifie tous les opposants au Concile de Nicée. Un grand parti composé
d’éléments hétérogènes s’est formé. Il les unit par cette opposition même. Les adversaires du Concile de Nicée élaborent alors de nombreuses professions de foi. Aucune ne donne satisfaction. Elles n'ont pas les qualités qu'exige la foi. « On pourrait les qualifier plus exactement de tendancieuses et d’anti-nicéennes, et encore davantage par ce qu’elles omettent que par ce qu’elles affirment. »[7]
Icône de la Sainte Trinité Saint André l'Iconographe Trois anges apparus à Abraham aux chênes de Mambré, que Saint André considère comme la figure du mystère de la Sainte Trinité |
Il
serait bien long et difficile d’évoquer les années de combats qu’ont
du mener les défenseurs du Concile de Nicée contre les ariens et les
semi-ariens. Des noms évocateurs surgissent de cette longue période de lutte.
Lutteurs infatigables que sont Saint Athanase et Saint Hilaire de Poitiers sans
oublier Saint Basile de Césarée, Saint Grégoire de Nazianze et Saint Grégoire
de Nysse, etc. L’Église a connu de nouveaux martyrs, de nouvelles persécutions
mais cette fois de la part de chrétiens.
L’empereur
avec toute son autorité et sa force est intervenu pour plier les consciences,
commettant persécution et dommage. Funeste et désastreuse alliance quand le Roi
de la Terre se prend pour le Roi des Cieux. Cette période est triste de
compromission, d’opportunisme, de clientélisme, de querelles de personnes mais
elle est aussi riche de sacrifices, de courages et de profonds traités
théologiques. Une histoire bien humaine avec ses taches et ses gloires. Une
histoire qui a aussi failli mal tourné. Le monde a failli être arien comme le
disait Saint Jérôme… Malgré quelques défaillances, la foi a tenu bon.
Le Concile de Constantinople (381)
Au
Concile de Constantinople, l’Église adopte un nouveau symbole tout en proclamant sa fidélité au Symbole de Nicée. Les Pères conciliaires précisent en effet de manière unanime, « on
ne doit pas abroger la foi des trois cent dix-huit Pères réunis à Nicée de
Bithynie, mais elle doit demeurer en vigueur »[9]. Il élabore une profession de foi qui inclut
celle de Nicée. Il reprend encore le terme d’ « homousious ». Si l’expression « c’est-à-dire de la substance du Père » est retiré, c’est pour
la simple raison que l’« homousious »,
désormais compris, l’implique nécessairement. Et le 1er canon logiquement
dénonce les hérésies qui s’opposent à la foi de Nicée. Le Concile de
Constantinople met ainsi un point final à l’arianisme. Ce dernier n’a survécu
que dans les peuples ostrogoths et wisigoths. Le même canon condamne les erreurs qui confondent les Personnes
divines comme le sabellianisme et d’autres doctrines très proches.
1er Concile de Constantinople Peint sur un mur de l'église de Stavropoleos Bucarest (Roumanie) |
Conclusion
L’arianisme
et les autres hérésies ont ainsi obligé l’Église à mieux préciser sa profession
de foi, n’hésitant pas à user d’un vocabulaire particulier tout en demeurant
fidèle au dépôt sacré. Il y a un développement du dogme pour
gagner en précision et en fermeté dans l’expression de la foi. Le but de la
profession de foi est bien d’encadrer les esprits afin de préserver et de renforcer la
communion de foi.
Le
travail des défenseurs de la vérité est de rappeler les vérités de foi en
soulignant notamment les enjeux qu’elles soulèvent et de montrer la légitimité des
formulations utilisées sans chercher le moindre consensus qui pourrait porter
atteinte aux vérités. Leur objectif n’est pas de contenter tout le monde
pour réduire les difficultés, notamment en effaçant les points durs, mais au
contraire d’expliquer, d’enseigner, de combattre les malentendus et de dénoncer
les erreurs. Un effort d’explication et
d’enseignement a donc été nécessaire pour expliquer le véritable sens du mot d’« homoousio » et de le faire
accepter tel qu’il a été compris par les Pères de Nicée. Ce mot est finalement
le plus propre à exprimer le mystère de la Sainte Trinité. Sans cet effort,
peut-il encore être compris et entendu comme l’Église l’a toujours enseigné ?
Ne cherchons-nous pas souvent la facilité des mots consensuels pour éviter
un combat nécessaire ?
Si
le Concile de Nicée a défini les termes d'« homoousio » ou de « consubstantiel » pour exprimer notre foi et condamner les
erreurs et si tant de Pères de l’Église se sont tant battus pour les garder, c’est
pour la simple raison que ce sont les mots les plus adaptés pour
définir notre foi. Les Pères de l’Église ont ainsi refusé tout terme de compromis, tout
mot incomplet ou imprécis. « Pour refuser un iota, on a su en ce temps-là
souffrir la persécution et la mort. »[10]
Si ces termes ne sont plus aujourd'hui compris, il est alors le devoir des évêques et des
prêtres d’instruire les fidèles au lieu de les faire disparaître des catéchismes
et de la liturgie par des mots plus communs mais plus propres à l'erreur, au doute. Un tel remplacement entraîne inéluctablement à un
appauvrissement de la foi, à des confusions et à des déviations doctrinales,
sans parler de mépris à l’égard des fidèles de Dieu… Car l'enseignement de la foi exige de la clarté, de l’honnêteté et de la fermeté. « Le peuple n’est jamais vulgaire ; il
déteste plutôt qu’on affecte la vulgarité dans l’espoir de lui faire plaisir. »[11]
C’est
donc pour défendre les vérités de foi et éclairer les fidèles que l’Église a formulé de manière
solennelle sa profession de foi. L’hérésie est un des moteurs qui
l’obligent à exprimer de manière plus précise et approfondie ce qu'elle veut enseigner. Et ce n’est pas
l’expérience ou l’intelligence de la foi qui l’obligent à de tels efforts… Ce
n’est pas non plus le « sens de la
foi du peuple chrétien » qui permet ce développement.
« L’Église […] formule ainsi par écrit les articles de foi, avec des mots auxquels
tout chrétien doit adhérer tout comme à ceux de l’Écriture. » [12] Elle
enseigne les vérités révélées « en
les scellant par un jugement définitif et universel auquel la foi la plus
totale lui est due. » [13]
Références
[1] Tixeront, Histoire des Dogmes, Tome II, Chap.I, 2, librairieV. Lecoffre, 1909.
[2] Un seul « i » (« iota ») les différencie d’où l’expression bien connue.
[3] Tixeront, Histoire des Dogmes, Tome II, Chap.I, 2. Voir Histoire ecclésiastique de Socrate et de Théodoret.
[4] Voir Saint Athanase, De decretis et Epist. ad Afros, selon Tixeront, Histoire des Dogmes.
[5] Saint Athanase, Traités contre les Ariens, II, 70.
[6] Saint Athanase, Lettre sur les décrets de Nicée, n°21.
[7] Ignacio Ortiz de Urbina, Nicée et Constantinople, Histoire des Conciles Œcuméniques, Chapitre VI, Fayard, 1963.
[8] « Anomoios » signifie inégal car les ariens faisaient le Fils inégal au Père. Les semi-ariens sont partagés entre les « homéousiens » et les « homéens » selon le terme qu’ils utilisent pour comparer le Père et le Fils.
[9] 1er canon du Concile de Constantinople cité dans Nicée et Constantinople, Histoire des Conciles Œcuméniques, Constantinople, chap. IV.
[10] Jacques Maritain, Œuvres complètes, vol. XVI, Fribourg, Paris, 2000, Mémorandum adressé à Paul VI, suite au remplacement du mot « consubstantiel » dans le Credo utilisé en France dans la liturgie par « de même nature ». Comme d’autres écrivains et philosophes chrétiens, il y a une perte de sens profond dans ce remplacement. Ce changement a été décidé dans les années 60 sous prétexte que le terme de « consubstantiel » était incompris par les fidèles. Sans être hérétique, il est dangereux dans ce qu’il omet de dire. Car deux êtres peuvent être de deux natures et êtres distincts. L’unicité de la Trinité peut donc être remise en cause. Nous avons appris qu’aux États-Unis, les missels avaient repris le terme de « consubstantiel » en 2013. Moins scrupuleux, les anglais n’ont pas changé de formule.
[11] Etienne Gilson, La société de masse et sa culture, Paris, 1967.
[12] Ignacio Ortiz de Urbina, Nicée et Constantinople, Histoire des Conciles Œcuméniques, Nicée, Chapitre VI.
[13] Ignacio Ortiz de Urbina, Nicée et Constantinople, Histoire des Conciles Œcuméniques, Nicée, Chapitre VI.
[14] C’est à cette occasion que les chrétiens se sont battus en apparence pour un "iota", c'est-à-dire pour une différence de lettre (la lettre i grec appelé "iota") comme nous le verrons dans cet article.
Je vous remercie pour cet article de très grande qualité qui m'a passablement éclairé. Mes plus amicales salutations.
RépondreSupprimerPouvez-vous davantage expliquer en quoi cet article vous "a passablement éclairé" afin de l'améliorer si nécessaire ? Je vous en remercie.
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