" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


lundi 18 août 2014

L'Arianisme et le Symbole de Nicée : les exigences de la foi (1/2)



Pouvons-nous imaginer la joie des évêques qui se réunissent à Nicée en 325 sur la demande de l’empereur Constantin ? Pendant trois siècles environ, ils ont été victimes d’injustices et de persécutions de la part du pouvoir impérial et de la société païenne. Certains évêques présents gardent encore les traces des dernières persécutions. Le Concile de Nicée est probablement ressenti comme un triomphe de l’Église sur le paganisme. Contre toute attente, David a encore renversé Goliath. Qui peut expliquer une telle victoire ? Les douze apôtres qu’a envoyés Notre Seigneur Jésus-Christ ont battu les légions romaines et terrassé l’empire de César. Qui l’aurait cru au lendemain des martyrs de Saint Pierre et de Saint Paul ? Qui l’aurait imaginé après la terrible persécution de Néron ou de Dioclétien ? Pourtant, ce premier concile a un goût amer. Les évêques ne sont pas réunis pour célébrer leur victoire. Si elle n’est plus victime de violences ou de haines de la part des païens ou des juifs, l’Église doit affronter une terrible épreuve qui la divise, celle de la première grande hérésie, l’arianisme.

Cette histoire qui remonte aux premiers temps du christianisme est encore d’une très grande importance. Elle fait partie de notre culture. Elle est aussi une connaissance précieuse pour nous éloigner de l’erreur arienne puisque l’arianisme a tendance à renaître quand la foi sommeille. Elle est en effet encore d’actualité. Si elle est mal comprise, cette histoire peut aussi induire des erreurs et se retourner contre notre foi. La notion de développement dogmatique pourrait être mal comprise. Cet article a donc pour but de rafraîchir ou d’enrichir nos connaissances dans un but apologétique.

Les sources de connaissance

Nous connaissons l’arianisme et le déroulement du Concile de Nicée grâce à des documents officiels (symbole, liste des évêques, lettre synodale, décret), à des témoins catholiques et ariens, et à des historiensproches de l'événement. Ils ont aussi donné lieu à de nombreuses études tant dogmatiques qu’historiques. Les sources reconnues généralement authentiques sont particulièrement abondantes.

Arius
Le déclenchement de l’affaire

Tout commence en Égypte. Arius est prêtre d’une paroisse du port d’Alexandrie. Il est reconnu comme étant un brillant orateur. Pourtant ses sermons inquiètent des chrétiens. « Il était un temps où il n’était pas », dit-il en parlant du Verbe. Tout part en effet de cette constatation. Dieu le Père est unique et Il est le seul inengendré. Il a engendré le Fils comme l’énonce la Sainte Écriture. Or « si le Père a engendré le Fils, celui-ci a donc dû commencer à exister ; par conséquent il y eut un moment où il n’existait pas »[1]. Arius refuse alors de reconnaître la divinité du Verbe. 

Avant d’étudier plus précisément sa doctrine, voyons comment s’enchaînent les événements. Très instructifs, ils révèlent en particulier les démarches en usage dans l’Église pour garantir la communion de foi des communautés chrétiennes.

Troublés par les discours d’Arius, des paroissiens en appellent à Saint Alexandre, l’évêque d’Alexandrie. Ce dernier rassemble alors son clergé pour juger les idées d’Arius. Elles sont reconnues comme étant erronées. Elle s’oppose notamment à une profession de foi en usage à Alexandrie. Cette profession de baptême a été probablement rédigée pour répondre aux erreurs gnostiques qui voyaient en Jésus-Christ un démiurge[2]. 

La profession de foi

Nous voyons donc que la réaction des paroissiens est de se tourner vers l'évêque. C'est lui l'autorité capable de juger si l'enseignement d'Arius est conforme à la foi. A son tour, l'évêque s'entoure de son clergé et à partir d'un texte ancien, jugé indiscutable, il prononce sa décision.

Le sacrement de baptême nécessite de la part du catéchumène une profession de foi publique. Elle est une formulation des articles de foi à laquelle doit adhérer fermement toute personne qui veut devenir chrétien et entrer dans l’Église. Elle garantit la communion de foi entre les fidèles. Le symbole est une des voix les plus antiques de la Sainte Tradition. C’est donc à la lumière de cette profession de foi que nous pouvons en particulier juger de l’orthodoxie d’une doctrine.

Excommunication d'Arius

Condamné, Arius est prié de se rétracter. Il refuse. Devant son attitude obstinée, Saint Alexandre réunit vers 280 un concile régional qui regroupe les évêques d’Égypte et de Lybie. Refusant de nouveau de se soumettre à ses décisions, il est alors excommunié et expulsé de la ville. Il finit par quitter l’Égypte pour se réfugier chez des amis très influents auprès de la famille impériale. Parmi ses amis et partisans, nous pouvons citer Eusèbe, évêque de Nicomédie et Eusèbe, évêque de Césarée. Sous la protection de personnalités si importantes, il peut répandre ses idées dans l’empire. Tout un parti arien assez puissant se constitue alors. 

Saint Alexandre
Selon l’usage de l’époque, Saint Alexandre informe par lettre tous les principaux évêques de l’excommunication d'Arius et de ses partisans en expliquant les raisons de leur condamnation. Il les prie de ne pas les recevoir à la communion ecclésiastique et de lui répondre en renvoyant des lettres de communion. Ces lettres ont un rôle important pour maintenir l’union de foi entre les différents sièges épiscopaux dispersés dans l’Empire romain et au-delà. Suite à cette lettre, l’évêque d’Antioche aurait aussi réuni un concile régional et condamné à son tour la doctrine d'Arius. 

Arius fait de même. Il envoie des lettres aux principaux sièges épiscopaux de l’époque pour se défendre et se justifier. Il fait réunir des évêques gagnés à sa cause à Nicomédie qui confirment l’orthodoxie de sa doctrine et dénoncent l’injustice dont il est victime de la part de l’évêque d’Alexandrie. Les membres de ce concile envoient à leur tour une lettre synodale aux principaux évêques.

De cette histoire, retenons trois points importants :

  • la participation à la communion eucharistique est signe de communion de foi. Ce sacrement manifeste ainsi l’unité de l’Église. Il la réalise aussi. Nous retrouvons l’idée du Corps du Christ qui se réalise et vit par ce sacrement ; 
  • l'envoi de lettres synodales entre les sièges épiscopaux est un usage fréquent pour informer des décisions prises dans une région. Elles appellent leurs destinataires à une réponse officielle pour confirmer la communion de foi. Il y a bien des échanges entre les communautés chrétiennes, y compris hors de l’empire romain ; 
  • l'usage des conciles régionaux pour juger de l’orthodoxie d’une doctrine est classique. Ils rassemblent tous les évêques rattachés à un siège important d’une région. Ils permettent d’entendre et de juger les personnes, leurs comportements et leurs doctrines, de trouver des solutions à des problèmes, etc. Toute déviation de foi constatée appelle alors à une rétraction publique. En cas de refus, la personne est excommuniée, c’est-à-dire exclue de la communauté et de la communion eucharistique. La confirmation des sièges épiscopaux fait que cette personne est finalement exclue de l’Église et de toute communion. 
Tout cela montre l’importance de la communion de foi pour les évêques qui n’hésitent pas à exclure des personnes lorsque qu’elles persistent dans leurs erreurs. Il y a bien une volonté de préserver la foi de toute déviation. Ce souci n’est pas une nouveauté. Il est en effet particulièrement visible au temps apostolique.


L’usage du concile

Les réunions d’évêques pour traiter des questions de foi, de morale et de discipline ne sont pas rares. Les apôtres se sont réunis à Jérusalem pour résoudre les problèmes que posait le judéo-christianisme. Vers 175, en Asie mineure, les doctrines montanistes sont aussi examinées dans de telles réunions. Leur examen conduit à la condamnation publique des doctrines et à l’excommunication des responsables

Les conciles peuvent être épisodiques pour résoudre un problème particulier ou régulier comme en Afrique dès le IIIe siècle. Un concile peut soit réunir un clergé local ou régional qui dépend d’un siège épiscopal particulier. Les principaux sont Rome, Alexandrie, Antioche, Jérusalem puis s’ajoutera à cette liste Constantinople. Parmi les sièges moins importants, nous pouvons citer Carthage, Édesse, Césarée. La convocation d’un concile régional est le résultat d’un processus rigoureux très bien défini

Prenons un exemple. En 251, à Rome, après des réunions dans chaque diocèse, le Pape Saint Corneille réunit un concile régional pour examiner la doctrine de Novatien favorable à une très grande sévérité à l’égard des lapsi, c’est-à-dire des chrétiens qui ont abandonné ou feint d’abandonner leur foi durant les persécutions. Au même moment, Saint Cyprien Carthage convoque aussi un concile pour juger également cette doctrine. Rome et Carthage se communiquent ensuite mutuellement leurs décisions et en informent les principaux évêques d’Orient. En 252, les principaux évêques d’Orient se réunissent à leur tour à Antioche pour juger de l’affaire. Ils arrivent aux mêmes conclusions. 
Saint Corneille

Réunis en un concile, les évêques examinent consciencieusement une doctrine. L’auteur est convoqué à une discussion publique. En cas de déviations doctrinales, les évêques lui demandent de la rejeter. En cas de refus de soumission, ils portent contre lui une sentence d’excommunication en le déclarant hérétique. Cette décision est envoyée à tous les sièges les plus intéressés, notamment à Rome et à Alexandrie sous forme de lettres synodales qui les avisent officiellement de la condamnation en leur demandant d’exprimer leur adhésion formelle et le rejet du condamné. La démarche utilisée à Alexandrie pour juger de la doctrine d'Arius est déjà courante au IVe siècle.


Régler aussi des questions générales d’ordre pratique

Les conciles ne traitent pas uniquement de la foi ou de la morale. Ils règlent aussi des problèmes disciplinaires et d’ordre pratique qui concernent toute l'Église. Le Concile de Nicée a ainsi pour tâche de trouver une réponse aux différentes pratiques en usage dans le choix des dates de Pâques. Devait-on célébrer la Passion et la Mort de Notre Seigneur à la Pâque juive comme en Asie ou sa Résurrection le dimanche suivant comme en Occident ? Au IIe siècle, la majorité des diocèses choisissent de célébrer la Résurrection de Notre Seigneur. Mais les dates varient selon le comput[3] utilisé (romain ou alexandrin). Les communautés chrétiennes se partagent alors entre plusieurs usages, ce qui peut poser de réelles difficultés d’ordre pratique. Pendant que certains chrétiens sont en effet dans la réjouissance de la fête, d’autres sont encore dans les rigueurs de la pénitence. L’absence d’uniformité conduit à des contrastes qui peuvent être choquants et surtout ridicules. Le Concile de Nicée a ainsi permis d’uniformiser le calcul de la fête de Pâques « pour que tous, en un seul jour, d’une voix unanime, fasse monter leurs prières en ce saint jour de Pâques. »[4]

L’arianisme, une erreur trinitaire

Revenons à l’arianisme et aux deux protagonistes que sont Arius et Alexandre. 

Arius part de la notion de génération. Seul Dieu le Père est inengendré et par conséquent Dieu est de quelque manière antérieure au Verbe. Il existe donc un moment où le Verbe n’existait pas. En outre, si Dieu génère strictement le Verbe et que toute génération comporte une communication d’une réalité qui appartient à la nature, Dieu le Père perdrait quelque chose de son essence. Donc Arius considère que la filiation du Fils n’est pas naturelle mais adoptive comme notre génération divine. Le chrétien est en effet fils de Dieu par adoption. Par conséquent, le Verbe, appelé Fils de Dieu, est une créature. Il est sorti du néant par la volonté du Père. Mais Arius précise qu’il n’est pas une créature comme les autres. Il est le chef d’œuvre produit par Dieu. Il atteint en effet une perfection morale insurpassable comme le montre sa fidélité absolue à la volonté du Père pendant toute sa vie mortelle. Le Verbe est donc parfaitement saint et sans péché. Pour appuyer son raisonnement, Arius utilise la Sainte Écriture en se référant à des versets dans lesquels se trouve le mot « fait ». 

Saint Alexandre professe que le Fils de Dieu est coéternel au Père et qu’il n’est en aucune façon un être tiré du néant. Il procède du Père par génération naturelle au sens strict. En outre, si Dieu le Père est pendant un instant sans le Verbe comme l’affirme Arius, comment pouvons-nous considérer Dieu sans Sagesse, sans Parole ? Enfin, Alexandre précise la différence entre la génération divine et la génération animale. L’altération et la division ne concernent que la génération animale. Enfin, Alexandre professe l’égalité entre le Père et le Fils puisqu’ils sont de même nature. Pour se justifier, il s’appuie aussi sur la Sainte Écriture notamment sur le Prologue de l’Évangile selon Saint Jean. L’Apôtre affirme bien que le Verbe est au commencement auprès du Père et par lequel tout a été créé. Il n’a pas été créé. C’est Lui qui a tout créé. Il s’appuie aussi sur la Tradition, c’est-à-dire sur des professions de foi et l’enseignement des Pères de l’Église.

La dispute entre Saint Alexandre et Arius vient principalement de la notion de génération et de l’interprétation de certains versets de la Sainte Écriture. Saint Alexandre a l’avantage de s’appuyer sur des pratiques anciennes contrairement à Arius qui est plutôt novateur. Ce sont même ses innovations qui provoquent inquiétude et trouble chez les fidèles.

Le Symbole de Nicée

Le Concile de Nicée élabore une profession de foi connue sous le nom de Symbole de Nicée. Il est formé à partir de la profession de foi en usage à Césarée pour les baptêmes. Les Pères du Concile l'ont reconnue comme étant l’expression vraie de la foi. Il est rédigé selon une structure trinitaire et le cycle christologique qui remontent au IIe siècle et même à la prédication des Apôtres. La plupart des mots sont d’origine biblique. A part quelques termes, le Symbole de Nicée ne présente donc aucune nouveauté. 

La profession de foi en usage à Césarée aurait suffit à condamner l’arianisme. Mais en l’interprétant à leur manière, les ariens aurait pu aussi s’y souscrire sans difficulté et accepter au Verbe le titre de Fils de Dieu. Il ne résout donc pas les problèmes doctrinaux que soulève l’arianisme. Pour éviter les équivoques, les Pères du Concile rajoutent alors un terme très important, celui de « consubstantiel ». Il est « engendré du Père, c’est-à-dire de la substance du Père ». Nous voyons chez eux le souci très fort d’éviter toute expression ou mot équivoque. La formule doit être suffisamment claire pour éviter tout malentendu.

Le Concile définit le mode d’origine du Fils comme une génération et définit ce que l’Église entend par génération en excluant toute idée de création. L’interprétation de « Fils de Dieu » est ainsi solennellement et rigoureusement définie dans une formulation claire et sans équivoque. Cette génération n’est pas le résultat de la volonté du Père comme dans le cas des fils adoptifs qui demeurent des créatures. Elle est communication de l’être vivant lui-même par celui qui engendre. Le Fils reçoit la nature même du Père qui engendre. Le Père et le Fils ont la même essence. Nous sommes de nature humaine comme notre père sans que notre père n’ait perdu quoi que ce soit de sa nature. Ainsi le Fils est Dieu, vrai Lumière, vrai Dieu comme le Père est Dieu, Lumière et vraie Dieu. Le Symbole professe clairement l’absolue divinité du Verbe.


S’Il est engendré, le Fils de Dieu n’est pas fait. Au contraire, c’est parce qu’Il est engendré qu’Il n’est pas une créature de Dieu. Le Concile de Nicée donne alors le sens exact de certains versets bibliques qui, lus selon une autre interprétation, pouvaient faire croire que le Fils de Dieu avait été fait. Il supprime ainsi les hésitations d’une terminologie qui peut porter préjudice par son manque de clarté. Si dans la Sainte Écriture, le Fils est dit « créé », Il l’est en effet en raison de son humanité et non de sa divinité, c’est-à-dire de son Incarnation. 


Le verset de la Sainte Bible qui pose effectivement problème est : « Le Seigneur m’a créé comme principe de ses chemins » (Proverbe, VIII, 22). C’est sur ce verset en particulier qu'Arius fonde sa doctrine. Le verset parle de la Sagesse qu’on identifiait au Verbe de Dieu d’où l’erreur arienne. Mais comme le soulignent Saint Athanase et Saint Basile de Césarée, le verset parle de la Sagesse incarnée donc de Notre Seigneur Jésus-Christ. Il doit donc être lu d’après le Mystère de l’Incarnation. Interpréter un verset de la Sainte Écriture isolé de la Sainte Bible et de l'œuvre de la Rédemption peut en fait nous induire en erreur. Le Prologue de l’Évangile selon Saint Jean apporte notamment l’éclaircissement nécessaire. L’interprétation des Pères du Concile est parfaitement conforme à l’ensemble de la Sainte Écriture. 

Le Concile de Nicée peut en outre s’appuyer sur des décisions anciennes puisque le problème d’interprétation qu’il traite a déjà donné lieu à des réponses. Vers le milieu du IIIe siècle, le Pape Denys condamne tous ceux qui voient en la génération du Fils une « production » ou une « création ». Ainsi pour résoudre les problèmes relatifs aux interprétations d’un verset, faut-il recourir à l’ensemble de la Sainte Écriture et à la Sainte Tradition.

Les exigences de la communion de foi

Cette histoire nous montre combien les chrétiens étaient soucieux de préserver la foi de toute déviation en refusant solennellement tout enseignement différent de celui qu’ils ont reçu. De nombreux moyens ont ainsi été mis en place pour juger de l’orthodoxie d’une doctrine et garantir la communion de foi, notamment au travers des échanges entre toutes les communautés réparties dans l’empire romain et au-delà. Ils sont aussi soucieux de juger une doctrine selon la Révélation dans sa totalité, évitant ainsi toute interprétation personnelle ou toute erreur que peut donner une vision restrictive de la foi. Enfin, ils se sont attachés à proposer des formules claires, précises, fermes, dénuées de tout propos équivoque ou de tout malentendu. Telles sont les exigences de la vérité. L’adhésion à la foi est une chose trop grave pour laisser subsister le doute et l’incertitude dans l’esprit. La communion de foi dans le temps et dans l'espace était donc une de leur priorité. Elle doit aussi rester la nôtre. 







Références
[1] Ignacio Ortiz de Urbina, Histoire des conciles œcuméniques, Nicée et Constantinople, chapitre II, p.39, Fayard, 1963, nouvelle éditions 2006.
[2] Voir Alexandre d’Alexandrie, Ep. Ad Alex., dans Histoire ecclésiastique de Sozomène, I, 6, cité par Histoire des conciles œcuméniques d’I. Ortiz de Urbina.
[3] Méthode de calcul utilisée par les communautés chrétiennes pour déterminer une date, notamment celle de Pâques.
[4] Décret sur la Célébration de Pâques, annexes VII, Histoire des conciles œcuméniques d’I. Ortiz de Urbina.

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