Notre
Seigneur Jésus-Christ a vécu à une époque bien précise. Depuis le recensement
de Quirinus jusqu’au gouvernement de Ponce Pilate, depuis sa naissance jusqu’à
sa mort, ses faits et gestes se sont inscrits dans une réalité. Il a vécu dans
une société précise, bien concrète, aussi vivante que la nôtre. En dépit des
siècles qui nous séparent de cette époque, nous pouvons connaître ce passé. L’environnement
politique et religieux dans lequel Il vivait nous est en effet accessible. Mais
comme tout événement passé, cette connaissance n’est possible qu’au travers de témoignages, directs ou indirects, qui ont traversé les siècles sans trop de
dommages. Les sources historiques nous sont bien connues. Nous pouvons citer le
Nouveau Testament, Flavius Josèphe et les traditions juives que rapporte le
Talmud, sans oublier les textes apocryphes. Ils décrivent le même fond
historique, une même réalité, que confirment les études bibliques depuis plus
d’un siècle. Mais pouvons-nous utiliser les Évangiles pour connaître de manière
sûre le contexte dans lequel a évolué Notre Seigneur Jésus-Christ ?
Les Évangiles sont en effet une source historique incontestable et très précieuse, y compris pour les historiens. Certes ce ne sont pas des livres d’histoire tels que nous l’entendons aujourd'hui. Mais quelle que soit l’intention des évangélistes, ils décrivent une réalité historique. De nos jours, rares sont ceux qui contestent encore la sincérité des évangélistes et la véracité historique du monde qu’ils décrivent. Leur but est certes apologétique mais cela n’enlève rien à leur valeur historique.
L’Évangile
selon Saint Matthieu
Simone Cantarini Saint Matthieu et l'ange (1645-48) Galerie nationale d'art, Washington |
L’Évangile
selon Saint Matthieu est un des témoins les plus précieux pour bien
connaître la société juive au temps de Notre Seigneur Jésus-Christ.
L’évangéliste connaît bien la réalité juive, les institutions et les coutumes
juives. C’est un juif qui écrit pour des juifs. En effet, il n’explique pas ces
choses, elles sont considérées comme sues, évidentes, familières. Il ne donne non plus aucune
indication topographique détaillée. Tout cela n’a effectivement aucune raison
d’être pour des gens du pays. Sa
manière de parler est aussi propre aux juifs. Ainsi parle-t-il de royaume des
cieux, et non de royaume de Dieu, comme le veut la pratique juive par respect du
nom sacro-saint de Yahvé. L'évangéliste a aussi écrit en hébreu ou en araméen,
langue du peuple juif de Palestine. Le but de son ouvrage est enfin explicite : il veut démontrer que Notre Seigneur Jésus-Christ est le
Messie. Il s’attache donc à montrer qu’Il réalise les prophéties de l’Ancien
Testament. Il s’applique également à marquer le lien qui rattache la loi
nouvelle à l’Ancien Testament. Ses argumentations ne peuvent que s’adresser à
des juifs. Elles n’ont aucun sens pour des païens.
Cela
nous est aussi confirmé par les Pères de l’Église, en particulier Saint Irénée
et Origène. Eusèbe de
Césarée précise que « Matthieu,
après avoir évangélisé les hébreux, sur le point de partir au milieu des païens,
laissa à ses compatriotes, pour suppléer sa présence, l’Évangile qui porte son
nom, écrit dans leur langue. »[1] Tel est
aussi l’avis de Saint Jérôme. « Matthieu,
le même que Lévi, de publicain devenu apôtre, composa le premier, en Judée et
pour des Juifs convertis, l’Évangile du Christ, dans la langue hébraïque. » [2] Le
témoignage le plus ancien est celui de Papias, disciple de Saint Jean et
compagnon de Polycarpe, qui précise bien que Saint Matthieu a rassemblé les
« dits [du Seigneur] en langue
hébraïque » [3].
Il faut entendre par « dits »
les paroles, les relations et les faits. Il est tout à fait
vraisemblable de voir dans ces « dits »
l’Évangile selon Saint Matthieu.
L’authenticité
de cet Évangile ne pose pas de difficulté. Le texte est bien écrit par Saint
Matthieu. Il est témoin véridique de ce qu’il rapporte. Il vit
dans la réalité qui se dégage de son texte. Il est le publicain que cite
l’Évangile, l’homme « assis au
bureau des impôts » qui à l’appel de Notre Seigneur le suivra. Les
autres évangélistes le nomment Lévi, fils d’Alphée. Il est donc un des douze
apôtres. Il est donc un témoin oculaire des événements qu’il décrit.
Les
témoignages des Pères apostoliques tendraient à montrer que son Évangile a été
publié et diffusé avant 90. L’étude des critères internes au texte apporte une
plus grande précision. Saint Mathieu a dû en effet écrire avant la destruction
du Temple puisque ce fait majeur n’est pas mentionné et tout semble croire
qu’il est encore intact. « Il n’y a
aucune raison décisive de situer la rédaction de Matthieu au-delà de 63-64. »[4]
L’Évangile
de Saint Marc
Comme
Saint Matthieu, Saint Marc est juif. Son écriture le révèle sans trop de
difficulté. Son Évangile est en effet marqué par des sémitismes. Il connaît
aussi les usages juifs et la topographie palestinienne. Il donne suffisamment
de détails pour que nous en soyons convaincus. Son style le trahit également. Il
a écrit dans un grec peu maîtrisé. La
composition de son ouvrage est aussi pauvre en vocabulaire. Les propositions
coordonnées se suivent pauvrement. C’est enfin un ouvrage mal agencé. Il montre
« une évidente gaucherie littéraire »[5]. Il
raconte les faits sans se préoccuper de faire un récit bien structuré. Ce n’est
pas un écrivain, encore moins un grec.
Par
la tradition, nous apprenons que Saint Marc est le compagnon de Saint Pierre. Les
Pères apostoliques l’ont vu comme « le
truchement de Saint Pierre », c’est-à-dire probablement comme son
porte-parole. Voilà ce que nous dit Papias : « Voilà ce que disait l’ancien : Marc, secrétaire de Pierre, a écrit
exactement, non pas cependant dans leur ordre, les choses dites ou faites par
le Christ, selon qu’il s’en est souvenu. Car il n’avait pas entendu le Seigneur
et ne l’avait pas accompagné ; mais il avait accompagné Pierre qui donnait
ses enseignements suivant les besoins de ceux qui l’écoutaient et sans faire un
ordre suivi des oracles du Seigneur. Aussi bien Marc ne commettait point
d’erreur, tout en écrivant parfois au gré de ses souvenirs. Il mettait, en
effet, tout son soin, à ne rien omettre, ni falsifier de ce qu’il avait
entendu. » [6]
Saint Irénée nous le confirme aussi. Nous
savons aussi qu’il a accompagné Saint Barnabé, dont il est le cousin, et Saint Paul
sur les chemins de l’apostolat. Saint Jérôme nous apprend que c’est à Rome
qu’il a écrit son Évangile.
Saint
Marc est généralement identifié à Jean dit Marc mentionné dans les Actes
des Apôtres. Après sa libération miraculeuse, délivré par un ange,
Saint Pierre se rend dans « la
maison de Marie, mère de Jean, qui est surnommé Marc, où beaucoup de personnes
étaient assemblées et priaient » (Act.
Ap., XII, 12). Dans sa première épître, Saint Pierre le nomme.
En
1912, la commission biblique a ainsi déclaré qu’avec toute la tradition, le
second évangile est l’œuvre de Saint Marc, disciple et interprète de Saint
Pierre. La source principale de Saint Marc est donc la prédication de Saint
Pierre. Nous pouvons donc dire que Saint Marc est un témoin de l’époque,
disciple et « fils spirituel »
du grand apôtre. Il décrit bien le milieu dans lequel a vécu Notre Seigneur
Jésus-Christ.
Dans
son Évangile, Saint Marc mentionne un fait avec une telle précision qu’il
semble bien en être l’auteur. Il est certainement le jeune homme qui s’enfuit
nu de Gethsémani. Certes Papias nous dit qu’il n’a jamais entendu
l’enseignement de Notre Seigneur Jésus-Christ. Cela n’est guère contradictoire.
Il ne L’a peut-être vu qu’en cette circonstance. Nous pouvons finalement conclure
qu’il n’est pas un témoin oculaire mais indirect. Il a donc eu recours à des
témoignages directs dont celui de Saint Pierre.
Saint
Marc n’écrit pas à des Juifs. En effet, il ne fait aucune allusion à la Loi et
ne cite que deux fois les prophètes. Il les suppose aussi peu familiarisés avec
les usages du judaïsme. Il explique en effet certaines traditions et donne des
détails sur la topographie de Jérusalem. Il traduit tous les mots araméens,
convertit la monnaie grecque en monnaie romaine, utilise des latinismes. Selon
la tradition, Saint Marc s’adresse aux Romains comme l’atteste Saint Clément
d’Alexandrie. Dans son Évangile, il cherche à démontrer que le Christ est Fils
de Dieu : « Commencement de
l’Évangile de Jésus-Christ, fils de Dieu. » (Marc, I, 1). Il utilise
abondamment des arguments qui peuvent frapper des païens, c’est-à-dire les
miracles.
L’Évangile
selon Saint Marc a été écrit après Saint Mathieu et avant la
destruction du Temple comme l’a rappelé la Commission biblique. les critiques le confirment aussi. Les critiques le confirment aussi.
L’Évangile
de Saint Luc
Contrairement
à Saint Matthieu et à Saint Marc, Saint Luc semble bien étranger aux juifs. Pour
lui, l’hébreu est une langue étrangère. Il est souvent considéré comme un
converti du paganisme, un converti érudit. Il se montre cultivé avec un
vocabulaire plus riche et un style plus littéraire. Il a aussi parfaitement
assimilé la langue grecque. La présence d’aramaïsme dans les premiers chapitres
s’explique par l’utilisation de sources.
Simone Martini Peinture sur bois (1330) |
Saint
Luc n’est pas en effet un témoin oculaire de ce qu’il relate, comme l’atteste
aussi la Tradition. Dans son introduction, il informe Théophile qu’il s’est
« diligemment informé de tout dès
l’origine » et qu’il doit lui « écrire par ordre toute l’histoire » afin qu’il connaisse
la vérité de ce donc il a été instruit (Luc, I, 3-4). Pour
composer son Évangile et les Actes des Apôtres, il a donc utilisé des sources
orales et écrites. Au cours de ses voyages, il a eu l’occasion d’interroger les
témoins oculaires. Il tient des relations avec Saint Barnabé, le diacre Saint
Philippe, Saint Marc. Il a aussi probablement utilisé les écrits de Saint
Mathieu et de Saint Marc. Compagnon de Saint Paul, il a aussi puisé ses
informations auprès de l’apôtre. Ses ouvrages apparaissent comme une œuvre
érudite, renseignée au point qu’il est considéré comme « un monument historique de première valeur »[7].
Remarquons
qu’il a un grand souci de placer la biographie de Notre Seigneur Jésus-Christ
dans le cadre de l’histoire universelle et de situer les faits et gestes de
manière chronologique. Cependant, l’agencement de son récit ressemble à l’usage
grec. Les faits sont groupés selon un ordre harmonieux afin de mieux laisser
voir l’enchaînement.
Les Actes des Apôtres sont incontestablement de la même main que l’Évangile
selon Saint Luc. L’authenticité de l’ouvrage ne semble guère poser de
doute tant par la tradition que par les critères internes du texte. Tous, y compris
l’ensemble des critiques, sont unanimes pour reconnaître le même auteur pour l’Évangile
selon Saint Luc et les Actes des Apôtres. Ce dernier montre qu’il a été écrit avant 62, c’est-à-dire à la fin de la
première captivité de Saint Paul, là où s’arrête le récit. Nous sommes encore
avant la destruction du Temple.
Son
Évangile est écrit principalement pour les Gentils, notamment pour l’« excellent Théophile ». Ainsi leur
fournit-il des explications sur les mœurs et la religion juives qui seraient
superflues pour des chrétiens provenant du milieu juif. Il nous donne ainsi une
belle description du milieu.
Les
trois évangiles, que nous appelons synoptiques, relatent le monde palestinien
d’avant 70. Ils ont été écrits par des témoins de l’époque, parfois à partir de
sources orales et écrites. Deux d’entre eux sont des juifs, connaissant
parfaitement les usages et coutumes juifs. Il serait donc pertinent d’utiliser ces
sources historiques pour connaître l’époque de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Elles concordent aussi avec les autres sources que nous possédons.
L’Évangile
selon Saint Jean
Lippo di Benivieni Musée de Rennes (1300-1315) |
La Sainte Tradition a toujours reconnu Saint Jean l’apôtre comme étant l’auteur du
quatrième évangile. Il est l’un des douze apôtres de Notre Seigneur
Jésus-Christ. « Jean, le disciple du
Seigneur, lui qui avait reposé sur sa poitrine, publia lui aussi un évangile
alors qu’il demeurait à Éphèse. »[8] Papias le rapporte selon des codex datant du IX et Xe siècle. C’est donc un
témoin oculaire de premier plan, le plus proche de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Le texte lui-même le confirme. Il est « le disciple que Jésus aimait » (Jean, XXI, 21). « C’est
ce même disciple qui témoigne de ces choses, et les a écrites, et nous savons
que son témoignage est vrai. » (Jean, XXI, 24) Pourquoi ne se
nomme-t-il pas ? Selon la tradition juive, il est en effet d'usage de ne pas se
nommer dans son ouvrage tout en se désignant clairement.
Selon
Saint Matthieu et Saint Marc, Saint Jean est fils de Zébédée et frère de Saint
Jacques le Majeur. Saint Jean a rencontré Notre Seigneur Jésus-Christ par
l’intermédiaire de Saint Jean Baptiste. Revenant à ses travaux, il est
définitivement appelé par Jésus en même temps que Saint Pierre et son frère. Il
occupe ensuite une place privilégiée parmi les Apôtres. Certaines indications
montrent aussi qu’il est proche de Notre Seigneur Jésus-Christ. Il nous dévoile
en particulier les sentiments qui l’animent, les pensées les plus intimes de
ses disciples et contrairement aux autres évangélistes, il nous peint la plupart
des Apôtres. « Cette fraîcheur de
détails est inexplicable si l’évangéliste n’est pas un témoin oculaire. »[9]
Quelques
indices montrent que l’auteur de l’Évangile est juif. Sans égaler Saint Marc,
les hébraïsmes et les tournures sémantiques le montrent suffisamment. Il
connaît les mœurs et les fêtes juives. Il cite aussi les livres de l’Ancien
Testament en précisant que les Écritures sont accomplies. L’auteur connaît en
détail les lieux géographiques. Les indications topographiques sont d’une
précision remarquable. « Si toutes
ces indications n’ont pu être vérifiées sur le sol, du moins aucune n’a pu être
convaincue d’erreur. »[10]
Le
fragment P52 Rylands témoigne de l’existence de cet Évangile avant 130 en Haute
Égypte. Des textes apocryphes datant vers 140-150 le citent aussi. Dès le début
du IIe siècle, des Pères apostoliques, comme Polycarpe et Saint Ignace
d’Antioche, font allusion à certains versets. L’auteur des Odes
de Salomon, apocryphe chrétien du début du IIe siècle, utilise l’écrit
de l’Apôtre. Pour être si bien répandu et cité, l’Évangile selon Saint Jean devrait
être écrit à la fin du Ier siècle. Saint Jean relate la mort de Saint Pierre
qui a eu lieu en 64. Il a écrit après la chute du Temple. Enfin, selon la
Tradition, il complète les autres Évangiles. Il date donc après l’Évangile
selon Saint Luc.
En
outre, selon le témoignage des Pères apostoliques, Saint Jean s’est installé à
Éphèse avant le martyr de Saint Paul, donc avant 67. Toujours selon la
Tradition, il a été écrit contre Cérinthe et ses disciples gnostiques. Or
Cerinthe s’est installé à Éphèse à la même époque que Saint Jean.
Selon
Clément d’Alexandrie et bien d’autres témoignages, en particulier le canon
de Muratori, Saint Jean écrit « à la demande de ses familiers ». Son Évangile ne
cherche pas en effet à convertir mais à confirmer la foi des chrétiens. Son but
est donc plutôt dogmatique. « Jésus
a fait encore en présence de ses disciples beaucoup d’autres miracles qui ne
sont pas écrits dans ce livre. Mais ceux-ci ont été écrits afin que vous croyez
que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et afin que, croyant, vous ayez la
vie en son nom. » (Jean, XX, 30). Il atteint son
objectif non en tant qu’apologiste mais en théologien. Il s’appuie avant tout
sur le discours de Notre Seigneur Jésus-Christ afin que ses disciples puissent
en avoir une plus grande connaissance. Son écrit est aussi spirituel.
Des
critiques ne contestent pas ces faits mais refusent de donner à l’ouvrage une
valeur historique. Ils le présentent en effet comme une œuvre uniquement
spirituelle. Mais ils oublient que Saint Jean mentionne des faits, des
circonstances, des lieux précis. Il n’y a pas de confusion entre les
allégories, qui sont bien signalées, et les faits réels. Certes, il défend une thèse en
tant que théologien mais toute thèse se fonde sur des faits historiques.
En
outre, Saint Jean est un témoin oculaire des événements qu’il rapporte. Contrairement
aux autres évangélistes, il a suivi Notre Seigneur Jésus-Christ pendant toute
sa vie publique. Proche des événements qu’il décrit, il est très précis dans
son récit. Nul ne peut non plus contester sa sincérité. La qualité de son écrit
et le témoignage des Pères apostoliques montrent que c'est un homme profondément
religieux, éloigné de tout mensonge et de toute bassesse. Enfin, son Évangile
est parfaitement fiable lorsqu’il est comparé aux éléments archéologiques.
L’intention principale de Saint Jean n’exclut donc pas un but historique même
s’il est secondaire.
La
valeur historique des Évangiles est donc incontestable. Ils décrivent une
réalité historique que nous ne pouvons pas ignorer. Elle reste conforme aux
autres témoignages que le passé nous a légués. Quelles que soient les
intentions des évangélistes, leur ouvrage donne des informations certaines de
grande valeur sur l’époque de Notre Seigneur Jésus-Christ. Notre foi repose
aussi sur des faits historiques…
Références
[1] Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, XXIV, 6 cité dans Manuel d’étude bibliques, Abbé Lusseau et Abbé Collomb, Tome I, Les Évangiles, chap. I, Téqui, 1938.
[2] Saint Jérôme, De vir. ill., III, cité dans Manuel d’étude bibliques, Abbé Lusseau et Abbé Collomb, Tome I, Les Évangiles, chap. I.
[3] Papias dans Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, XXXIX cité Manuel d’étude bibliques, Abbé Lusseau et Abbé Collomb, Tome I, Les Évangiles, chap. I.
[4] Abbé Bernard Lucien, Apologétique, La crédibilité de la révélation divine transmise aux hommes par Jésus-Christ, éditions Nuntiavit, 2011.
[5] R. P. Jean René, Manuel d’Écriture Sainte, Tome IV, Les Évangiles, n°46.
[6] Papias dans Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, XXXIX cité Manuel d’étude bibliques, Abbé Lusseau et Abbé Collomb, Tome I, Les Évangiles, chap. II.
[7] R. P. Jean René, Manuel d’Écriture Sainte, Tome IV, Les Évangiles, n°62.
[8] Saint Irénée, Contre les Hérésies, 1, 1.
[9] R. P. Jean René, Manuel d’Écriture Sainte, Tome IV, Les Évangiles, n°107.
[10] Lagrange, Saint Jean dans R. P. Jean René, Manuel d’Écriture Sainte, Tome IV, Les Évangiles, n°107.
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