« Si nous
savions ce qu'est un rayon de lumière, nous saurions beaucoup de choses »
(Louis de Broglie). Qu’est-ce que la lumière ? Cette question peut
paraître insolite dans notre essai apologétique. Elle peut aussi écarter les
esprits les moins scientifiques. Elle peut enfin nous égarer dans des
polémiques sans fin. Nous allons néanmoins tenter de répondre à cette question
qui au-delà de la Science, nous conduira vers une meilleure connaissance de la
Création mais aussi vers des questions fondamentales sur l’intelligibilité du
Monde. Cette étude nous aidera aussi à mieux comprendre nos limites dans
l’ordre de la connaissance scientifique.
Puis comment pouvons-nous défendre
notre foi face à certaines propositions supposées scientifiques sans connaître
les principes qui les fondent ? Le scientisme et le déterminisme laplacien
ne résistent pas en effet face à de telles questions et aux réponses que la
Science a apportées. Enfin, nous
aborderons peu à peu des erreurs qui aujourd'hui sèment la confusion dans les
esprits et égarent les intelligences dans le scepticisme et le relativisme. Nous
allons donc tenter d’exposer la question de la lumière, source de bien de
révolutions dans notre manière de penser.
Théorie corpusculaire contre théorie ondulatoire
Depuis le XVIIe siècle, les scientifiques se sont débattus
sur la nature de la lumière. Deux conceptions se sont longtemps affrontées. Fidèles
à Newton, certains scientifiques concevaient la lumière comme un flux de particules
porteur d’énergie (théorie corpusculaire) quand d’autres l’imaginèrent comme
une vibration de particules qui se transmettent de proche en proche dans le
milieu qui nous entoure (théorie ondulatoire). Dans la théorie corpusculaire,
les particules seraient émises dans le milieu par les corps lumineux, à une
extrême vitesse. Dans la théorie ondulatoire, la lumière est plutôt semblable à
une onde sonore qui se propage dans l’air ou aux vagues qui se déplacent sur la
mer.
La victoire de la théorie ondulatoire
Au XIXe siècle, des expériences convainquirent les
scientifiques que la théorie ondulatoire était plus conforme à la réalité. La
lumière fut donc perçue comme une pure propagation mécanique à partir d’une
source. Mais cette hypothèse ne tenait pas sans l’existence d’un milieu pour la
porter. L’onde sonore a besoin d’air pour se propager comme les rides sur l’eau
ont besoin effectivement d’eau. La théorie ondulatoire nous oblige alors à émettre
l’hypothèse de l’existence d’un milieu invisible dans l’espace : l’éther.
La lumière fut donc représentée comme une vibration qui se propage de proche en
proche dans l’éther.
Toujours au XIXe siècle, le scientifique James Clark Maxwell (1831 - 1879) précisa la nature électromagnétique de la lumière. Il élabora quatre lois qui décrivent
la façon dont le rayonnement électromagnétique se propage sous forme d’onde.
Elles sont à l’origine de la conception d’objets quotidiens aussi familiers que
le poste de télévision ou la radio. Maxwell découvrit aussi que la vitesse de
la lumière était fixe : environ 300 000 km par seconde. Cette
dernière découverte allait bouleverser toute la science…
A l’aube du XXème siècle, l’homme avait-il enfin résolu
une des questions qui le tourmentaient depuis la nuit des temps ?
Quelques questions bouleversantes
La lumière sous forme d’onde n’est pas compréhensible
sans l’existence de l’éther. Les scientifiques cherchèrent donc à découvrir les
propriétés de ce milieu invisible. Ses propriétés paraissaient étranges. Il
devait être constitué de charges électriques dont le changement de polarisation
permettrait à la lumière de se propager. Il devait traverser certains corps, ne
pas les ralentir dans leur mouvement. Il avait aussi des propriétés propres au
solide. Étrange milieu que l’éther…
Un jour, dans son bureau, un homme se posa une
question : que se passerait-il si nous nous déplacions à la vitesse de la
lumière en tenant devant nous un miroir ? Rappelons que si notre image se
reflète sur le miroir, cela signifie que la lumière se propage de notre visage
jusqu'au miroir. Si nous voyons notre visage sur le miroir, cela revient à dire
que la lumière va plus vite que la vitesse de notre mouvement, qui est,
rappelons-nous, la vitesse de la lumière. Or la vitesse de la lumière est fixe.
Donc la lumière ne peut pas aller plus vite que notre mouvement. En conclusion,
il n’est pas possible de se voir. Mais si le miroir ne reflète pas notre visage,
nous savons alors que nous bougeons à la vitesse de la lumière. Nous
connaissons notre vitesse. Cela signifie alors que notre mouvement est
indépendant d’un référentiel. Notre vitesse nous est en effet connue dans notre
propre mouvement. Pour être plus clair, cela reviendrait à connaître la vitesse
d’une voiture en prenant comme repère la voiture en mouvement ! Cette
conclusion s’oppose évidemment à la mécanique classique et à notre bon sens. La
vitesse de la voiture n’est connue qu’en fonction d'un repère fixe par
rapport à la voiture, par exemple la route. Un mouvement n’est en effet perceptible que par rapport à
un objet fixe, à un référentiel. Douloureuse contradiction...
Des théories incompatibles !
En effet, depuis au moins le cardinal Nicolas de Cues (1401 -1464) et surtout
depuis Newton, nous savons que tout mouvement est relatif à un référentiel. Un
voyageur assis dans un train sait qu’il quitte la gare quand il regarde le quai
qui reste immobile. Si deux trains circulent dans le même sens à la même
vitesse, un voyageur assis dans le premier train ne saura pas qu’il bouge en
regardant le second train. Il a besoin d’un repère fixe. Le mouvement se
détermine à partir d’un objet immobile. La vitesse répond à la même exigence.
En outre, comme la vitesse est la mesure d’une distance parcourue en un temps
fixé, il faut aussi une montre qui mesure le temps. Tout mouvement est ainsi
déterminé en fonction d’un référentiel (espace, temps).
Le scénario, appelé parfois « expérience de la pensée », que
définit le jeune homme dans son bureau expose en fait une contradiction de la
physique classique : le mouvement de la lumière peut être défini sans le
rapporter à un référentiel. Si la lumière a une vitesse fixe, cela revient à
dire qu’elle est indépendante de tout repère. Une simple question, certes
irréaliste, montre l’incompatibilité des théories de la physique classique. Nous
pouvons alors comprendre toute l’inquiétude de cet homme qui a finalement remis
en cause des théories scientifiques réputées inébranlables. « Quand j’étais jeune il m’arrivait de passer
des semaines dans un état second, comme quelqu'un qui devait encore à l’époque surmonter
l’état de stupéfaction causé par sa rencontre avec ce genre de questions ».
Cet homme était Einstein (1879 - 1955). Par la seule réflexion et sans aucune expérience, il
est arrivé à ébranler les certitudes scientifiques de son époque…
La fin des certitudes
Revenons à notre train et à la lumière. Un voyageur assis
dans un TGV ne peut pas déterminer son mouvement sans préciser le référentiel
dans lequel il le définit. Il est immobile dans le train mais il bouge dans le
paysage supposé fixe. Il n’est pas possible de percevoir son mouvement en se
référant à un objet fixe du train. Or Einstein montre que le mouvement de la
lumière est détectable à partir d’un référentiel interne au mouvement. Dans
l’hypothèse de la théorie ondulatoire de la lumière, nous concluons alors que
l’éther est un milieu au repos absolu. Le mouvement de la lumière est
identifiable car l’éther est immobile. Cette propriété est assez insolite.
L’air qui se trouve dans l’habitacle de notre voiture qui roule est « emporté » par la vitesse de notre
véhicule. L’éther est insensible au mouvement de la voiture.
Étant en repos absolu, l’éther serait alors un parfait
référentiel à partir duquel il serait possible de déterminer tous les
mouvements. Les physiciens vont alors tenter de déterminer le mouvement de la
Terre par rapport à l’éther. Mais à la fin du XIXe siècle, une expérience [5] montre que l’éther
est aussi « emporté » par
le mouvement de la Terre. Cruelle contradiction ! La vitesse de la
lumière, qui se propage dans l’éther, serait alors modifiée par le mouvement de
la Terre ?! Cela devient incompréhensible ! Or de nouvelles mesures confirment
que la vitesse de la lumière est fixe. La théorie est-elle donc fausse ? Les
différentes branches de la Science se contredisent… Les scientifiques ne
comprennent plus rien. Toutes leurs certitudes s’écroulent…
Quand vous marchez dans un TGV dans la même direction
et dans le même sens que ceux du train, votre vitesse par rapport à un
observateur immobile sur un quai est la vitesse du train à laquelle s’ajoute la
vitesse de votre marche. C’est ce que nous appelons la composition des
vitesses. Or les expériences que nous avons mentionnées précédemment montrent
que la vitesse de la lumière est invariable que le train soit en mouvement ou
au repos. Elle n’obéit donc pas à cette loi de composition…
Certains scientifiques ont tenté de porter secours à
la théorie en supposant de nouvelles propriétés de l’éther. Nous retrouvons alors
un réflexe scientifique courant : quand une théorie est contredite par des
expériences, la théorie est complexifiée par de nouvelles hypothèses pour
sauver les apparences. Les successeurs de Ptolémée ont en effet surchargé le
modèle géocentrique au point de le rendre très complexe. Parfois, il est plus
sage de rejeter le modèle. Comme Copernic à l’égard du géocentrisme, Einstein
décide de rejeter l’hypothèse de l’éther et de redéfinir de nouveaux principes.
Une nouvelle théorie va naître, celle de la relativité…
A en perdre son latin…
Einstein a démontré l’incompatibilité des théories de
la physique classique et leurs limites. Une expérience va poser un nouveau
problème à la communauté scientifique.
Une expérience avait montré la nature ondulatoire de la
lumière. Cette expérience est connue sous le nom de « trous de Young » du nom de son inventeur. Nous allons la
décrire de manière très simple. Imaginons une cloison qui dispose de deux trous
sur un axe horizontal. Un faisceau lumineux est envoyé sur cette cloison. Il la
traverse alors uniquement par les deux fentes. Nous obtenons en quelques sortes
deux sources lumineuses. Au-delà de cette cloison est disposé un écran sur
lequel se projettent les faisceaux lumineux qui proviennent des deux trous. Sur
cet écran, nous pouvons alors voir alternativement des franges claires et
foncées. C’est ce qu’on appelle une interférence. Les deux faisceaux, qui passent simultanément
par les deux fentes, se croisent. C’est une manifestation classique d’une onde
qui se décompose. La lumière devrait donc être une onde
puisqu'elle se manifeste comme une onde.
Clichée obtenu en envoyant de la lumière avec une faible intensité à travers des fentes d'Young |
Des scientifiques ont réalisé une expérience identique [1] mais en
remplaçant dans un premier temps le faisceau lumineux par un faisceau
d’électrons. Un faisceau d’électrons est envoyé sur la cloison qui dispose de
deux fentes. Les électrons qui passent par les fentes laissent ensuite une
tache brillante sur l’écran, ce qui permet d’enregistrer leur impact. Si une
des deux fentes est obstruée, nous observons une seule tâche lumineuse. Or quand
les deux trous sont ouverts, nous retrouvons des bandes claires et sombres
successivement. Le faisceau d’électrons se comporte donc comme une onde. Les
électrons qui passent à travers une fente s’interfèrent avec les électrons qui
passent par l’autre fente, créant ainsi une interférence.
La lumière serait-elle un faisceau de particules ?
Dans un deuxième temps, les scientifiques ont envoyé des
particules l’une après l’autre sur la cloison. Nous pouvons alors imaginer que des
particules passent par la première fente ou par la seconde, ou par aucune. En
localisant son impact sur l’écran, il est possible de déterminer par quelle
fente une particule est passée. En outre, en bouchant successivement une des
deux fentes, ils ont calculé la probabilité qu’une particule passe par la
première ou par la deuxième fente. Les deux fentes étant de nouveau ouvertes,
les scientifiques constatent sans grande surprise que la répartition des
particules sur l’écran obéisse aux probabilités calculées. Tel est le
comportement normal des particules…
Les scientifiques ont ensuite envoyé des électrons un
par un sur la cloison, espérant évidemment retrouver le même résultat. Après
avoir calculé les différents taux de probabilité avec l’une des deux fentes
obstruée, ils font la même expérience avec les deux fentes ouvertes. Comme dans
le cas précédent, chaque électron est d’abord localisé sur l’écran conformément
aux différentes probabilités. Mais après un certain temps, sur l’écran se
dessinent des franges plus ou moins épaisses d’impacts, c’est-à-dire des
interférences comme dans le cas des ondes.
Les impacts se regroupent en effet par petits paquets compacts. Si l’un des deux trous est de nouveau obstrué, cette interférence disparaît. Les scientifiques sont abasourdis : chaque électron individuel se comporte comme une onde ! S’interfère-t-il avec lui-même comme s’il était un paquet de particules ? Se divise-t-il devant la cloison pour passer en même temps dans les deux fentes ? Tout se passe en effet comme si l’électron passait par les deux fentes en même temps !... Les scientifiques ne sont qu’au début de leur cauchemar.
Les impacts sont aléatoires. Si nous répétons l’expérience, les impacts seront en effet différents mais nous obtiendrons toujours des bandes sombres et claires. Le phénomène semble être probabilistique.
Les impacts sont aléatoires. Si nous répétons l’expérience, les impacts seront en effet différents mais nous obtiendrons toujours des bandes sombres et claires. Le phénomène semble être probabilistique.
Pour savoir ce qu’il se passe au niveau des fentes, les
scientifiques vont alors chercher à localiser l’électron au niveau de la
cloison en utilisant un détecteur. De nombreuses mesures sont donc réalisées en
envoyant électron un par un. Selon le détecteur, l’électron passe tantôt par une fente, tantôt par
une autre. Soulagement ! Mais consternation : ils ne retrouvent plus
le dessin de diffraction sur l’écran ! Ils observent deux tâches
lumineuses. En clair, quand les scientifiques essayent de détecter un électron
au niveau des fentes, il se comporte comme une particule mais quand ils n’utilisent
pas de détecteur, il se comporte comme une onde, comme s’il était passé
simultanément par les deux trous ! Les résultats de l’expérience sont donc différents selon les méthodes d’observation. La mesure interfère-elle avec le
comportement des particules ?…
Nous en concluons donc :
- qu’un électron peut avoir un comportement de particule comme un comportement d’onde ;
- que le fait de vouloir le détecter conduit à lui faire changer de comportement.
Nous sommes
aux antipodes de la physique classique !
Et si la lumière …
Impacts des photons isolés au fur et à mesure après passage dans les fentes de Young |
Les effets photoélectriques [4] sont compréhensibles si
nous considérons la lumière sous forme d’onde. Mais si nous effectuons
certaines mesures, les résultats obtenus sont incompatibles aux lois qui
régissent les ondes. Elles correspondent plus à une nature corpusculaire. La
lumière peut-elle avoir comme l’électron deux comportements différents ?
Dans l’expérience des fentes, la lumière a un
comportement ondulatoire, dans l’effet photoélectrique, elle se comporte comme
un ensemble de corpuscules. La lumière est aujourd'hui définie comme un
ensemble de photons qui se manifestent soit de manière ondulatoire, soit de
manière corpusculaire. Mais les deux aspects, corpusculaires et ondulatoires,
sont indissociables. La lumière se comporte à la fois comme une onde et comme
un flux de particules, et non séparément.
Allons plus loin dans l’invraisemblance
En reprenant les suggestions d’Einstein sur la dualité
onde/ corpuscule de la lumière, le physicien Louis de Broglie suggère une autre
hypothèse : la dualité appliquée à la lumière pourrait être étendue à la
matière. La matière pourrait en effet posséder la double entité corpusculaire
et ondulatoire, être corpuscule et onde à la fois. Dans la vie
quotidienne, l’un de ses aspects est négligeable. C’est pourquoi certaines
choses apparaissent sous forme d’onde, d’autres sous forme corpusculaire. Mais
au niveau des particules, les deux aspects ne peuvent être négligés… Des
expériences confirment son hypothèse…
Conclusion
A la fin du XIXe
siècle, des scientifiques pensaient avoir atteint les lois fondamentales de la
physique au point de clamer la triomphe de la raison au détriment de la
philosophie et de la métaphysique. Mais le début du XXe siècle annonce un
revirement spectaculaire de la pensée scientifique. L’inébranlable certitude
laisse sa place à une profonde inquiétude. La communauté scientifique s’agite
pour trouver des explications. Une intense activité se déploie dans les
laboratoires et les universités. Des découvertes s’enchaînent rapidement. Les
idées virevoltent. Des scientifiques talentueux apparaissent et se succèdent
sans discontinuité. Un monde nouveau finit par naître. Au début du XXe siècle,
en très peu de temps, la connaissance de notre Monde a été bouleversée.
Les concepts que nous
utilisons couramment dans la physique classique sont-ils devenus un obstacle à la compréhension de la
réalité dans l’infiniment petit ? Devons-nous inventer
d’autres concepts plus complexes, toujours plus abstraits, toujours plus
éloignés de la réalité ? Plus nous abstrayons la réalité, plus elle devient
explicable. Plus nous nous éloignons de la réalité, plus nous la saisissons.
Telle est le paradoxe que nous révèlent la théorie de la relativité et la
physique quantique. « Par
l’évolution des théories, la physique est sans doute arrivée à donner de
l’Univers une image construite, construite d’une façon abstraite, mais
autrement plus approchée du réel que ne l’étaient les images de Ptolémée et de
Newton »[2].
Nous croyons connaître alors que finalement notre
ignorance est incommensurable. La réalité se soumet difficilement à nos modèles
dérisoires. La Nature recèle des mystères encore plus grands que ce que nous
croyons. Cette douloureuse expérience de la physique devrait nous rendre davantage plus humbles devant les limites de la Science et de la Raison. Cela ne
signifie pas que nous ne pouvons pas connaître – loin de nous le scepticisme -
mais que la connaissance nécessite avant tout prudence et humilité. La pensée
scientifique ne peut saisir toute la réalité telle qu’elle est. La connaissance
ne se bâtit pas uniquement à partir de la raison et de l’expérience. Que dirait
aujourd'hui Laplace devant l’aveu actuel de la Science ? Exclurait-il
encore Dieu comme hypothèse ? Pourtant, des scientifiques essayent de
trouver la formule qui expliquerait tout comme il existe des savants qui
pensent avoir trouvé les clés de la vie au point de jouer les apprentis
sorciers. Quelles expériences dramatiques leur feront-ils prendre conscience de
leurs vanités ?
« Il
y a plus de questions que de réponses – et plus je découvre, moins je
sais » (Johnny Nash)[3].
Références
[1] En 1927, Davisson et Germer ont effectué une autre expérience, plus simple à réaliser. Elle aboutit aux mêmes conclusions (diffractions des électrons dans un cristal de nickel). L’expérience des fentes de Young est plus tardive car plus complexe à réaliser. La première réalisation date de 1961 (Claus Jönsson).
[2]Aline Lizotte, Le Monde que je vois, 1980.
[3] Cité dans John Gribbin, A la poursuite du Big Bang, Interlude deux, 1992, Flammarion.
[4] L'effet photoélectrique désigne "l'émission d'électrons par un matériau soumis à l'action de la lumière" et parfois par extension "l'ensemble des phénomènes électriques d'un matériau provoqué par l'action de la lumière" (Wikipédia).
[5] Expérience de Michelson et Morley (entre 1881 et 1887).
[5] Expérience de Michelson et Morley (entre 1881 et 1887).
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