« Birth control désigne tantôt les pratiques contraceptives de l'individu, tantôt une intervention de la collectivité en faveur de leur diffusion ou, plus généralement encore une politique visant à limiter le nombre des naissances »[1]. Il n'est plus question de réguler les naissances mais de les limiter par la maîtrise de la procréation et par une procréation planifiée. La question est de savoir qui la planifie : les parents, la femme, l’État ou la société, ou encore des organismes nationaux ou internationaux ? L’idée de contrôle de naissance peut être entendue sous un double aspect, individuel et collectif. Nous voyons ainsi s’établir un dilemme...
Double aspect du Birth control : individuel et collectif
Du point de vue individuel, le contrôle de naissance cherche à répondre à un désir personnel, celui de la femme généralement. Il insiste alors sur « l’enfant désiré », sur le droit de la femme de disposer de son corps, ou encore sur les « droit reproductifs», c'est-à-dire « le droit des individus et des couples à décider librement du nombre, de l'espacement et du moment de naissance de leurs enfants »[2]. Le contrôle de naissance appartient alors à la mouvance féministe…
Du point de vue collectif, le planning familial souligne plutôt un intérêt social et politique : lutter contre la misère et la détresse des familles nombreuses, aider des femmes en situation de pauvreté extrême, contrôle démographique. Sous cet aspect, il peut revêtir le caractère de contrainte, voire d’oppression physique.
Planning contraint ou voulue, un faux débat
Le contrôle de naissance, contraint ou voulu, peut être alors l’enjeu d’un débat. De nombreux organismes de planning familial, y compris les grandes instances internationales, abordent ce débat et défend âprement la liberté. Le point de vue individuel semble donc être priorisé au détriment de l’aspect collectif. Mais ce débat est hors de propos. Le soulever ou le défendre est même intolérable.
Car quel que soit le point de vue que nous adoptons, le contrôle de naissance s’appuie avant tout sur la persuasion et sur un mensonge : faire croire qu’il est un droit soit individuel, soit étatique. Le contraindre par la force ou par la loi, ou le faire accepter par le mensonge ou la manipulation, quelle différence en soi ! Violence physique ou psychologique ? Choisissez si vous le pouvez. Le mensonge est même plus grave, plus pernicieux. Non seulement il est à l’origine des contraintes – pas de contraintes sans oppresseurs convaincus - mais encore il fait adhérer les victimes à leur propre détresse. Les victimes coopèrent à leur propre misère.
Car quel que soit le point de vue que nous adoptons, le contrôle de naissance s’appuie avant tout sur la persuasion et sur un mensonge : faire croire qu’il est un droit soit individuel, soit étatique. Le contraindre par la force ou par la loi, ou le faire accepter par le mensonge ou la manipulation, quelle différence en soi ! Violence physique ou psychologique ? Choisissez si vous le pouvez. Le mensonge est même plus grave, plus pernicieux. Non seulement il est à l’origine des contraintes – pas de contraintes sans oppresseurs convaincus - mais encore il fait adhérer les victimes à leur propre détresse. Les victimes coopèrent à leur propre misère.
Nous retrouvons cette ambivalence dans les noms qu’a portés successivement l’association française en faveur du « contrôle des naissances ». D'abord intitulée « Maternité heureuse », aujourd'hui elle est connue sous le nom de « Mouvement français pour le planning familial » (MPPF). En Belgique et au Luxembourg, l'association de planning familial a d’abord porté le nom de « Famille Heureuse ». Ces changements de nom ne sont pas anodins. Ils ont un sens. En fonction des points de vue, le but et les moyens préconisés sont différents.
« Insistons, par contre, sur la confusion constante qui s'établit dans les débats entre les divers aspects de la question et surtout entre l'aspect individuel (liberté de la femme, maternité consentie » etc.) et le point de vue collectif (vie de la collectivité, croissance, jeunesse). Ces deux points de vue peuvent conduire à des solutions différentes, sinon opposées »[3].
La planification familiale, une priorité de santé publique…
Quel que soit le point de vue adopté, le contrôle de naissance est présenté comme un remède à une situation intolérable. Solution à la misère sociale, elle cherche à contribuer au bonheur et à la qualité de la vie pour les parents et pour les enfants. « Maternité heureuse », « Famille heureuse »… L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) la considère comme une priorité de santé publique : « La santé des populations et principalement des femmes dépend étroitement de la planification familiale et du contrôle des naissances. Les objectifs fixés par les Nations Unis concernant l’amélioration de la santé de la femme ne pourront être atteints que si une vrai politique de planning familial est développée. Dans cet objectif, l’OMS a souligné la priorité de développer cette politique de santé »[4]. A l’origine, Margarete Sanger, pionnière du « Birth Control », a lancé son mouvement pour répondre à une véritable détresse, celle des femmes qui enchaînent les grossesses dans un cadre familial misérable et qui finissent par mourir, souvent suite à des avortements clandestins.
Le contrôle de naissance reprend alors les arguments de Malthus [5] tout en rejetant ses préconisations (chasteté, responsabilisation). Il s’appuie sur le principe de la population - ressources insuffisantes face à une croissance démographique galopante – pour dénoncer la misère qu’entraîne la multiplication d’enfants dans des familles démunies. Il demande donc de réguler les naissances pour éviter la surpopulation et la pénurie. Le contrôle de naissance se présente comme la solution d’un problème de société grave. Il incombe donc à l’État de le soutenir, voire de le contraindre.
Le contrôle de naissance voie aussi au travers des enfants les « tares génétiques » qui se transmettent de génération en génération. En absence de sélection naturelle efficace, l’homme doit intervenir pour sélectionner ceux qui doivent naître afin d’éviter que la misère se propage. Les solutions ne peuvent donc qu’être actives et rationnelles selon un plan bien réfléchi en vue d’éviter la déchéance raciale et d’améliorer le genre humain. Des eugénistes ne peuvent donc qu’être favorables au contrôle de naissance. Des partisans du contrôle de naissance sont souvent des eugénistes convaincus. L’IPPF a été fondée grâce à la Société eugénique anglaise à laquelle elle a appartenu au moins jusqu'en 1977.
Enfin, la multiplication d’enfants est présentée comme facteur de paupérisation de la population et de détresse des familles car les familles concernées ne sont pas prêtes à les accueillir. Le contrôle de naissance insiste alors sur l’environnement de la famille (matériel, social, moral) le plus adéquat pour accueillir un enfant et l’élever. Il définit donc les conditions pour lesquelles une naissance est viable. Quels pouvoirs extraordinaires entre leurs mains !
Le contrôle de naissance pour répondre à un désir ou à une volonté ?
En prenant un point de vue individuel, les partisans du planning familial défendent la liberté de chacun. « La planification familiale ou planning familial ou politique génésique est l’ensemble des moyens qui concourent au contrôle des naissances, dans le but de permettre aux femmes et donc aux familles de choisir à quel moment elles auront un enfant » [6]. Cette liberté consiste donc à choisir à quel moment un enfant peut naître. Ce droit de procréation appartient à la femme, considérée comme « le maître de son corps et de sa vie ». Mais l’enfant doit-il être désiré ou voulu ? Drôle de question… Le désir et la volonté signifient-ils en effet la même chose ? Certes, le résultat est le même : laisser l’acte de procréation jusqu'à son terme mais l’origine de l’adhésion est différente. L’un a pour origine les sens, le sentiment, la passion, l’autre l’intelligence, le calcul.
La pitié et la colère sont probablement à l’origine de « Birth Control »[7]. La volonté de contrôler rationnellement la croissance démographique ou la qualité de la race est aussi une des sources d’inspiration du mouvement. Sentiment et intelligence... Le désir et l’intelligence se croisent, se mêlent étroitement.
Mais l’enjeu dépasse le désir individuel ou la volonté mûrement réfléchie. Le sous-titre de la première revue de Margarete Sancher est pour cela significatif : Ni dieux, ni maîtres. Elle n’est pas la seule qui tente de se dresser contre « un pouvoir borgne, des hommes durs, des juges impitoyables, des prêtres et des médecins bornés »[8]. Les « maîtres » sont les hommes, notamment les juges, les prêtres et les médecins, ceux qui connaissent le droit, les consciences, les corps. Ce sont en quelques sortes les garants de la santé et de l’ordre de la société. Le contrôle de naissance s’oppose donc à ces régulateurs et veut imposer une autre société ou plus précisément d'autres valeurs.
Contrairement aux néo-malthusiens qui voient le contrôle de la procréation comme le moyen d’aboutir à une nouvelle société, le « Birth Control » semble vouloir changer la société pour rendre normal le contrôle de naissance. Il y a une volonté de normalisation par destructuration : détruire un modèle pour en imposer un autre. Mais aujourd'hui le moyen est devenu un objectif : « Remettre en cause les pratiques et normes culturelles qui présentent un danger pour les jeunes ainsi qu’agir comme un catalyseur pour un mouvement mondial des jeunes dont le but est de changer les mentalités »[9]. L’IPPF défend « une politique de transformation de la société »[10] : théorie du genre, homosexualité, PMA…
Contrairement aux néo-malthusiens qui voient le contrôle de la procréation comme le moyen d’aboutir à une nouvelle société, le « Birth Control » semble vouloir changer la société pour rendre normal le contrôle de naissance. Il y a une volonté de normalisation par destructuration : détruire un modèle pour en imposer un autre. Mais aujourd'hui le moyen est devenu un objectif : « Remettre en cause les pratiques et normes culturelles qui présentent un danger pour les jeunes ainsi qu’agir comme un catalyseur pour un mouvement mondial des jeunes dont le but est de changer les mentalités »[9]. L’IPPF défend « une politique de transformation de la société »[10] : théorie du genre, homosexualité, PMA…
Le contrôle de naissance est avant tout une dissociation
La femme est libre si elle est capable de vouloir ou non sa grossesse, tel est le discours classique du planning familial. Qu’est-ce que cela signifie réellement ? Elle doit pouvoir vivre ses désirs jusqu’aux bouts sans systématiquement aboutir à une grossesse. Il y a donc dissociation entre le plaisir et la procréation dans l’acte même de la vie. N’oublions pas en effet que l’acte a pour finalité naturelle la transmission de la vie. Il est l’acte de la procréation. Le plaisir n’est qu’un moyen et non le but de l’acte. Il est étrange que ceux qui souvent compare l'homme à l'animal et prônent le contrôle de naissance, voire la liberté sexuelle, rejettent cette vérité naturelle...
La femme doit vouloir et pouvoir dissocier dans l’acte moyen et finalité. Elle doit d’abord vouloir cette dissociation puis disposer des moyens de la réaliser en pratique. Le contrôle de naissance tente d’abord de la persuader que d’une part, le désir en soi contribue à son bonheur et à son épanouissement personnel, et d’autre part, que la grossesse et l’enfant peuvent la nuire. Il souligne alors ce choc, cette contradiction profonde qui subsiste dans l'acte, à la fois source de bonheur et de mal. Comment résoudre cette contradiction? Le contrôle de naissance préconise une solution subtile.
Que dit-il en effet ? Que l’enfant n’est pas considéré comme un mal s’il est avant tout objet de désir ou s’il est vu comme un projet bien mûri. Il est un bien s’il participe au bonheur de ses parents. Il n’y a donc plus de contradiction si la femme voit la procréation comme un acte qui fait intégralement partie de son bonheur. L’acte n’a donc plus pour vocation première la procréation mais le bonheur de la femme. Elle est rendu "moralement" possible si l'acte concourt à son bonheur. Finalement, la femme ou les parents, et non plus l’enfant, est au centre de l’acte de la procréation. Renversement terrible des valeurs ! Ils doivent donc pouvoir décider ou non d’enfanter. La logique est implacable.
Une autre démarche est de ne plus se centrer sur la femme mais sur le couple. Le contrôle de naissance affirme « le désir de liberté ressenti par les femmes et les hommes qui souhaitent pouvoir décider d’avoir ou non des enfants tout en jouissant de la vie sexuelle indispensable, base de l’union des couples ». Nous parlons plus de bonheur ou d’épanouissement personnel mais de fondement du couple. Le désir, ou plus clairement le plaisir sexuel, est vu comme la « base de l’union des couples ». Comme la finalité de l’acte de la procréation est dénaturée, de même, l’acte même de s’unir, de vivre en couple, est aussi dénaturé. Nous arrivons alors à la conclusion : « la sexualité sera dissociée de la procréation » [11]. Mais le promoteur du planning familial en France va encore plus loin. Il rajoute : « et la procréation de la paternité »[12]. La dernière dissociation, la plus terrible et la plus absurde, est en effet celle qui séparera la procréation de la paternité. Or nous sommes déjà arrivés à ce stade : banque de sperme, procréation médicalement assistée, mariage entre homosexuel, etc.
Un mouvement féministe
Le contrôle de naissance insiste sur le rôle de la femme. Elle en est le principal acteur de l’acte puisque c’est bien elle qui porte l’enfant et endure les souffrances physiques de la grossesse et de l’accouchement. D'où l’argument indiscutable et encore absurde : le corps de la femme appartient à la femme.
Le contrôle de naissance se revendique ouvertement comme un mouvement féministe et participe à toutes les associations féministes. Il est bien féministe et joue efficacement son rôle en opposant les femmes et les hommes, les premières présentées comme victimes de l’oppression des mâles. La « Maternité heureuse » « contribue à construire une figure de la femme digne, mais victime de conditions sociales difficiles, de la législation répressive et seule face à des hommes irresponsables, coupables d’inattention, d’abandon, d’adultère »[13].
Un livre récent montrerait que le contrôle de naissance est « progressivement devenu un enjeu proprement féministe »[14]. Nous ne le pensons pas tant les objectifs de l’IPPF sont clairs et embrassent des actions qui dépassent largement le féminisme. Le féminisme n’est qu’un vecteur supplémentaire pour le planning familial…
Le contrôle de naissance ou contrôle de la société ?
Les mouvements issus du « Birth Control » décrivent le contrôle de naissance comme le remède efficace pour combattre la misère et rendre à la femme sa liberté supposée perdue. La procréation est présentée non seulement facteur de pauvreté et de détresse, que la société ne peut tolérer, mais aussi d’enchaînement, d’aliénation, de malheur individuel. Dans leurs discours, ils dénaturent la finalité naturelle de l’acte de procréation en dissociant dans l’acte l’intérêt du « couple » et celui de la société, le désir et la procréation elle-même. En acceptant cette dissociation, le contrôle de naissance devient possible.
Il existe pourtant d’autres solutions pour remédier aux maux que peuvent générer des grossesses répétées et déraisonnables. C’est simplement d’éviter l’acte. C’est-à-dire : l’abstinence et l'éducation. Comme le préconisait Malthus, la chasteté et la responsabilisation des acteurs sont des remèdes efficaces. Mais le contrôle de naissance rejette catégoriquement ces solutions, jugées nuisibles. Que signifie ce choix unique et radical ?
Prenons conscience que dans cette solution radicale, il y a avant tout un désengagement du « couple » dans l’acte de la procréation, c’est-à-dire dans le seul acte qui transmet la vie et fonde l’avenir. Comment ? C’est bien le couple qui décide pourtant ? La question n’est pas de savoir qui décide ou non de procréer mais qui fixent les conditions pour que la procréation ait lieu. Et comment ? Et pour quelles raisons ?Telles sont les véritables questions. Car celui qui parvient à fixer ces conditions devient finalement le maître de l’avenir…
Car effectivement,
- en acceptant la finalité naturelle de l’acte de procréation, la femme et l’homme acceptent, peut-être inconsciemment, que Dieu soit le maître de la vie puisqu'ils acceptent les règles naturelles qu’Il a fixées [15]. Ils adhèrent aussi à la Providence divine ;
- en dénaturant l’acte de procréation, ils donnent cette souveraineté à d’autres, par exemple à la pression sociale, à l’opinion dominante, aux médecins ou encore à leurs passions ou à leur égoïsme… Ils changent simplement de « maîtres ». Gagnent-ils au change ?...
Sous ses deux aspects, individuel et collectif, l’acte de procréation perd sa finalité qui n’est plus la naissance d’un enfant mais doit répondre aux plaisirs et à l’intérêt collectif. L’enfant naît par rapport à un projet individuel ou collectif. Dans le contrôle de naissance, l’enfant n’est donc plus au centre des débats. Des intérêts extérieurs à l’enfant sont au cœur des discours. Quelle famille peut être viable et dans quelles conditions ? Quelle société peut alors réellement tenir en délaissant ses enfants ?
La liberté qui est proposée consiste alors à choisir entre l’intérêt collectif ou l’intérêt individuel. De manière pratique, le contrôle de naissance cherche soit à réduire la croissance démographique au détriment de la famille, ou à jouir du plaisir sans procréer (contraception) ou enfanter (avortement).
Répandre la « bonne parole » et les moyens de les pratiquer
Ainsi le contrôle de naissance consiste à persuader la population qu’effectivement, il est possible de dissocier l’acte de procréation en privilégiant selon les circonstances[16] soit l’aspect collectif, soit l’aspect individuel, pour rendre acceptables les pratiques de contraception et l’avortement. Cela passe donc par des « campagnes de sensibilisation » avec des slogans devenus célèbres, par des séances d’informations dans les centres de planning familial, par des revues, des articles, des émissions, bref en utilisant tous les canaux possibles de diffusion d’informations.
Mais ces actions seraient vaines si elles ne consistaient qu’à diffuser de l’information. Il diffuse aussi les moyens de dissociations, c’est-à-dire les moyens de contraceptions. Il est à l’origine des recherches pour les rendre plus efficaces et plus pratiques. Il est aussi à l’origine de leur commercialisation et de leur « démocratisation ».
Enfin, tout cela serait encore vain si la loi interdisait de telles pratiques. Ce serait même avantageux qu’elle les favorise. Ainsi, le contrôle de naissance cherche à modifier les lois en faveur de leur cause et à recevoir le soutien des États [17].
Conclusion
Le véritable objectif du planning familial est de modifier le modèle de société tout en étant « socialement » acceptable. Sous certains aspects, il est néo-malthusien et eugéniste. Son champ d’action a depuis longtemps dépassé la procréation pour atteindre la sexualité et la parentalité. Elle touche de plus en plus à notre perception de notre vie intime et sociale afin d’imposer son modèle, ses références. L’objectif est de reconstruire l’homme. Mais contrairement aux anarchistes et aux apprentis « jardiniers », le contrôle de naissance a réussi à se répandre dans toutes les couches de la société et dans tous les pays au point qu'aujourd'hui, il est devenu si évident qu’il paraît être un droit pour tous…
Références
[1] La limitation des naissances en France, In Population, 11e année, n°2, 1956 pp. 209-234., http://www.persee.fr/web/revues.
[2] Ariette Gautier, Politiques démographiques et liberté reproductive, conférence internationale sur la population et le développement, tenue au Caire en 1994. Nous notons toujours l'ambivalence entre régulation et limitation.
[3] La limitation des naissances en France
[4] Agostini, Blanc, Planning familial et régulation des naissances dans les pays en développement.
[5] Voir Émeraude, article Le Malthusianisme, juillet-août 2013.
[6] Agostini, Blanc, Planning familial et régulation des naissances dans les pays en développement.
[7] Voir l’article suivant « L’origine du Birth Control : le véritable combat de Margaret Sancher ».
[8] Perrinne Simon-Nahum, La longue marche : le Planning familial et la contraception, biographie de Pierre Simon.
[9] Articles IPPF sur http://ngp-db.unesco.org. Voir Émeraude, novembre 2013, article « Birth control, planning familial, contrôle de naissance ?».
[10] IPPF sur http://ngp-db.unesco.org.
[10] IPPF sur http://ngp-db.unesco.org.
[11] Simon, ancien vice-président du Mouvement Français du Planning familial, De la vie avant toute chose, cité dans Eugénisme (3) : Une histoire de Femme, ou les débuts du « planning » en France.
[12] Simon, ancien vice-président du Mouvement Français du Planning familial, De la vie avant toute chose, cité dans Eugénisme (3) : Une histoire de Femme, ou les débuts du « planning » en France.
[13] Biblia Pavard, Si je veux quand je veux. Contraception et avortement dans la société française (1956-1979), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2012, cité dans www.contretemps.eu/lectures.
[14] www.contretemps.eu/lectures selon la lecture de Si je veux quand je veux. Contraception et avortement dans la société française (1956-1979).
[15] La chasteté est aussi une vertu inculquée par Dieu.
[16] L’IPPF distingue les « objectifs » selon les pays : liberté individuelle pour les pays développés (procréation et enfant obstacles à cette liberté), réduction de la population pour les pays en voie de développement (forte population obstacle au développement).
[17] Le Mouvement Français pour le planning familial est reconnu d’utilité publique depuis 1970.
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