Le véritable art sait émouvoir et transmettre de grandes vérités. Une peinture, une fresque, un tableau peuvent saisir l’âme et l’élever vers une profonde quiétude. Une véritable œuvre d’art recèle un trésor qui ne peut qu’embellir une âme docile. Dans l’art chrétien, trois images nous étonnent et nous émerveillent : le Christ enfant, le Christ souffrant et le Christ glorifié…
Dans un ciel bleu étoilé, dans une lumière sans ombre, le Christ nous regarde, la tête entourée d’un nimbe. Dans des fonds or, deux lettres grecques : alpha et oméga. Dans la main gauche, Il tient ouverte la Sainte Bible. De la main droite, deux doigts tendus, Il esquisse un geste de bénédiction. Sa chevelure est abondante, sa barbe courte. Doux et profond, son regard nous interpelle. De ses lèvres entre-ouvertes, une parole s’échappe... Tel est le Christ en gloire et en majesté. C’est le Christ du Jugement, le Christ Pantocrator…
Catacombe de Commodille (Rome) |
Le Christ Pantocrator est la représentation de Notre Seigneur dans sa gloire et sa majesté. Il appartient pleinement à notre tradition. En Occident, sa plus ancienne représentation connue remonte au IVème siècle à Rome. Nous pouvons la contempler dans les catacombes de Saint Pierre et de Saint Marcellin, dans celles de Commodille ou encore dans l’église de Pudentienne. Le Christ Pantocrator domine surtout l’art byzantin. Il est l’icône devant laquelle les fidèles viennent prier. Il est le Christ des coupoles et des absides…
Signification du terme de « pantocrator »…
« Pantocrator » vient du grec « πaντοκράτωρ » ou encore « pantokrátôr », « panto » signifiant « tout » et « krátôr », « puissant »[1]. Il peut se traduire par « tout-puissant ». Il est proche d’un autre terme grec : « παντοδύναμος », qui signifie aussi exactement « tout-puissant ». Dans la Septante [16], nous retrouvons à plusieurs reprises le terme de « Pantocrator ». Dans l’Ancien Testament, il traduit généralement l’expression « Sabaoth » (II, Sam., V, 10, VII, 8), que nous traduisons par « maître des armées », ou encore « El Shaddaï »[2] (Job, V, 17). Le « Seigneur des Armées » est aussi appelé le « dominateur » (Amos, V, 16). Dans le Nouveau Testament, nous le retrouvons une fois dans une épître paulinienne (II, Cor., VI, 18) et neuf fois dans l’Apocalypse. La Vulgate [17] traduit les deux termes « πaντοκράτωρ » et « « παντοδύναμος » par le même mot latin « omnipotens ».
Dans la Sainte Bible en hébreu, deux termes désignent Dieu : « Elohim », l’être souverainement redoutable, et « Yahew » lorsqu’Il est en relation avec les hommes [3]. Nous avons aussi cette distinction dans le terme « tout-puissant » :
- « παντοδύναμος » a un sens absolu : Dieu est tout-puissant en Lui-même. Le terme « δύναμις » se traduit par « potentia », « pouvoir », « capacité » ;
- « πaντοκράτωρ » a un sens relationnel. Dieu est tout-puissant par rapport à autre chose que Lui. Le « κράτος » signifie plutôt « potestas » ou encore « souveraineté ». « krator » vient en effet de « kratein », dont un des sens est « tenir solidement dans ses mains, soutenir, contenir, tenir ensemble ». Le « pantocrator » est celui qui tient ensemble toute chose.
Ainsi le Christ « Pantocrator » est le Christ qui règne sur l’Univers. « Il ne s’agit pas seulement de la capacité de celui qui peut tout faire. Ce terme actif indique l’actualisation de cette capacité dans une visée de souveraineté royale, de majesté, d’autorité et de transcendance. Il évoque aussi l’activité créatrice et la providence d’un Dieu qui « tient » tout l’Univers. Il a d’abord un sens cosmique, et prend par la suite un sens politique »[4].
Un terme en usage dans l’Église
Au IIème siècle, l’expression « Tout-Puissant » dans le sens de « Pantocrator » est très employée dans la littérature chrétienne. Saint Clément l’emploie souvent dans son Épître aux Corinthiens. Dans le récit du martyre de Saint Polycarpe, nous retrouvons aussi l’expression « Dieu le Père tout-puissant », qui « avec les Apôtres et tous les justes, dans l’allégresse, glorifie Dieu, le Père tout puissant, et bénit notre Seigneur Jésus-Christ » (19, 2)[5]. Elle est aussi très présente dans les premières Préfaces liturgiques [6].
Les symboles de foi dans leur version grecque emploient aussi le terme « Tout-puissant » sous la forme relationnelle [7]. Ces termes sont tous traduits en latin par « omnipotentem ». Le texte le plus ancien est une lettre apocryphe (160-170), intitulé Lettre aux Apôtres, aujourd’hui conservée dans une version éthiopienne. Nous y trouvons une autre traduction en latin : « Patrem dominatorem universi », « Père, souverain de l’Univers »[8].
Dieu est Tout-Puissant par nature. Le titre de « Tout-Puissant » est en effet un attribut divin. Ainsi selon notre foi, conforme au dogme de la Sante Trinité, ce titre est fréquemment associé avec le Père et le Fils et convient aussi au Saint Esprit. La toute-puissance de Dieu est infinie, sans limite. Mais, dès l’instant de la Création, Dieu devient Pantocrator. Dans l’Univers, il y a « deux classes de choses : la Divinité et la Création, la Seigneurie et la Servitude »[9].
Et c’est cette deuxième notion que nous évoquons dans notre profession de foi. Elle n’évoque pas en effet directement la toute puissance divine en soi. Elle dépasse cette notion pour traiter d’un Dieu personnel en relation avec la Création. Elle parle précisément de Dieu le Père. Dans leur combat de la foi, les martyrs ont ainsi opposé le Pantocrator aux Autocrators, c’est-à-dire aux empereurs. La « Maître du Monde » n’est pas l’homme couronné mais Dieu seul.
Comme nous le confessons dans notre Credo, le titre de « Pantocrator » revient plus spécialement à Dieu le Père, Créateur de toute chose. Et pourtant, c’est bien le Christ Pantocrator qui est peint sur les icônes !
Christ en majesté (Sainte Foy de Conques) |
Dieu a remis toute autorité au Christ
Que dit Notre Seigneur en s’adressant à son Père ? « Tout ce qui est à moi est à vous, et tout ce qui est à vous est à moi » (Jean, XVII, 10). Le Christ a reçu de Dieu le Père toute puissance. « Toute puissance m’a été donnée dans le ciel et sur la terre » (Matth., XXVIII, 18). Il a reçu encore plus. Dieu le Père lui a remis toute autorité. « Dieu l’a exalté et lui a donné un nom qui est au-dessus de tout nom, sur la terre et dans les enfers ; afin qu’au nom de Jésus, tout genou fléchisse dans le ciel, sur la terre et dans les enfers » (Ph., II, 11). Car le Christ a librement obéi à Dieu le Père jusqu’au calvaire. Il a consommé l’œuvre qu’Il lui a donné à faire. « Que ma volonté ne se fasse pas, mais la vôtre » (Luc, XXII, 42). Le Christ a donc reçu toute autorité, mais l’exerce-t-il ?
De nature divine, égal à Dieu le Père, Dieu le Fils est aussi par essence le « Tout-Puissant » , « puisque le Verbe de Dieu, en tant qu’il est de même substance que le Père, ne peut pas ne pas avoir tout en commun avec le Père, et donc aussi la souveraineté suprême et la plus absolue sur toutes les créatures »[10]. C’est donc « en tant qu’il est homme qu’il peut être dit qu’il a reçu du Père la puissance et l’honneur » [11]. Le Christ règne donc par « droit natif » et par « droit acquis » [12].
Une autorité qui s’exercera pleinement à la fin des temps et qui s’exerce dès maintenant
La Sainte Écriture associe généralement au Christ le terme « Pantocrator » quand elle évoque la fin des temps, c’est-à-dire quand sont pleinement accomplis les desseins de Dieu, quand Dieu sera « tout en tous » (I. Cor., XV, 28). Reprenons les paroles de Saint Paul. « La fin suivra, lorsqu’il [le Christ] aura remis le Royaume à Dieu et au Père, qu’il aura anéanti toute principauté, toute puissance. Car il faut qu’il règne jusqu’à ce que le Père ait mis tous ses ennemis sous ses pieds. Or, le dernier ennemi détruit sera la mort ; car il lui a mis tout sous ses pieds » (I. Cor., XV, 24-26). Notre Seigneur exercera donc pleinement sa souveraineté sur tout l’Univers au terme de l’Histoire. Ainsi, pourra-t-Il exercer le droit de justice qui incombe à tout souverain. Il jugera les Vivants et les Morts. « J’entendis encore comme la voix d’une grande multitude, comme la voix de grandes eaux, et comme de grands coups de tonnerre, qui disaient : Alleluia ; il règne le Seigneur notre Dieu, le Tout-Puissant » [Pantocrator] (Apoc., XIX, 6).
Notre Seigneur exerce son autorité depuis son Ascension. Dieu le Père Lui a en effet communiqué toutes ses prérogatives seigneuriales par sa glorification pascale. Le Christ est assis à sa droite, signe de sa nouvelle autorité.
Le retour à la pleine souveraineté de Dieu…
Insistons sur cette vérité : de nature divine, égal à Dieu le Père, Notre Seigneur Jésus-Christ est aussi par essence le « Tout-Puissant ». Il y a donc un écart entre la souveraineté de droit, en tant qu’il est Dieu, et la souveraineté de fait, c’est-à-dire la jouissance effective et définitive de cette souveraineté. Mgr Batut, évêque auxiliaire de Lyon, voit dans cet écart le devenir de l’Univers et de l’Humanité, c’est-à-dire l’Histoire rendue possible par la liberté humaine que Dieu a donnée à l’Homme. Le péché originel a rendu cet écart encore plus infranchissable. Il est devenu infini. L’infinie miséricorde de Dieu a comblé cet abîme…
La Genèse nous révèle que Dieu a remis la régence de la Création à l’Homme. Il en est donc l’intendant. Par le péché des origines, il est devenu ensuite l’enfant rebelle, soumis au diable, à la mort. La Création perd la paix originelle. Mais, conformément à la promesse divine du Protévangile [18], à la fin des temps, ses ennemis seront mis « sous ses pieds » (I. Cor., XV, 25). L’Histoire s’achèvera par le triomphe de Dieu. Par son obéissance jusqu’à la Croix, Dieu le Père a remis à Notre Sauveur la royauté qu’Il a acquise à si grand prix. Il est ainsi véritablement le « premier-né de la Création », d’une Création libérée. Cette souveraineté sera pleine et entière lorsque cessera le temps, lorsque la mort sera vaincue… « Lorsque tout lui aura été soumis alors le Fils lui-même sera soumis à Celui qui lui a soumis toutes choses afin que Dieu soit tout en tous » (I. Cor., XV, 28).
L’Histoire est ainsi le lieu de la réalisation du Royaume de Dieu. Jusqu’aux derniers instants, Notre Seigneur établit son règne, recueille ses élus et défait ses ennemis. Ce temps laborieux forme l’histoire humaine qui s’achèvera par le retour à Dieu de tous ceux qui auront consenti à appartenir à son Christ. « Notre Seigneur Jésus-Christ après avoir triomphé de toutes les puissances ennemies, vaincu toute influence, ruiné tout pouvoir hostile au sien, amène à Dieu toutes les natures humains dont il est roi ; et, n’ayant comme Fils travaillé que pour son Père, il lui remet le sceptre de tout ce qu’il a conquis »[13].
Il lui faut que le Monde soit soumis à Jésus-Christ. « Il faut qu’Il règne » (I. Cor, XV, 25). Comme Saint Paul, rappelons-nous la promesse de Dieu : « Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que j’aie mis tes ennemis sous l’escabeau de tes pieds » (Ps. CIX, 1). Tout viendra, tout s’inclinera devant Lui, au Ciel, sur la terre comme dans les Enfers. Alors « le Verbe à qui toutes choses auront été soumises, se soumettra lui-même et s’inclinera avec tout ce qui est à lui, devant le pouvoir souverain de son Père qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous » [14].
Dieu impuissant ?
al Divino Salvador del Mundo (San Salvador) |
Quand nous récitons Notre Père, nous demandons que sa volonté soit faite. Cela ne signifie pas que Dieu est impuissant. Que deviendrait nos prières si finalement sa « toute-puissance » était vaine ? Nous Lui demandons que sa souveraineté s’exerce effectivement sur nous et sur sa Création, que « Dieu soit tout en tous », que notre propre volonté se soumet à la sienne. Ce n’est pas la souveraineté de Dieu qui est remise en cause mais notre soumission à sa « toute-puissance »…
Si la souveraineté effective de Dieu doit atteindre sa plénitude à la fin des temps, Il reste maître de toute chose. L’œuvre de la Création n’est pas livrée à elle-même, au hasard ou à la nature elle-même comme le prétendent les évolutionnistes. Dieu demeure « Celui qui pourvoie au bien de toutes choses et les gouverne »[15]. Rien ne se produit sans sa permission. La divine Providence est une vérité de foi indissociable à celle de la Création.
La « Toute-puissance » de Dieu s’exerce sur l’ensemble de la nature, y compris chez les hommes, non comme un tyran ou un despote comme le croyaient les religions antiques, mais comme un Père attentionné.
Enfin, si Dieu le Père est dit Pantocrator, cela ne signifie pas que Dieu le Fils lui est soumis comme le croyaient les ariens et d’autres hérétiques. Le titre de « tout-puissant » est proprement divin. Par sa nature divine, Notre Seigneur est également « tout-puissant ». En outre, le titre de « Pantocrator » qualifie la relation entre Dieu et ses créatures. L’acte de Création est à l’origine de la souveraineté de Dieu. Entre Dieu le Père et Dieu le Fils, il n’y a pas de création mais bien génération.
Le péché signe d’impuissance de Dieu ?
Tout péché est un refus de la souveraineté de Dieu et non une négation de sa toute-puissance. Rien ne change en Dieu. Le péché n’affecte pas la nature divine. Du fait de sa révolte, par le péché originel, Adam a rompu les liens avec Dieu. La créature s’est révoltée contre le Père. Mais sa paternité et tous les droits afférents demeurent. L’œuvre de la Rédemption a de nouveau rendu possible cette relation. L’homme a retrouvé sa liberté sans laquelle la souveraineté n’est plus possible. Par Notre Seigneur Jésus-Christ, l’homme est de nouveau capable de connaître et de vivre cette relation de son plein gré. Plus encore ! L’homme est même invité à partager sa souveraineté sur la Création. Il n’est plus intendant de la Création.
Conclusion
En distinguant « potentia » et « potesta », nous comprenons mieux en quoi Dieu sera « tout en tous » à la fin des temps. C’est bien en se soumettant de plein gré à la souveraineté de Notre Seigneur Jésus-Christ que se rétablit en nous et dans la Création la souveraineté de Dieu le Père, souveraineté que nos premiers parent ont rejetée. Par le péché, nous perdons cette liberté que rend possible Notre Seigneur Jésus-Christ. Par sa Passion et sa Croix, Notre Rédempteur a acquis la souveraineté sur nous et sur toute la Création. A la plénitude des temps, cette souveraineté sera pleine et entière. Ce sera la fin de l’ordre actuel des choses, marqué par le péché originel. Un ciel nouveau et une terre nouvelle apparaîtront. Telle est la Création nouvelle tant attendue. Le règne du Christ Sauveur fera alors place à celui de Dieu le Père …
« Et je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et il n’y avait plus de mer. Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, une Jérusalem nouvelle, prête comme une épouse qui s‘est parée pour son époux. Et j’entendis une voix forte qui venait du trône et qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes : il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu même sera avec eux comme leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses auront disparu » (Apoc., XXI, 1-4).
Références
[1] « κράτος » : « 1. Force du corps, vigueur, solidité. 2. domination, puissance ; pouvoir royal, puissance souveraine. 3. Victoire » (Dictionnaire M.A. Bailly).
[2] Ou encore « El-Chaddaï », littéralement « Dieu des montagnes », interprété comme « Tout-Puissant » ou « Seigneur » (Dictionnaire de la Bible, Robert Lafont, Bouquins, article « El-Chaddaï », 1989).
[3] Voir Émeraude, 13 juillet 2012, article « La Création selon la Sainte Écriture ».
[4] Bernard Sesboüe Le Dieu du Salut, Chapitre II, 2, Histoire des Dogmes sous la direction de Bernard Sesboüe, Tome I, Desclée.
[5] Le Martyre de Polycarpe, traduits de P.-TH. Camelot, Les Écrits des Pères Apostoliques, Les Éditions du Cerf.
[6] Bernard Sesboüe Le Dieu du Salut, Chapitre II, 2, Histoire des Dogmes, Tome I. Nous retrouvons notamment le terme de « maître tout-puissant » dans la Didaché (X,3).
[7] Symbole baptismal copte, version copte d’un texte grec d’Hippolyte (vers 500, Denzinger 3).
[8] Denzinger, 1.
[9] Histoire des conciles œcuméniques, Tome I, Ignacio Ortiz de Urbina, Nicée et Constantinople, chapitre III, 1963, Fayard.
[10] Pie XI, Encyclique Quas Primas, 11 décembre 1925, Denzinger 3675.
[11] Pie XI, Encyclique Quas Primas, 11 décembre 1925, Denzinger 3675.
[12] Pie XI, Encyclique Quas Primas, 11 décembre 1925, Denzinger 3676.
[13] Dom Paul Delatte, Les Épîtres de Saint Paul replacées dans le milieu historique, Première Épître aux Corinthiens, Chap. XV, Tome I, librairie Saint Alphonse, Louvain, 1928.
[14] Dom Paul Delatte, Les Épîtres de Saint Paul replacées dans le milieu historique, Première Épître aux Corinthiens, Chap. XV, Tome I.
[15] Saint Thomas d’Aquin, Le Credo, n°13, Nouvelles Éditions Latines, 1969.
[16] Version grecque de l’Ancien Testament, traduite de l’hébreu vers 270 avant J.C à Alexandrie.
[17] Version latine de la Bible, traduite par Saint Jérôme, entre la fin du IVe et le début du Ve siècle, directement depuis le texte hébreu pour l'Ancien Testament.
[18] Voir Émeraude, 3 septembre 2013, article, « Protévangile, première bonne nouvelle ».
Bonjour,
RépondreSupprimerA propos de Christ pantocrator...
Pardonnez mon ignorance, je serais très heureux si vous pouviez m'indiquer la signification du texte grec qui figure sur cette icone :
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Bien à vous.
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SupprimerBonjour, C'est très un extrait de l’Évangile selon Saint Mathieu (X, 28) : "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et ployez sous le fardeau et je vous soulagerai". Notre Seigneur est en effet venu non seulement nous éclairer mais aussi nous soutenir dans la voie du salut. Soyons fermes dans cette espérance comme dans la foi et dans la charité. Nous tenons à vous remercier de votre intervention. Deo gratias.
SupprimerUn grand merci pour votre réponse. Soyez béni.
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