Véritable
bibliothèque réunie en un seul ouvrage, la Sainte Bible est une œuvre
extraordinaire. Elle est plus qu’une histoire entre Dieu et les hommes. Elle
est Parole de Dieu. Dieu se fait connaître et fait connaître sa volonté. Œuvre
d’origine divine, notre âme est au contact de la pensée divine, elle s’illumine
d’une présence ineffable qui la modifie au grès de la lecture. Œuvre humaine,
elle est écrite par des hommes de Dieu, des rois, des poètes, des prophètes,
des apôtres. Transmise de génération en génération, elle traverse le temps et
s'est diffusée sur toute la surface de la terre. Œuvre poétique, elle nous livre
des mystères dans un langage qui charme et éclaire.
La
Sainte Bible est au centre de toutes les confessions et sectes qui se
rattachent plus ou moins au judaïsme et au christianisme. Reconnue par toutes
comme divine, elle est la source de leur enseignement. Or il est étrange qu’en
dépit d’un socle prétendu commun, différentes croyances puissent autant
diverger sur la doctrine et le culte. Comment un livre, aussi excellent soit-il, peut-il donner lieu à autant de divisions et de disputes ? Les adversaires
de la foi peuvent alors ironiser de cette situation absurde et prêcher le caractère relatif des vérités de foi. Or cet argument ne tient que par notre
ignorance et la mauvaise foi de ceux qui le défendent. Car la division ne naît
pas de la Sainte Bible. Les esprits sont en effet déjà bien divisés avant même
sa lecture et son étude.
Devant
nous est posée une Sainte Bible intitulée: « la Sainte Bible selon la Vulgate ». Avant même de la lire, une
remarque s’impose. Elle est une œuvre matérielle, un ensemble de livres
traduits généralement en une langue dite vulgaire. Elle est en effet une œuvre
destinée aux hommes. Elle a aussi une histoire. Notre article a pour but de
rappeler cet aspect bien matériel des choses…
La
composition de la Sainte Écriture
Table des canons (Londres) Fragment du VIe-VIIe siècle (wikipédia) |
La
composition de la Bible chrétienne est variable en fonction des religions et des confessions. Dans la version catholique, l'Ancien Testament comprend 46 livres, le Nouveau Testament 27. Les juifs ne
reconnaissent que 39 livres. Ce nombre est parfois ramené artificiellement à 24
ou 22 selon le nombre des lettres de l’alphabet hébreu. Les protestants ne
reconnaissent pas non plus tous les livres de la Bible catholique.
Généralement, leur version de l’Ancien Testament est plus ou moins identique à
la Bible hébraïque.
La liste de composition des livres sacrés est appelée canon, qui signifie « règle ». Ainsi les livres reconnus comme appartenant à la Sainte Bible sont appelés canoniques. L’Église catholique a défini solennellement cette liste en 1441 lors du Concile de Florence puis l’a confirmé au Concile de Trente (1546) et au Concile de Vatican (1870). Cette liste est déjà reconnue au IVe siècle, en particulier lors des conciles d’Hippone (393) et de Carthage (397).
Le
canon catholique concernant l’Ancien Testament comprend
- le Pentateuque : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome ;
- les livres historiques : Josué, Juges, Ruth, Samuel 1 et 2, Rois 1 et 2[1], Chroniques 1 et 2[2], Esdras, Néhémie[3], Tobie, Judith, Esther, Maccabées 1 et 2 ;
- les livres poétiques et sapientiaux : Job, Psaumes, Proverbes, Ecclésiaste, Cantique des Cantiques, Sagesse, Ecclésiastique ;
- les livres prophétiques : Isaïe, Jérémie, Lamentations, Baruch[4], Ézéchiel, Daniel, Osée, Joël, Amos, Abdias, Jonas, Michée, Nahum, Habaduc, Sophonie, Agée, Zacharie, Malachie.
- cinq livres historiques : les Évangiles selon Saint Matthieu, Saint Marc, Saint Luc et selon Saint Jean, et l’Acte des Apôtres ;
- vingt-et-un livres didactiques :
- les épîtres de Saint Paul : Épître aux Romains, aux Corinthiens (I et II), aux Galates, aux Thessaloniciens (I et II), aux Éphésiens, aux Colossiens, aux Philippiens, à Philémon, à Tite, à Timothée (I et II), aux Hébreux ;
- les sept épîtres catholiques : Épître de Saint Jacques, de Saint Pierre (I et II), de Saint Jean (I à III), de Saint Jude ;
- un livre prophétique : l’Apocalypse.
- les livres protocanoniques, ceux qui ont toujours été reconnus comme appartenant à la Sainte Bible ;
- les livres deutérocanoniques, ceux qui ont fait l’objet de discussions.
La Bible hébraïque
Le
premier canon juif aurait été défini par Esdras au Ve siècle avant Jésus-Christ (vers
444) puis sous Antiochus Épiphane vers le IIe siècle avant
Jésus-Christ. Après la ruine de Jérusalem en l’an 70, les juifs ont fixé un
nouveau canon selon quelques principes. Seuls les livres uniquement reçus en
Palestine sont reconnus. Ils rejettent toute légitimité aux autres versions
bibliques, notamment grecques. C’est pourquoi les textes écrits en grec ou
connus seulement à travers une version grecque ont été rejetés. Les textes de version araméenne sont traduits en hébreu. La Bible hébraïque est ainsi entièrement hébreu. Ils suppriment aussi toute influence du christianisme et de
l’apocalyptique. Ce canon marque notamment une forte
volonté d’affirmer l’identité juive face au développement du christianisme.
- la Loi (Torah) ;
- les Prophètes (Neviim) ;
- les Écrits (Ketouvim).
La Loi comprend le Pentateuque. Les Prophètes sont divisés en deux classes en fonction de l’exil et de la destruction du Temple par les Babyloniens :
Les Écrits comportent les livres poétiques (Psaumes, Proverbes et Job), les cinq méghillôt ou « rouleaux » (Cantique des Cantiques, Ecclésiaste et Esther), les livres de Daniel, d’Esdras-Néhémie et des Chroniques.
- les Prophètes antérieurs (Josué, Juges, Samuel, Rois) ;
- les Prophètes postérieurs (Isaïe, Jérémie, Ézéchiel et les douze Petits Prophètes réunis en un même recueil).
Les Écrits comportent les livres poétiques (Psaumes, Proverbes et Job), les cinq méghillôt ou « rouleaux » (Cantique des Cantiques, Ecclésiaste et Esther), les livres de Daniel, d’Esdras-Néhémie et des Chroniques.
Références des versets bibliques
Il
est d’usage de diviser les textes de la Sainte Bible en chapitres et en
versets. La division en chapitre date de 1226 environ. Etienne Langton,
professeur à l’université de Paris, archevêque de Cantorbéry et cardinal, en
est l’initiateur. La division en versets date de 1551. Elle est due à
l’imprimeur Robert Estienne. Cet usage a aussi été étendu dans les versions
hébraïques et protestantes. Pour faire référence à un verset, nous indiquons
alors le nom du texte en abrégé, le numéro de chapitre en latin et le numéro de
verset en lettre arabe. Ainsi Is., V, 2 correspond au livre d’Isaïe, chapitre 5
et verset 2.
Un
enseignement à l'origine essentiellement orale
Aujourd’hui,
nous n’avons pas les versions originales de la Sainte Bible. Elles ont été écrites en hébreu, en araméen ou en grec. Nous n’avons que des versions copiées
ou traduites[5].
Les
textes étaient appris par cœur. Quand les Apôtres évoquent l’Ancien Testament,
ils n’ont pas les livres devant eux. Ils le récitent de mémoire. Cet
enseignement est facilité par certaines techniques appliquées à la
parole d’où un langage biblique particulier avec une forme de narration,
un rythme et un style propres.
La
retranscription de la Sainte Bible
Les
premiers textes sacrés ont d’abord été le plus souvent écrits sur un support constitué de fibres, le roseau
d’Égypte, écrasées et reliées par un enduit. Un autre support était possible mais
plus coûteux, le parchemin, une peau tannée et poncée avec soin. Puis ils ont
été transmis par copiage successif.
Dans
la langue ancienne de l’hébreu, les voyelles apparaissent seulement à l’oral,
l’écrit étant constitué de consonnes. La lecture peut donc conduire à des
ambiguïtés. Le texte seul ne suffit pas. Pour faire face à ces difficultés et
préserver le sens exact, il s’est ajouté au texte hébraïque tout un ensemble de signes et
de notes, appelés « massores »,
qui donnent des informations portant sur le sens du texte et qui fixent la
prononciation. Elles multiplient aussi les observations d’ordre technique relatives
aux paroles difficilement compréhensibles par son ancienneté et les questions
de grammaire.
L’ancienneté
des versions de la Sainte Bible
Manuscrits de Qumrân |
Le
Nouveau Testament a été écrit en araméen ou en grec entre les années 50 et 98.
Des papyrus datant du IIe siècle sont les fragments[6] les plus
anciens dont nous disposons. Les manuscrits complets les plus anciens datent du
IVe siècle.
Besoin de versions authentifiées
La
version dite des Septante est une version grecque de la Sainte Bible. Selon une
lettre d’Aristée adressée à Philocrate, le roi Ptolémée Philadelphie (285 –
246) aurait demandé au grand prêtre Eléazar de lui envoyer six anciens de
chaque tribu juive, c’est-à-dire 72, à Alexandrie pour traduire la Loi afin de
compléter son musée qui devait recueillir tous les livres du monde. Ces anciens
auraient ainsi traduit la Sainte Bible en 72 jours sur l’île de Pharon. Légende
ou réalité, ce récit nous montre le besoin évident des Juifs grecs d’Égypte de
disposer d’une Bible authentique et compréhensible par eux, notamment pour leur
liturgie, l’hébreu leur devenant une langue étrangère. Une autre raison
possible serait le souci du roi d’enrichir sa bibliothèque.
Contrairement à la
version hébreu, la Septante est composée de textes d’origine hébreu,
araméenne et grecque. Le canon catholique reprend la liste des livres qui la
composent.
La
plus ancienne version de la Septante serait l’Alexandrinus (V-VIe siècle) au
British Muséum et le Vaticanus (IVe siècle) à la bibliothèque vaticane. Ont
aussi été trouvés des fragments (Rylands 458) qui datent du milieu du IIe
siècle. La bibliothèque de Qumrân contient aussi des fragments de la Septante.
La
Septante a été révisée à plusieurs reprises. Nous pouvons citer la version de
Théodotion en Palestine entre 30 et 50 après Jésus-Christ, et celle de
Symmaque vers 170 après Jésus-Christ. Ces nouvelles versions ont été très
utilisées dans les communautés chrétiennes et chez les juifs. Dans son ouvrage intitulé Hexaple, Origène a accolé
six versions de l’Ancien Testament dont une en hébreux, sa traduction en grec,
la Septante et de versions révisées. Cet ouvrage a aujourd'hui disparu…
La
Vulgate est une version catholique latine de la Sainte Bible qui répond aux
mêmes besoins qu’ont éprouvés les juifs d’Alexandrie : disposer d’une
Bible authentique dans une langue compréhensible et connue des chrétiens
occidentaux. Dès le IIe siècle, les chrétiens disposaient de versions latines de valeur très inégale. Saint Augustin s’en indigne. « On peut compter ceux qui ont traduit les
Écritures de l’hébreu et grec, mais, pour le latin, c’est impossible. Aux
premiers temps de la foi, le premier venu qui avait en mains un manuscrit grec
et croyait connaître suffisamment les deux langues, se permettait de le
traduire »[7].
L’Ancien Testament de ces versions est tiré de la Septante.
Vers
381, le Pape Saint Damase (vers 305 - 384) confie à Saint Jérôme (347 – 420) la tache de revoir
et d’harmoniser les versions grecques de la Sainte Bible pour donner une
version latine de meilleure qualité. A partir notamment des travaux d’Origène,
il donne une première version vers 405. « L’Église occidentale se trouvait dotée, grâce au génie et au labeur de
Saint Jérôme, d’une édition de la Bible qui se représentait comme la digne part
de la traduction des Septante »[8] De
nouvelles révisions ont été adoptées au cours du temps. A la fin du XIIe
siècle, de nouveau, de nombreuses versions d’inégale valeur sont en usage,
notamment les versions d’Alcuin et de Théodulfe.
A
partir du XVIe siècle, de nouveaux travaux à partir de versions les plus
anciennes sont alors engagés pour disposer d’une version unique fiable. Ils ont
donné naissance à la Biblia Sixtina (1555) puis à la Sixto-Clémentine
(1592). Des corrections à la Vulgate ont été apportées sous Léon XIII (1883). En 1907, Saint Pie X (1835-1914) institue une commission pontificale « pour la révision de la Vulgate ». En 1914, Pie XI (1857-1939) fonde l'Abbaye pontificale de Saint Jérôme pour réaliser ce travail et élaborer une version définitive. Après le Concile de Vatican II, Paul VI (1897-1978) demande de nouvelles révisions. En
1979, la Nova Vulgata Scripturarum Thesaurus est publiée. Rééditée en
1986, elle est la dernière version officielle.
Authenticité d'une version biblique
En
1535, le Concile de Trente a reconnu la Vulgate comme authentique au sens
juridique en raison de son ancienneté. Cette authenticité lui
donne « une autorité éminente […] à
cause de son emploi légitime dans les églises au cours de tant de siècles »[9]. Il ne
s’agit pas en effet de croire qu’elle est à l’épreuve de toute critique. Comme
le précise la commission biblique, elle est authentique « pour tout ce qui concerne la force
probatoire en matière de foi et de mœurs, mais n’exclut pas le fait des
divergences possibles d’avec le texte original et les anciennes versions »[10]. Elle
peut ainsi devenir une référence pour tous, notamment pour l’enseignement
pastoral et théologique. « On peut
la citer en toute sûreté et sans péril d’erreur dans les discussions, dans
l’enseignement et dans la prédication ; c’est pourquoi une authenticité de
ce genre ne doit pas être qualifiée à titre principale de critique, mais plutôt
de juridique. »[11].
Cette
authenticité « ne concerne que
l’Église latine et l’usage publique qu’elle fait des écritures mais ne diminue en aucune façon […] ni l’autorité, ni la valeur des textes
authentiques » [12].
Le Concile de Trente confirme aussi la valeur des autres versions en hébreu et
en grec des Septante. D'autres versions de la Sainte Écriture peuvent être
utilisées mais sous condition qu’elles soient reconnues par l’autorité
compétente. « On tiendra compte
également, comme il convient, des autres traductions que l’autorité a reconnues
et utilisées »[13]. C’est
bien l’autorité de l’Église qui donne créance à une version de la Sainte
Écriture afin que le fidèle puisse l’utiliser en toute sérénité.
Un
effort est fait pour une plus large diffusion de la Sainte Bible. Depuis le
XIIe siècle, elle est traduite en langue vulgaire. En 1445, la première Bible est
imprimée. Mais ces versions sont d’inégales valeurs. Certaines d’entre elles ne
sont plus sources de vérités mais supports des doctrines de certaines
confessions. Face à de tels dangers, l’Église demande à ses fidèles de ne lire
et de n’étudier que des versions qu’elle a explicitement approuvées.
La
recherche biblique
La
Sainte Bible ne se livre pas si facilement à ses lecteurs. Elle nécessite
explication, commentaire, interprétation pour déterminer le sens des textes
sacrés. Cette science est l’exégèse. Elle a développé de nombreuses techniques
et apporté un éclairage précieux pour leur compréhension. Mais elle peut aussi
devenir sources d’erreurs.
A
partir du XVIe siècle, pour améliorer la connaissance biblique, des études ont
aussi été menées pour mieux situer le cadre dans lequel évoluent les Livres
Saints. La Sainte Bible devient ainsi l’inspiration de matières
scientifiques : géographie, archéologie, histoire naturelle, études
linguistique, etc.
Au
XIXe siècle, la Sainte Bible devient objet scientifique. L’étude biblique se
développe, notamment par la critique textuelle. Pour certains chercheurs, cette
étude a des buts apologétiques, pour d’autres, un moyen pour s’opposer à la foi.
Cette étude est encore relancée au XXe siècle par les nombreuses découvertes de
fragments et de manuscrits anciens dont ceux de Qumrân.
Face
au développement de l’exégèse et des études bibliques, l’Église est intervenu à
plusieurs reprises pour les encadrer, rappeler leurs exigences et définir les
règles à appliquer.
Gardienne
du dépôt sacré, la Sainte Église a toujours pris soin de défendre
l’enseignement de la foi contre les malversations et les erreurs
d’interprétation de la Sainte Bible. La Sainte Écriture ne peut en effet être
suffisante pour transmettre la Parole de Dieu. Elle nécessite une autorité
indéfectible qui veille à son intégrité et à son authenticité. C’est parce que
l’Église existe que nous pouvons lire et étudier avec sérénité et confiance la Sainte Bible.
Le refus de son autorité entraîne alors l’erreur
et la confusion.
Références
[1] Autrefois, Samuel 1 et 2, Rois 1 et 2 étaient tous présentés sous le même titre (Rois 1, 2, 3 et 4).
[2] Dans la version grecque dite des Septante, ces livres étaient appelés Paralipomènes signifiant « éléments omis aux livres des Rois ».
[3] Autrefois, Esdras et Néhémie ont été regroupés sous le même titre Esdras 1 et 2.
[4] Le livre de Jérémie, les Lamentations et Baruch sont parfois regroupés en un seul livre. C’est pourquoi quelques uns comptent 71 livres dans la Bible au lieu de 73.
[5] Le « targum » correspond à une traduction.
[6] Chapitre XXVI de l'Évangile de Saint Matthieu et chapitre XVIII de l'Évangile selon Saint Jean.
[7] Saint Augustin, De Doctrina Christiana, II, 11, 16.
[8] Initiation biblique, chapitre VIII, III, 1.
[9] Pie XII, encyclique Divino Afflante Spiritu, 30 septembre 1943, Denzinger 3825.
[10]Lettre de la commission biblique aux évêques d'Italie, 20 août 1941, Décret Insurges, Denzinger 3796.
[11] Pie XII, encyclique Divno Afflante Spiritu, Denzinger 3825.
[12] Pie XII, encyclique Divno Afflante Spiritu, Denzinger 3825.
[13] Léon XIII, encyclique Providentissimus Deus, 18 novembre 1893, Denzinger 3280.
[4] Le livre de Jérémie, les Lamentations et Baruch sont parfois regroupés en un seul livre. C’est pourquoi quelques uns comptent 71 livres dans la Bible au lieu de 73.
[5] Le « targum » correspond à une traduction.
[6] Chapitre XXVI de l'Évangile de Saint Matthieu et chapitre XVIII de l'Évangile selon Saint Jean.
[7] Saint Augustin, De Doctrina Christiana, II, 11, 16.
[8] Initiation biblique, chapitre VIII, III, 1.
[9] Pie XII, encyclique Divino Afflante Spiritu, 30 septembre 1943, Denzinger 3825.
[10]Lettre de la commission biblique aux évêques d'Italie, 20 août 1941, Décret Insurges, Denzinger 3796.
[11] Pie XII, encyclique Divno Afflante Spiritu, Denzinger 3825.
[12] Pie XII, encyclique Divno Afflante Spiritu, Denzinger 3825.
[13] Léon XIII, encyclique Providentissimus Deus, 18 novembre 1893, Denzinger 3280.
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