Pour
mieux comprendre les différentes interprétations et leurs limites, mieux vaut
parfois une expérience qu’un long discours. La physique quantique a parfois
progressé grâce des expériences uniquement réalisées en pensée.
Elles permettent de relever des contradictions ou des incohérences
pour mettre à défaut un des aspects de la théorie. L’une d’entre elles est
restée célèbre. Il s’agit du chat de Schrödinger.
Quand
Bohr et Heisenberg ont présenté leur interprétation de la physique quantique à
la conférence de Solvay en 1927, quelques physiciens se sont aussitôt opposés à
leurs thèses. Parmi eux, Einstein et Schrödinger. Einstein rejetait l’idée
d’un indéterminisme fondamental que semblait défendre Bohr. L’idée qu’il n’y
avait pas de sens de décrire le Monde quantique entre deux mesures revenait,
selon Einstein, à ruiner toute idée de science. « Dieu ne joue pas aux dés ». Plus réaliste encore, Schrödinger
voyaient dans les formules la description d’une réalité classique. Chacun ne
pouvait accepter que l’interprétation de Copenhague soit la seule possible
comme le suggéraient ses partisans. Pour fixer les idées et souligner les
difficultés de leurs théories, de longs débats se sont concentrés sur des
expériences de pensée.
Schrödinger
en propose une en 1935. Einstein la qualifie comme « la plus jolie manière » de prouver
que l’interprétation de Copenhague est une représentation incomplète de la
réalité. Cette expérience soulève un paradoxe fondamental de la physique
quantique. Elle souligne des faiblesses inhérentes à la théorie au niveau de
ses principes et de ses notions.
Le
principe de superposition
Rappelons
d’abord le « principe de
superposition ». Celui-ci affirme que tant que nous n’avons pas
effectué une mesure sur une particule, celle-ci peut se trouver simultanément
dans plusieurs états différents, dits superposés. Le fait de la mesurer ou de
l’observer actualise son état, c’est-à-dire lui fait choisir un des états
superposés de manière arbitraire. La particule est décrite sous forme d’une
équation qui admet plusieurs solutions, dites fonctions d’onde, chacune
représentant un des états superposés. Le fait de connaître son état revient en
fait à réduire l’ensemble des solutions en une seule fonction. Ce processus est
appelé réduction ou effondrement de la fonction d’onde.
Expérience
de pensée
En
1935, Schrödinger imagine une boîte dans laquelle sont placés un chat vivant,
une source radioactive, un détecteur qui enregistre la présence de particules
radioactives et enfin une fiole contenant un poison. Le détecteur enregistre
une particule radioactive lorsque l’un des atomes du matériau radioactif se
désintègre. Lorsque le détecteur enregistre une désintégration de particule, la fiole libère le poison et le chat meurt. S’il n’y aucune désintégration, le chat reste vivant. Le dispositif est élaboré de façon à fonctionner
pendant un temps suffisant pour qu’il y ait cinquante pour cent de chance que
l’un des atomes se désintègre. Nous avons donc une chance sur deux pour que le chat meurtNous n’avons aucun moyen de connaître l’issue de cette expérience
jusqu'à ce que nous ouvrions la boîte pour regarder à l’intérieur.
Cette expérience est irréalisable au sens physique du terme. Nous ne pourrons jamais mettre en évidence l'état du chat dans la boite car le fait de vouloir connaître son état provoquera l’effondrement de la fonction d’onde et par conséquent conduira à un des deux états du chat.
L’atome
a une chance sur deux pour qu’il se désintègre. Selon l’interprétation de
Copenhague, les deux possibilités forment deux états superposés : un état
dans lequel un atome se désintègre, un état où rien ne se produit. C’est
seulement à l’instant de la mesure que la fonction d’onde se réduit et
laisse subsister un seul état. S’il y a désintégration, le chat meurt sinon il reste
en vie. Ainsi jusqu'à ce que nous regardions à l’intérieur, il y a une fiole
brisée et une fiole intacte, un chat mort et un chat vivant à la fois. Un chat
peut-il être mort et vivant à la fois ? Évidemment non.
L’intérêt
de l’expérience de Schrödinger est de mêler l’infiniment petit avec le monde de
notre dimension. Dans l’interprétation classique du Monde quantique, il y a une
rupture entre ces deux réalités : un monde parfaitement déterminé par
l’équation de Schrödinger hors de toute mesure, un monde aux résultats
aléatoires dès qu’il est observé. Le premier est décrit comme une superposition
d’états potentiels, chacun représentant une fonction d’onde. Le second est
obtenu par la réduction de la fonction d’onde, permettant la réalisation
effective d’un des états possibles et cela de manière arbitraire. Or ces deux
mondes ne sont pas cloisonnés ou isolés. Ils appartiennent à une même réalité. Ils
sont le même monde. Nous voyons donc l’intérêt de l’expérience de
Schrödinger : elle brise cette rupture artificielle.
Un destin
dépendant de nous selon l’interprétation de Copenhague
Pouvons-nous
imaginer un chat suspendu entre deux états ? Il n’est pas possible de
croire qu’il peut être dans deux états contradictoires, mort et
vivant à la fois. Est-il aussi croyable de penser à un électron à la fois
particule et onde, deux états aussi aux caractéristiques opposées ?
Que
devient le chat selon les différentes interprétations ? Bohr nous demande
de ne pas nous fier à notre langage inadapté pour décrire le Monde quantique.
Toute description n’a de sens qu’en fonction des conditions expérimentales. Il
est donc insensé de vouloir le décrire entre deux mesures. Selon cette
conception, nous sommes bien incapables de rendre intelligibles les faits
qui se produisent dans la boîte hors de toute mesure, c’est-à-dire tant que
nous n’observons pas à l’intérieur. Le destin du chat sera seulement connu lorsque nous
ouvrirons la boîte. Mais est-ce insensé de savoir si le chat est mort ou
vivant hors de notre vue ? Les notions de mort et de vie sont bien
indépendantes de notre langage et de tout concept scientifique. Notre langage devrait
donc à même de rendre compte fidèlement cette réalité.
Ouvrons cette boîte dans un espace clos, fermé. A l’extérieur de la pièce se trouvent des personnes qui à leur tour veulent connaître le sort du cobaye et nous demandent donc de décrire l’état du chat. Il y a encore deux solutions. Nous pouvons les informer que le chat est soit encore vivant, soit mort. La pièce se trouve donc dans deux états superposés correspondant à deux fonctions d’onde qui se réduiront au moment où la porte s’ouvrira. L’expérience peut en fait se renouveler à l’infini. L’univers est ainsi dans des états superposés jusqu'à ce qu’un être intelligent unique, extérieur à l’univers donc différent de l’univers, puisse porter son regard sur lui. Ainsi certains scientifiques considèrent que le Monde doit son existence du fait qu’il est observé par des êtres intelligents.
Si le
fait d’observer fixe de manière arbitraire un état, aurons-nous les mêmes
résultats pour des observateurs différents ? Le chat sera mort pour un
observateur et vivant pour un autre ? Si les résultats sont identiques, ce
qu’effectivement nous le constatons tous chaque jour, nous pouvons rejeter le
caractère aléatoire du mécanisme. Si les résultats sont différents, la
situation est alors plus contradictoire puisque l’état de superposition se
poursuit lors de l’observation et au-delà.
Pour
résoudre ce paradoxe, les tenants de l’interprétation orthodoxe précisent que
le détecteur est capable de réduire par
lui-même la fonction d’onde. C’est donc l’instrument de mesure qui fait que le
chat est vivant ou mort. Mais cette solution soulève deux questions
fondamentales. L’instrument de mesure, n’est-il pas lui-aussi dans des états
superposés ? Non, nous répondent-ils, puisqu'il échappe au monde dans
lequel s’applique l’équation de Schrödinger. Pourquoi ? Nos interlocuteurs
sont silencieux… Nous rencontrons de nouveau la rupture entre l’infiniment
petit et le monde macroscopique.
A
partir de quand se produit la réduction de la fonction d’onde ? Ou plutôt
à partir de quelle dimension pouvons-nous considérer cette rupture ? Car
dans l’instrument de mesure, se trouvent aussi des particules auxquelles
s’applique l’équation de Schrödinger. Nous pouvons le considérer comme une
sorte de boîte dans laquelle nous trouvons les mêmes états superposés que dans
la boîte du chat. « Il devient de
plus en plus délicat de soutenir qu’un appareil de mesure macroscopique se
comporte par décret comme un dispositif classique, alors qu’il est fabriqué
d’électrons, de protons et de neutrons, et que sa dynamique est régie par des
lois quantiques auxquelles on ne connaît pas pour l’instant de limitations. On
ne voit pas à quelle échelle un comportement classique pourrait prévaloir pour
un objet comme un détecteur, aussi complexe soit-il. »[1] Nous reportons en
fait le problème à l’intérieur même du détecteur. Quel est finalement le
mécanisme interne qui permet de déterminer un état parmi toutes les
possibilités ?
Nouvelle question encore plus fondamentale. La fonction d’onde se réduit du fait de la
mesure. Mais qu’est-ce que la mesure ? En regardant la fiole, le chat
observe aussi ce qu’il se passe. Il mesure en quelque sorte. Nous aurions pu
mettre dans la boîte une fourmi ou une bactérie. Chacun a leur niveau réalise
une mesure et donc réduit la fonction d’onde. Dans ce cas, qui assure la fonction
de mesure dans l’être vivant ?
Selon
la version la plus radicale de l’interprétation de Copenhague, la réduction de
la fonction d’onde s’effectue au moment de l’observation par notre conscience,
plus précisément par les flux électriques de notre cerveau. Ainsi en regardant
à l’intérieur de la boîte, nous interagissons avec les états de façon à ce que
le chat soit mort ou vivant. Mais le chat ne peut-il pas aussi réduire la
fonction d’onde ? Son cerveau est aussi traversé de flux comme le nôtre. Imaginons
alors un ordinateur opérationnel à la place du chat. Il rayonne d’un flux
électrique. Le courant électrique sera-t-il aussi suffisant pour réduire la
fonction d’onde ? Quelle est finalement la limite de « conscience » dans le processus de
réduction ?
Nous
ne pouvons rien savoir de l’état du chat sans ouvrir la boîte. Nous savons
qu’il est vivant ou mort. La physique ne peut pas répondre avec certitude à
notre question non pas à cause de notre langage mais de notre ignorance.
En
1920, Bohr suspendra le principe de superposition, l’élevant au rang d’un
axiome donc non démontrable. Il est vain d’en chercher une interprétation,
telle est sa réponse à l’expérience.
Un
état à l’image de notre connaissance
Nous
pourrions supposer que le chat est aussi un observateur. Il peut donc réduire la
fonction d’onde. Par conséquent, le chat connaît un seul état de la particule.
Étant à l’extérieur, nous la voyons dans des états superposés car manquant
d’informations, nous supposons qu’il est vivant ou mort. Selon cette approche,
la physique quantique nous décrit ce que nous connaissons de la réalité et non
la réalité elle-même. Par conséquent, il n’y a pas de paradoxe. Le Monde
quantique est finalement la somme de nos connaissances sur le Monde réel. Il ne décrit pas ce qu’est la réalité…
Pas
d’inquiétude pour le chat selon l’interprétation des mondes multiples …
Nous
ne sommes que des témoins et non des acteurs
Selon
la théorie de Bohm-Broglie, il n’y a pas d’états superposés dans la boîte. La
formule de Schrödinger ne donne que des possibilités théoriques. Le chat mourra
lorsqu'il aura désintégration. L’observateur sera témoin d’une des solutions
possibles ; il n’en sera pas l’acteur. Finalement, la théorie quantique n’est
pas suffisante pour décrire ce qu’il se passe dans la boîte. Elle est tout
simplement incomplète.
La
décohérence, obstination salutaire ?
Pour
résoudre néanmoins ce paradoxe, une nouvelle théorie s’est développée à partir
des années 80, la théorie dite de la décohérence.
La
décohérence est le « phénomène qui
annule le principe de superposition et permet d’assurer la transition entre le
monde quantique et le monde classique »[2]. Cela consiste à
ne pas considérer les particules et l’instrument de mesure comme un système
isolé. Ils sont immergés dans un système qui
forme un tout, système en perpétuel interaction avec son environnement. Les
systèmes quantiques non observés interagissent entre eux. Un système soumis à
une expérience est en fait en interaction avec le reste de l’univers. Cette
interaction réduise alors la fonction d’onde.
Plus
le système est composé de particules, plus cette interaction est considérable, plus le passage des états superposés en un seul état est rapide.
La vitesse de réduction dépend en fait de sa « grosseur », c’est-à-dire de sa composition interne. A partir
d’une certaine dimension, le phénomène est tellement rapide qu’il n’est plus
visible. Il est quasi-instantané. « Plus
précisément, les physiciens ont vérifié que le « temps de cohérence »
du groupe de particules (le temps pendant lequel il est possible de mettre en
évidence la présence de superpositions) est inversement proportionnel au nombre
de particules composant le groupe. »[3]
Selon
cette théorie, le chat apparaît vivant ou mort car le temps de cohérence est
instantané compte tenu de la dimension de l’expérience. Est-ce enfin la
solution de l’énigme ? Certains physiciens le pensent. « La décohérence [...] décrit le processus qui est d’habitude
appelé réduction du paquet d’onde. »[4] Elle serait le principe de continuité entre
l’infiniment petit et le monde macroscopique.
La
théorie de la décohérence montre surtout au bout de combien de temps les
phénomènes apparaissent classiques, c’est-à-dire tels qu’ils sont perçus. Elle
donne donc du sens à notre observation et non à la réalité. Elle ne nous dit
pas ce qu’il se passe, c’est-à-dire comment la fonction d’onde se réduit [5] mais ce que nous
apercevons et donc ce que nous connaissons. Nous sommes loin du véritable enjeu
de l’expérience.
La question n’est pas en effet de savoir si nous savons si le chat est mort ou vivant, mais si le chat est mort ou vivant ou dans des états superposés. Comment dans un court instant, le plus court soit-il, ces deux états contradictoires peuvent-ils en effet se superposer ? Telle est la véritable question. Nous ne sommes pas au niveau de l’observation mais de l’être. La théorie de la décohérence nous explique donc pourquoi nous ne pouvons pas observer les états superposés du chat de Schrödinger mais elle ne nous explique pas pourquoi finalement, le chat est mort ou vivant.
La question n’est pas en effet de savoir si nous savons si le chat est mort ou vivant, mais si le chat est mort ou vivant ou dans des états superposés. Comment dans un court instant, le plus court soit-il, ces deux états contradictoires peuvent-ils en effet se superposer ? Telle est la véritable question. Nous ne sommes pas au niveau de l’observation mais de l’être. La théorie de la décohérence nous explique donc pourquoi nous ne pouvons pas observer les états superposés du chat de Schrödinger mais elle ne nous explique pas pourquoi finalement, le chat est mort ou vivant.
Pourtant,
la théorie de la décohérence apparaît comme une solution définitive pour ceux
qui considèrent que notre perception est la réalité. « C’est notre incapacité à observer certains
états de l’environnement qui serait responsable de l’aspect classique du monde.»[6]
D’autres
solutions possibles pour compléter une théorie insuffisante ?
D’autres
théories vont se développer pour tenter d'apporter quelques solutions au problème de la
mesure. Feynman introduit dans la physique quantique le principe de moindre
action. Mais cette solution apparaît plutôt comme une subtilité mathématique.
Une
autre théorie, dite GRW du nom des trois fondateurs Ghirardi, Rimini et Weber,
tente de dériver les objets macroscopiques des objets infiniment petits en
expliquant comment se produit une réduction de la fonction d’onde. De manière
aléatoire, la fonction d’onde réalise un « saut » qui sélectionne un
état parmi d’autres selon une constante de temps caractéristique. Ce saut est
d’autant plus probable que le système est composé de particules. Ce saut permet
de réduire l’état quantique à un état plus localisé. Cette théorie introduit ainsi
une propriété intrinsèque à la particule et l’idée de la localisation de la
fonction d’onde dans la physique quantique. Elle suggère aussi que cette
réduction peut se réaliser en dehors de toute observation.
Appliquons cette théorie à
l’expérience du chat de Schrödinger. « Une
fois la mesure faite, la théorie GRW nous dit que le nombre suffisant d’atomes
partagés entre le système mesuré et l’instrument de mesure nous assure que la
fonction d’onde du système a été réduite, indiquant un état bien défini du
système. »[7]
Nous retrouvons la même difficulté
que dans la théorie de la décohérence : la théorie GRW nous explique en effet pourquoi
l’état final est unique mais elle décrit toujours pendant une durée, certes
insignifiante mais réelle, un état superposé incompréhensible. « Pendant une fraction de seconde
correspondant au temps nécessaire avant que se produise un saut quantique dans
le système, le chat demeure dans un état très général de superposition linéaire
entre l’état vivant et l’état mort. Si l’expérimentateur peut s’estimer
satisfait, le philosophe n’est guère plus avancé dans la compréhension de la
nature du système avant que ne s’opère la réduction. » [7]Cette théorie
déplace le problème vers des échelles de temps auxquels nous ne sommes plus
sensibles. Elle ne résout pas le problème. Elle ne semble guère non plus
satisfaisante, n’étant ni falsifiable, ni féconde.
Dans les nouvelles théories, celle de la
décohérence, de Feynman ou de GRW, nous constatons une tendance à introduire
des principes et de nouvelles propriétés au monde quantique. On multiplie les axiomes
et les hypothèses pour tenter de compléter l’interprétation de Copenhague. Nous retrouvons peut-être le processus bien
humain qui a conduit à l’invention de l’éther pour expliquer la nature
ondulatoire de la lumière. « Mais
pourquoi la mécanique quantique doit-elle être la vérité physique ultime?
Pourquoi le problème de la mesure ne serait pas le reflet de sa limite?»[7]
La physique quantique est une théorie qui
tente de décrire le monde et ses mécanismes avec nos moyens limités. Elle ne
nous dit pas ce qu’est le monde et encore moins ce qu’est notre connaissance.
Elle apporte un éclairage intéressant mais insuffisant. Elle modélise certes
notre environnement pour mieux exercer notre pouvoir sur les choses qui le
composent sans apporter néanmoins la connaissance nécessaire pour bien gérer notre monde.
Les interprétations qui résultent de la
théorie et de son formalisme complexe décrivent des visions du monde non comme
le voient les scientifiques mais comme songent les philosophes. Car elles se
fondent sur des philosophies, la science n’apportant que des arguments plus ou
moins solides. Elles trahissent alors la science quand elles prétendent ériger
la seule connaissance possible du Monde. Elles éloignent l’homme de la vérité
qu’elles prétendent pourtant vouloir connaître. Or en nous égarant dans ces
conceptions erronées du monde, nous nous rendons aveugles de la présence de
Dieu…
Références
[1] Michel Le Bellac, Existe-t-il une frontière classique/quantique ?, Institut Non-Linéaire de Nice dans Reflets de la physique, n°13, http://refletsdelaphysique.fr.
[2] Harold Olivier et Philippe Pajot, La décohérence livrera-t-elle tous ses secrets ? dans Les dossiers de la recherche, n°29, novembre 2007.
[3]Vincent Ardourel (Université Paris 1-IHPST), Le paradoxe du chat de Schrödinger et la décohérence, 10 décembre 2011 dans www.implications-philosophiques.org.
[4] P. W. Anderson, prix Nobel de physique 1977 dans Vincent Ardourel, Le paradoxe du chat de Schrödinger et la décohérence, 10 décembre 2011.
[5] La théorie de la décohérence est en fait plus complexe. Nous ne pouvons pas observer les états superposés même dans un instant quasi-nulle car notre observation n’est que locale c’est-à-dire cloisonnée dans un espace restreint quand les phénomènes du Monde quantique sont délocalisés.
[6] Zwirn (1992).
[7] Jacques Levrat et Marc Vuffray, Département de Physique, La Problématique de la Mesure en Mécanique Quantique, Travail de Master en Sciences Humaines et Sociales, dirigé par Michael Esfeld, Professeur d’Épistémologie et Philosophie des Sciences, Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, 21 mai 2007.
[1] Michel Le Bellac, Existe-t-il une frontière classique/quantique ?, Institut Non-Linéaire de Nice dans Reflets de la physique, n°13, http://refletsdelaphysique.fr.
[2] Harold Olivier et Philippe Pajot, La décohérence livrera-t-elle tous ses secrets ? dans Les dossiers de la recherche, n°29, novembre 2007.
[3]Vincent Ardourel (Université Paris 1-IHPST), Le paradoxe du chat de Schrödinger et la décohérence, 10 décembre 2011 dans www.implications-philosophiques.org.
[4] P. W. Anderson, prix Nobel de physique 1977 dans Vincent Ardourel, Le paradoxe du chat de Schrödinger et la décohérence, 10 décembre 2011.
[5] La théorie de la décohérence est en fait plus complexe. Nous ne pouvons pas observer les états superposés même dans un instant quasi-nulle car notre observation n’est que locale c’est-à-dire cloisonnée dans un espace restreint quand les phénomènes du Monde quantique sont délocalisés.
[6] Zwirn (1992).
[7] Jacques Levrat et Marc Vuffray, Département de Physique, La Problématique de la Mesure en Mécanique Quantique, Travail de Master en Sciences Humaines et Sociales, dirigé par Michael Esfeld, Professeur d’Épistémologie et Philosophie des Sciences, Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, 21 mai 2007.
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