Abbaye de Fontenay |
Nombreux sont les
caricatures de moines et de moniales que nous ont léguées humanistes et
protestants. Leurs critiques acerbes ont suffisamment sali leur mémoire pour
qu’elles ne demeurent pas dans nos mémoires. Leurs mots sont encore durs, leurs rires tenaces, leurs railleries mortelles. Derrière les esclafferies de Rabelais, les
beaux mots d’Érasme et les beaux sentiments de Luther se cachent des phrases
assassines et de cruels mensonges. Pourquoi tant de haine, pourrions-nous
dire ? Pourquoi tant de violence contre la vie religieuse ? Ils dénoncent
l’inhumanité qui se cache derrière la clôture. Ils accusent des vilenies
abominables dans les cellules et les cloîtres. La rage des révolutionnaires saccageant
tout est le fruit amer de leurs injures et de leurs mensonges.
Vestiges de l'abbaye de Cluny |
Abbaye de Cîteaux |
La vie monastère dans un
monde qui sombre
Examinons les bienfaits
qu’a apportés la vie monastique. Pour cela, tentons de rejoindre un temps où elle
influençait la société et les hommes, c’est-à-dire entre le Ve et XIIe siècle. Rappelons
par exemple cette époque où Romains et Barbares se retrouvaient dans la même
maison, sous un même temps, travaillant et priant ensemble, les uns appartenaient
peut-être à une famille patricienne, autrefois propriétaires d’un vaste
domaine, les autres à une tribu germanique venue enlever aux premiers les rênes
du pouvoir et désormais détentrice de leurs terres et de leurs biens. Voyons
ces vaincus et ces vainqueurs réunis et même unis dans la même prière ! La
société antique s’est écroulée après l’invasion des peuples outre-Rhin. De
cette chute est sortie une autre civilisation, celle du Moyen-âge. Les peuples
se sont mélangés, fusionnés pour bâtir un autre monde. Et cette fusion des
peuples, elle s’est aussi forgée dans les cellules et les monastères, au-delà
des rancœurs.
Restons en ce temps de
chaos qu’a dû représenter l’invasion des Barbares. Pouvons-nous imaginer ces hommes
et ces femmes qui assistent impuissants à l’écroulement de la civilisation romaine
avec son administration, sa culture, son intelligence ? Après l’ordre
romain, c’est en effet l’anarchie. Elle n’est sans-doute pas immédiate mais
lente, progressive, inéluctable. Et pendant que des paysans se font massacrés,
que l’héritage des générations brûle, des hommes tentent de sauver ce qu’ils
peuvent. Et parmi ces hommes, des moines. « Il ne faut rien négliger de ce qui peut améliorer la condition
humaine. »[1]
Tel est par exemple le cri de Cassiodore (485-586).
Le monastère, vecteur de
transmission de la culture sacrée et profane
Cassiodore[2]
est un homme brillant, de grande érudition. Issu d’une famille aristocratique,
il a exercé de hautes fonctions à la cour des Ostrogoths. Il est en effet proche
du pouvoir, notamment conseiller auprès du roi Théodoric le Grand. En 523, il
exerce la plus haute fonction du royaume puis après une disgrâce, il devient
préfet du prétoire en 535. Avec le Pape Agapit (535-536), il essaye de fonder
une sorte d’université chrétienne à Rome sur le modèle des anciennes écoles
bibliques d’Antioche et d’Alexandrie. Mais la prise de Rome par Bélisaire ruine
ses plans. Puis vers 555, il décide de quitter la vie publique. Il se retire du
monde avec des amis. Il devient moine. Il fonde alors le monastère de Vivarium sur
son domaine en Calabre, à l’extrême sud de l’Italie. Mais s’il a renoncé au
monde, il n’a pas renoncé à la culture intellectuelle. Son monastère sera une
véritable « ville d’étude »,
destinée à préserver et à transmettre l’héritage gréco-romain aux générations
futures.
Cassiodore veut lier la
vie religieuse et la vie intellectuelle, ne voulant pas séparer « le salut de l’âme et l’érudition du siècle »,
selon ses propres termes. Le monastère est non seulement consacré aux offices
liturgiques mais également à l’étude. Une très grande place est en effet
accordée à l’enseignement et à la copie des manuscrits. Avec Cassiodore, le
moine se fait donc copiste. Il se fait aussi traducteur. Les œuvres grecques
sont en effet traduites en latin. Le monastère rassemble alors de nombreux
ouvrages et constitue une véritable bibliothèque, regroupant toutes les
sciences, répertoriant des livres tant religieux que profanes. Même les livres
au contenu dangereux sont conservés mais leurs erreurs sont signalées. Les
moines vont ainsi être les traducteurs de la culture antique au monde barbare.
Ils ont su aussi transmettre la sagesse antique, le génie de la vieille
civilisation. Le monastère devient ainsi vecteur de la continuité
intellectuelle de deux civilisations.
Cassiodore compose ses Institutiones
à l’intention des moines de Vivarium. Il sert d’introduction à l’étude des
Saintes Écritures, et, subsidiairement à celle des arts libéraux. Il est
composé de deux livres, le premier consacré aux sciences sacrées, le second aux
sciences profanes. Le titre rappelle les ouvrages de Quintilien[3]
et de Lactance, ou encore du moine Jean Cassien. Ainsi ses Institutiones se
présentent comme un double héritage, profane et chrétien. Ses ouvrages servent
de guide pour les moines et leur donnent des méthodes, notamment pour corriger
les erreurs de manuscrit. Le second ouvrage consacré aux sciences profanes
présentent les disciplines des arts libéraux selon la répartition
classique du Moyen-âge : trivium (grammaire, dialectique, rhétorique) puis
quadrivium (arithmétique, musique, géométrie, astronomie) à partir des manuels
antiques et chrétiens, grecs ou latins. Cassiodore contribue ainsi à fixer le
système intellectuel sur lequel vivra le Moyen-âge et même au-delà.
Cassiodore a demandé aux moines d’entretenir et de copier les livres, de les corriger si cela s’avère nécessaire. La bibliothèque du monastère contient des Bibles, des introductions et des commentaires bibliques, des ouvrages d’historiens chrétiens, des œuvres des Pères de l’Église, et aussi, des ouvrages à l’usage des travailleurs manuels et des médecins, des écrits concernant les arts libéraux, des livres sur la dialectique, des textes grecs, selon le bénédictin Dom Cappuyns[4]. Les Papes ont récupéré cette collection au début du VIIe siècle au palais du Latran afin de doter aux missionnaires des livres qui puissent enrichir leur culture et leur foi.
Comme le soupçonne le
chanoine Gustave Bardy[5],
le monastère de Vivarium a dû être un havre de paix et d’harmonie, un lieu
chaleureux et studieux, en ce temps de troubles. En une époque où l’ignorance
gagne du terrain, où l’obscurité recouvre de son voile manteau ténébreux les
esprits et les âmes, des hommes s’attèlent ainsi à sauvegarder ce qu’ils
peuvent parmi les trésors du passé. Et parmi ces hommes, se trouvent des
moines. Du VIe au XIIIe siècle, la vie intellectuelle est ainsi préservée. Il
est donc étonnant d’entendre les humanistes dénoncer le monachisme sans lequel
ils n’auraient pu faire leur humanité.
Ce qui est extraordinaire
est que l’exemple de Cassiodore n’est pas unique. Saint Bède le Vénérable (673-735)
en est un autre exemple. « Bède
représente le plus haut degré de culture intellectuelle en Occident au cours de
la période comprise entre la chute de l’Empire et le IXe siècle. »[6]
Mais, il est le dernier grand érudit de son temps.
Le monastère, foyer de
culture
« Bons lecteurs qui vous servez de ce travail,
n’oubliez pas, je vous prie, celui qui l’a copié : c’était un pauvre
frère, ayant nom Louis, et, tandis qu’il transcrivait le volume apporté d’un
pays étranger, il avait froid ; et il a terminé la nuit ce qu’il n’avait
pu transcrire à la clarté du jour. Mais vous, Seigneur, vous serez pour lui la
digne récompense de ses travaux. »[8]
Les bibliothèques se sont
donc multipliées au point qu’au temps du Moyen-âge, chaque monastère avait son
scriptorium, son atelier de copistes. « Dans cet humble et monotone labeur, c’est tout l’avenir de la culture
européenne qui est en train de se jouer. »[9]
Comme l’indique la Règle
de Saint Isidore de Séville, les ouvrages ne sont pas uniquement destinés aux
moines. Vers 660, la bibliothèque de l’abbaye de Corbie est à l’extérieur de la
clôture, donc plus accessible. L’abbaye de Chelles emploie toute une équipe de
moniale pour répondre notamment aux besoins de l’archevêque de Cologne. Au
VIIIe siècle, réputée pour la grande qualité de leurs manuscrits, elle est en
pleine activité. Les moines de Saint-Rémi de Reims lisent et copient des
traités pour leur archevêque Hincmar. Ainsi sa bibliothèque s’enrichit d’œuvres
religieux, liturgiques et juridiques. L’abbaye de Wandrille, fondée en 649, en
Normandie, compile aussi des documents juridiques pour le roi. Ainsi, par les
copies, les ouvrages circulent dans toute l’Europe. La circulation des livres
est même intense au VIe siècle entre le Nord de la Gaule, l’Italie, les Iles
Britanniques et l’Espagne. Un manuscrit obtenu par prêt venant de Ravenne, de
Mont-Cassin ou de Bobbio arrive à Fleury. Copié, il est transmis à Tours, à
Saint-Gall, à Fulda. Nombreux sont les ouvrages classiques que nous détenons
viennent de ces copies.
Le monastère, lieu de
l’enseignement
La culture se diffuse
aussi par l’enseignement, qui explique aussi le besoin de livres et d’étude. Avec
la chute de l’empire romain par les grandes invasions, l’école antique semble
avoir persisté dans certaines grandes villes italienne ou de la Gaule du Sud. Au
VIe siècle, elle a probablement disparu. Certains aristocrates dispensent aussi
un enseignement classique à leurs enfants comme aujourd’hui des parents tentent
de le faire. N’oublions pas non plus que dès le début du christianisme, des
chrétiens délivraient déjà un enseignement tant sacré que profane. Origène ou
Saint Augustin en sont des exemples. Mais à partir du Ve siècle, la situation
de l’enseignement est désastreuse.
Dès le Ve siècle, au sein
de l’Église, des écoles se développent, soit au sein des monastères, soit
auprès des cathédrales ou dans des paroisses. Nous pouvons distinguer deux
types d’écoles au sein des monastères. Les écoles dites claustrales ou
monastiques sont ouvertes à tous, généralement des enfants des environs ou
d’autres qui veulent devenir des clercs ou entrer dans l’administration. Elles
sont à l’intérieur ou à l’extérieur d’un couvent. L’instruction est tantôt
gratuite, tantôt payante. Les écoles abbatiales sont destinées aux novices et
aux profès dans les écoles abbatiales. De même, les écoles paroissiales
accueillent les enfants de la paroisse quand les écoles épiscopales ou
cathédrales sont réservées aux futurs clercs. Les monastères et les évêques
prennent donc en charge directement l’enseignement. Or, n’oublions pas que
souvent les évêques sont des moines et que des moines contribuent à fonder des
écoles épiscopales. Il serait en effet bien illusoire de vouloir séparer
l’œuvre des moines et des prêtres. C’est à partir de ces écoles, monastiques et
cathédrales, que s’élaborent les méthodes scolastiques.
Les écoles monastiques se
développent donc dès le Ve siècle. La législation carolingienne consacre un bel
effort pour instituer de nombreuses écoles. Au VIIIe siècle, un capitulaire
demande que « chaque cathédrale, que
chaque abbaye […] ait une école, où les enfants puissent apprendre la lecture,
le psautier, le comput, le chant et l’écriture. »[10]
Elles œuvrent pour la renaissance que l’Europe a connue au IXe siècle. En
France, dans les abbayes clunisiennes, les écoles monastiques tendent néanmoins
à disparaître dans les abbayes clunisiennes à la différence d’autres pays
éloignés de l’influence de Cluny comme la Belgique, l’Autriche ou l’Angleterre.
Les écoles monastiques fournissent
les rudiments de la culture, c’est-à-dire l’apprentissage de la lecture et de l’écriture.
Il comprend aussi l’étude du calcul et de la musique. Il fait apprendre le
latin. Certains monastères se concentrent sur la formation de leurs moines afin
de leur assurer la « lectio divina »,
le suivi des offices liturgiques, les activités de copistes et aussi toutes les
autres activités monastiques. Ainsi, ils deviennent des pôles de cultures et de
sciences. L’abbaye de Fleury-sur-Loire est réputée pour sa curiosité à l’égard
des sciences. De ces monastères sont ainsi sortis des savants et des maîtres.
Citons encore Saint Bède le Vénérable mais aussi Alcuin ou encore Saint Boniface, l’apôtre
des Germains, un des grands lettrés. Saint Anselme, abbé du Bec en Normandie,
est le premier des scolastiques et porte son école monastique à son apogée.
De tels maîtres enseignent
également. Nous pouvons entendre le maître Alcuin à Saint-Martin de Tours ou
Paul Diacre (720-797) au Mont-Cassin. Formé à Tours, Raban Maur (784-856) enseigne
à l’abbaye de Fulda qu’il transforme en un véritable centre culturel sur la
Germanie. De Fulda, Wilfrid Strabon, devenu abbé de Reichenau sur le lac de
Constance, y crée un nouveau foyer en 838. Un autre élève de Raban Maur, Loup
Servat (v.805-862), humaniste du IXe siècle, est abbé de Ferrières-en-Gâtinais.
Son abbaye devient un des phares de la science. De son école sort Heiric
d’Auxerre (841-876), un des quatre grands maître de l’école monastique de
l’abbaye Saint Germain d’Auxerre.
Le monastère,
développement des arts et des sciences
Enfin, rappelons l’œuvre
des moines dans l’élaboration du droit et de son interprétation. Gratien,
l’auteur du fameux décret, est un moine camaldule. Au XIIe siècle, il réunit
l’ensemble des textes existants et discordant pour élaborer le droit classique
de l’Église. Son décret sera enseigné et
commenté dans les Universités, faisant ainsi développer la science canonique.
La part des moines dans l’amélioration du droit s’explique par la
nécessité d’administrer leur monastère. En effet, par leur régime d’immunité, à
partir du Xe siècle, les monastères acquièrent une véritable autonomie à
l’égard des autorités civiles, créant ainsi des enclaves au sein des
seigneuries et des royaumes, ce qui conduit à un développement de leur
administration. « Moines et, dans une
beaucoup moindre mesure, les moniales, ont été de grands artisans et promoteurs
du droit. »[11]
L’organisation de la vie monastique a très certainement influencé le
fonctionnement de la Papauté et de la monarchie.
Vézelay, fondation clunisienne |
Le développement du savoir
dans les monastères ne peut guère nous surprendre. Car comment les moines, peuvent-ils
pénétrer pleinement la Sainte Écriture sans résoudre les multiples questions
que posent les textes sacrés ? La lectio
divina demande des connaissances en philologie, en grammaire, en
géographie, en philosophie, … Et sans
l’étude de la musique, comment la liturgie peut-elle répondre à ses fins ?
Même le droit est nécessaire pour les monastères qui souvent sont à la tête de
nombreuses propriétés. Ils doivent se faire notaires, juristes, géomètres, etc.
L’art se développe avec le
monachisme. Les moines expriment leur foi, leur sensibilité et leur religion à
travers l’art, conçu comme une manière de louer Dieu, de favoriser la prière et
la méditation, tout en demeurant humble. Ainsi pouvons-nous parler d’un art
clunisien, marqué par le faste et le déploiement de luxe et décoration, ou d’un
art cistercien, caractérisé par la sobriété et la nudité. Le monachisme est
souvent associé à l’art roman, art qui cherche à mettre en valeur la prière et
la liturgie par la pierre. L’art gothique est lui aussi d’origine monastique
comme le symbolise l’abbatiale de Saint-Denis, reconstruite par l’abbé Suger
(1122-1151).
Conclusion
Au lendemain des grandes
invasions barbares comme à la veille des raids sarrasins et des Vikings, les monastères maintiennent et préservent ainsi
les grands trésors de la connaissance sans lesquels les développements futurs
de la civilisation intellectuelle et artistique n’aurait pas pu avoir lieu. Les
exemples des bienfaits qu’ont apportés les monastères peuvent encore se
multiplier. Par leur travail, les moines ont accompli des merveilles. Que
serait aujourd’hui notre civilisation sans l’œuvre des copistes et des
bibliothécaires ? Qui
enseignaient aux enfants les rudiments de la culture quand la civilisation
sombrait dans le chaos ? Qui a relevé les ruines et édifié l’avenir ?
Néanmoins, ne nous
trompons pas. Les moines érudits sont peu nombreux. Il est en effet faux de
l’imaginer étudier de longues heures, travaillant à l’abri dans son cloître. La
grande majorité des moines ne le sont pas. Et nombre d’intellectuels ne sont
pas moines à plein temps ou ne représentent pas l’image idéale du moine,
davantage orant qu’intellectuel. Le moine n’est pas non plus immobile dans le
temps. « Être mort au monde ne
signifie donc pas vivre dans l’enfermement et la sclérose. Le moine du
Moyen-âge est un homme d’ouverture et d’épanouissement qui, pour autant, ne
peut oublier l’un des préceptes de Saint Benoît dans sa Règle : s’éloigner
des manières du siècle (XLVIII, 20) »[12]
Il peut être mort au monde tout en influençant la société de manière à l’élever
selon la foi chrétienne. Le monachisme n'est pas non plus opposé à la raison ni à la culture. Elle a montré qu'elle pouvait la préserver et la développer. Nous ne pouvons ignorer son oeuvre sans nous mentir. Voir dans le monachisme une source d'ignorance ou d'abêtissement, c'est méconnaître notre histoire, c'est tromper notre mémoire. Nous devions plutôt être reconnaissants...
Notes et références
[1] Michel Mourre, Histoire vivante des moines des Pères du désert à Cluny, V, éd. du Centurion, 1965.
[1] Michel Mourre, Histoire vivante des moines des Pères du désert à Cluny, V, éd. du Centurion, 1965.
[2] Flavisu Magnus
Aurelius Cassiodorus « Senator », d’une famille d’origine orientale.
[3] Institutio
oratoria de Quintilien, Institutiones divinae de Lactance, De
Institutis
coenibiorum de saint Cassien.
[4] Voir le compte
rendu de la conférence de V. Zarini, intitulé Cassiodore, un intellectuel latin
entre Antiquité et Moyen-âge, au Lycée Henri IV-Sorbonne, Paris, 23 mai
2017, Association le Latin dans les littératures européennes, https://sites.google.com/site/sanslelatin/colloques-et-publications/textes-des-conférences/v-zarini-cassiodore-un-intellectuel-entre-antiquite-et-moyen-age.
[5] Voir L’Église
et les derniers Romains, Gustave Bardy, Paris, 1948.
[6] Christopher Dawson,
cité dans L’Église des Temps Barbares, Daniel-Rops, V, Fayard, 1950.
[7] Saint Jérôme, 11, 4
dans L’école
cathédrale, l’école monastique, www.univ-montp3.fr.
[8] Cité dans
Montalembert, Les Moines d’Occident, tome VI, dans Histoire vivante des moines des
Pères du désert à Cluny, Michel Mourre, X.
[9] Michel Mourre, Histoire
vivante des moines des Pères du désert à Cluny, X.
[10] Cité dans Histoire
des Ordres et congrégations religieuses, en France du Moyen-âge à nos jours,
IV, Champ Vallon, 2009.
[11] Le Bras Gabriel, La
part du monachisme dans le droit et l'économie du Moyen Âge, dans Revue
d'histoire de l'Église de France, tome 47, n°144, 1961, pp. 199-213, www.persee.fr.
[12] Sophie Hasquenoph, Histoire
des ordres monastiques et congrégations religieuses, 2ème
Partie, IV, Champ Vallon, 2009.
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