" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


samedi 30 janvier 2021

La psychologie positive, à la recherche du bonheur ou bien de l'illusion du bonheur ?

Un animal ou une fleur ne pensent guère à leur bonheur. Le rouge-gorge qui nous accompagne dans nos travaux de jardinage ou le pin qui s’élance dans le ciel ne songent pas à la plénitude de leur être. Sont-ils conscients de ce qui leur manque ? Cherchent-ils à se perfectionner de manière à s’épanouir ? Quoique nous puissions imaginer, l’homme seul peut éprouver un sentiment de joie ou de tristesse. Plus il prend conscience de son épanouissement, plus le bonheur lui semble proche. Il sait au fond de lui-même que c’est en atteignant la plénitude de son être ou de sa vie qu’il atteindra enfin le bonheur tant recherché.

Mais de nature complexe, l’homme se trouve en face de multiples besoins. Lorsque le corps connaît le plaisir, le confort ou tout ce qui concourt à son bien-être, il éprouve une jouissance presque instantanée alors que sa conscience insatisfaite se lamente de ne point être entendue. Certes, il est naturel à l’homme de rechercher ce qui est bon au corps mais son bonheur ne se réduit pas à ses seules satisfactions. L’homme n’est pas qu’un corps. Il le sait bien…

Nombreux sont ceux qui ne supportent guère le visage que présente notre monde. Ce n’est que bruits et vacarmes, cris désespérants et larmes qui coulent sans fin. Ils n’apprécient guère non plus le rôle de consommateurs que la société cherche à leur donner. Leur vie quotidienne est même une charge dont le poids ne cesse de grandir. La course effrénée qui leur est imposée les lasse et les épuise. Ils savent que leur bonheur ne réside pas dans l’accumulation de biens que le monde leur propose dans d’innombrables réclames. Certes, conditionnés comme les autres, ils ne peuvent guère éviter les traditionnelles et solennelles journées de soldes et de Black Friday. Que faire alors ? Nombreux sont alors ceux qui fuient ces noires idées et recherchent un monde meilleur, un monde où ils peuvent s’épanouir. Ils sont ainsi en quête de thérapie et de théories qui leur proposent une vie de plénitude. Mais, ne risquent-ils pas de suivre un chemin qui conduira aux mêmes désillusions ?

Le manifeste de la psychologie positive

En 1998, au congrès annuel de l’association des psychologues américains qu’il préside, Martin Seligman regrette que « depuis la fin de la seconde guerre mondiale, la psychologie s’est trop éloignée de ses racines originelles, qui devaient rendre la vie de tous les gens plus épanouissants et productifs »[1]. Elle s’est trop tournée vers la guérison des maladies mentales et s’est concentrée sur la réparation des traumatismes. Or, « la psychologie devrait être en mesure de connaître le modèle de famille qui aboutit aux enfants les plus sains, les environnements de travail qui apportent la plus grande satisfaction aux travailleurs, les politiques qui aboutissent à l’engagement civique le plus fort. » En clair, il regrette que la psychologie ait oublié de rendre meilleure la vie de tout le monde alors que la dépression touche de plus en plus de jeunes adolescents. Il rappelle que sous sa présidence, il a orienté les études et les travaux scientifiques vers une nouvelle science, la psychologie positive, afin d’identifier et de comprendre les fondements de la santé psychologique. Il conclue son discours en rappelant le rôle de la psychologie. Celle-ci n’est pas seulement une branche de la médecine, ni une extension. Son mandat « initial et élargi » est en effet de « rendre la vie meilleure pour tous, non juste les malades mentaux. » Elle concerne donc aussi les bien-portants…

Ainsi, selon Seligman, la psychologie ne doit pas se focaliser sur la guérison des maladies mentales mais sur les facteurs qui contribuent à la santé psychique. Son objet n’est donc plus la maladie mais la santé. Son discours nous renvoie vers les ambitions du Conseil de l’Europe qui considère la santé comme « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »[2] L’organisation mondiale de la santé définit la « santé mentale positive » comme « un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté. »[3] La vision de Seligman s’est donc imposée sur le plan international.

Depuis 1998, la psychologie positive a en effet pris un essor considérable. Elle fait l’objet d’étude de la part de plus de cinquante groupes de recherche, impliquant plus de cent cinquante universitaires, dans différents pays. Elle est enseignée dans plusieurs dizaines d’universités américaines et européennes. De nombreuses revues scientifiques et ouvrages pour grand public traitent de ce sujet. Enfin, la psychologie positive est très présente sur Internet.

Qu’est-ce que la psychologie positive ?

Un ouvrage de 2005 nous donne une définition : « la psychologie positive, c’est l’étude des conditions et processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des personnes, des groupes et des institutions. »[4] La psychologie positive n’a plus pour objet de guérir des malades mais de connaître les moyens de développer la vie et les potentiels d’une personne, d’un groupe ou d’une institution.

Quand nous recherchons sur Internet des informations sur la psychologie positive en langue française, un nom revient souvent, le bouddhiste Matthieu Ricard, parfait adepte du bouddhisme occidental[5], d’un bouddhisme défiguré. Selon ses propos, « la psychologie positive se pose donc comme l’étude scientifique des aspects positifs de la vie, en se focalisant sur ce qui va bien et sur les potentiels positifs d’un individu afin de promouvoir un sentiment de bien-être et d’accomplissement »[6]. Cette définition revient souvent dans de nombreux sites Internet.

Notons les différences entre ces deux définitions. La deuxième définition est d’abord centrée sur l’individu, et non plus sur la personne, et sur les sentiments qu’il peut éprouver. L’aspect communautaire ou collectif y est absent. La première définition porte davantage sur une réalité physique qui touche tout organisme humain, y compris l’homme, la seconde relève plus de l’ordre du sentiment. Matthieu Ricard souligne son fondement scientifique. Dans différents entretiens, il insiste particulièrement sur ce point pour ne point confondre la psychologie positive avec ce qui relève de la positivité, pratique qui est passée de mode. La définition de 2005 est plus humble. Elle ne parle que d’étude.

Ces deux définitions définissent la finalité de la psychologie positive de manière différente. Selon la première définition, son objectif est de contribuer à l’épanouissement de la personne alors que selon la seconde, il est de développer en l’individu le sentiment d’épanouissement, c’est-à-dire de modifier son état affectif. Quand l’une recherche à optimiser son fonctionnement, la seconde veut améliorer son potentiel positif. L’expression de « fonctionnement optimal » n’est pas anodine. Elle nous renvoie en effet à la théorie de développement de la personne de Carl Rogers, ce qui explique l’importance du terme « personne » dans la première définition[7]. L’expression « potentiel positif » relève plutôt du bouddhisme occidental.  

Les deux approches de la psychologie positive

Les deux définitions nous semblent si différentes qu’elles ne peuvent guère traiter du même sujet. Certes, la seconde définition est fortement inspirée par le bouddhisme occidental, dont Matthieu Ricard est apôtre très médiatisé et surtout opportuniste. Le succès actuel de la psychologie positive est une bonne aubaine pour diffuser son enseignement.

En dépit de leurs différences, elles présentent pourtant les deux approches de la psychologie positive, l’approche hédonique, qui met l’accent sur l’expérience d’états affectifs plaisants, et l’approche eudémonique, qui traite de la réalisation véritable du plein potentiel de la personne. Elles paraissent incompatibles, même si certains psychologues cherchent à les unir dans une même thérapie en les rendant complémentaires.

Selon l’approche hédonique, le bien-être est confondu avec ce que nous pouvons éprouver, c’est-à-dire tout ce qui favorise les émotions plaisantes, la joie et le plaisir. Ce bien-être est alors dit émotionnel. Il s’agit de faire évoluer la perception qu’a l’individu de lui-même, d’améliorer son appréciation émotive et cognitive. Le changement est donc de l’ordre de la conscience. Son regard sur lui-même et sur les autres doit être changé.

Selon l’approche eudémonique, le bien-être correspond à un état physique où l’homme atteint toutes ses potentialités. Le bien-être est dit psychologique. La psychologie positive cherche donc à développer la personne dans un processus de devenir. Ce n’est plus le regard de la conscience qui doit changer mais la conscience en elle-même.

L’approche hédoniste

L’hédonisme, tiré d’un mot grec qui signifie « félicité », est une doctrine qui prend pour principe du bonheur la recherche du plaisir et l’évitement de la souffrance. L’approche hédoniste de la psychologique positive considère que la santé mentale de l’individu est atteinte par le bien-être émotionnel, c’est-à-dire par un affect plaisant. Son état émotionnel se caractérise par la présence d’émotions positives, l’absence ou la faible présence d’émotions négatives et le fait de se sentir satisfait de sa vie. Est considéré positif ce qui apporte un sentiment agréable. Cette approche favorise donc tous les facteurs qui produisent chez l’individu des émotions positives comme la joie, le contentement, la gratitude, l’émerveillement, l’enthousiasme, l’inspiration et l’amour. Le bien-être émotionnel est donc un bien-être immédiat mais éphémère comme tout sentiment…


L’approche eudémonique

L’eudémonisme est plus complexe à définir. Les définitions sont nombreuses. Sur le plan étymologique, il vient du terme grec « eudomenia » qui signifie « action de regarder comme heureux » ou encore « bonheur »[8]. De manière générale, il définit une doctrine qui pose le bonheur comme but ultime de la vie humaine. L’approche eudémonique de la psychologie positive consiste à désigner le bien-être psychologique, c’est-à-dire le « fonctionnement optimale » de la personne, comme but ultime de la vie humaine.

Mais qu’est-ce que le « fonctionnement optimal de la personne » ?

L’expression ne nous est guère étrangère. Nous l’avons rencontré lors de notre aventure à l’Institut Esalen[9]. Elle nous renvoie en effet à la psychologie humaniste, c’est-à-dire au mouvement du potentiel humain, qui cherche à accroitre le potentiel humain par l’étude des facteurs et des processus de développement de la personne. Son principal auteur est Carl Rogers. La psychologie positive selon l’approche eudémonique se fonde en effet sur un principe fondamental : « tout organisme est animé d’une tendance inhérente à développer ses potentialités et à les développer de manière à favoriser sa conservation et son enrichissement. »[10]

Son objet est l’organisme sous toutes ses formes, société, famille, entreprise…. L’organisme est perçu comme « une association dynamique, fluide »[11]. Il est donc animé d’une force qui suit une double finalité : conserver et s’enrichir. La première nous est familière et ne semble poser aucune difficulté. Elle consiste à l’organisme à perdurer en dépit des variations de son environnement et de ses propres limites. La deuxième est plus complexe et caractéristique de la psychologie positive. L’organisme est en effet décrit comme « une forme établie essentiellement sur une tendance vers le devenir, sur un élan d’accomplissement de ses virtualités latentes par des relations à un environnement de plus en plus étendu. »[12] L’enrichissement consiste donc à l’organisme à exploiter toutes ses possibilités en établissant des relations de plus en plus élargies avec son environnement. Il sous-entend donc la présence en tout organisme et en l’homme d’une force ou d’une tendance qui le projette en avant. Alors que la fonction « conservation » tend à maintenir l’être tel qu’il est, la fonction « enrichissement » cherche plutôt à projeter l’être dans le devenir. « Ne ressentons-nous pas en nous cette tendance qui nous pousse aller de l’avant, à étendre notre champ d’expériences, de connaissances sur nous, sur les êtres qui nous entourent et sur le monde qui est le nôtre ? » C’est par cette tendance que la personne se construit.

Une tendance actualisante

Contrairement aux théories évolutionnistes qui attribuent au milieu la cause de son développement, Carl Rogers trouve le principe de son évolution dans l’organisme en lui-même. «  Chaque être est capable de se diriger, de trouver à l’intérieur de lui, l’énergie pour aller de l’avant. » Rogers parle alors de « tendance actualisante ». Cette tendance est interne à l’homme et n’est pas soumis au milieu extérieur. L’homme est en fait semblable à un ordinateur qui sait s’autoprogrammer sans que cela soit dicté de l’extérieur. « L’opération de la tendance actualisante a pour effet de diriger le développement de l’organisme dans le sens de l’autonomie et de l’unité. »[13]

Rogers caractérise cette tendance comme sélective et positive. « Un des concepts les plus révolutionnaires qui surgit de notre expérience clinique est l’intuition croissante que le noyau le plus intime de la nature de l’homme, les couches les plus profondes de sa personnalité, la base de sa nature animale et de nature positive, est socialisée à la base, progressive, rationnelle et réaliste. »[14]

La construction du "moi'

L’homme agit donc pour se conserver et s’enrichir. Ce n’est pas seulement l’homme en tant que tel qui en est le véritable objet de la « tendance actualisante », mais également l’image qu’il a de lui-même, c’est-à-dire ce que Rogers appelle le « moi ». Tout ce qui permet de valoriser ce « moi » aux yeux de l’individu est alors considéré comme positif. Or, le regard de l’autre tel que nous le percevons participe à la construction de notre propre image. Le terme d’eudémonisme en tant que « action de regarder comme heureux » est donc bien approprié. Enfin, à partir de différentes données internes et externes à lui-même, qu’il éprouve ou qu’il reçoit de l’extérieur, l’individu constitue un système de valeurs qu’il attribue à son « moi ». Ce système évolue selon la tendance actualisante en fonction de son expérience à mesure qu’elle se développe grâce à un système d’auto-évaluation[15].

Pour un fonctionnement optimal de l’homme

Rogers définit alors le fonctionnement optimal de l’homme quand il y a un parfait accord entre le « moi » et l’expérience vécue. Tout désaccord provoque de l’insatisfaction et contrarie la tendance actualisante. Pour conserver la structure du « moi » et concilier en lui des parties antagonistes, l’homme met en œuvre des mécanismes de défense, source de dépenses d’énergie, qui se traduira notamment par une division en lui-même et dans son comportement.

Pour permettre le fonctionnement optimal de l’homme, Rogers propose d’abord l’ouverture à l’expérience immédiate afin d’éviter tout mécanisme qui viendrait déformer ou intercepter les stimuli du monde extérieur. « L’homme doit librement vivre à tout instant les expériences de son organisme tout entier au lieu de leur fermer les portes de sa conscience. »[16Par conséquent, l’individu peut vivre tous ses sentiments sans mettre en œuvre de mécanisme de défense qui viendrait déformer les données perçues. Il fonctionne alors dans « l’ici et le maintenant », dans l’instant présent. Rogers appelle ce fonctionnement dans « l’ici et le maintenant » le fonctionnement existentiel. Cela signifie que l’homme s’enrichit à tout instant de l’expérience vécue dans le moment vécu. C’est cette expérience vécue qui construit le « moi » et ce n’est pas le moi qui structure l’expérience.

La plénitude psychologique de l’être

« Quand une personne fonctionne existentiellement, ouverte à l’expérience, son organisme équilibre les besoins de sa tendance actualisante et de son moi et détermine les vecteurs d’action les plus économiques et les plus satisfaisantes. »[17] Par conséquent, l’organisme fonctionnant pleinement, plus objectif et raisonnable, est alors digne de confiance. Il sait prendre en compte ses propres besoins tout en intégrant les données du milieu extérieur. L’homme qui fonctionne ainsi pleinement sera non seulement un être social mais aussi un être engagé, qui voudra changer le monde.

Finalement, « notre sentiment est qu’un fonctionnement optimal trouve sa source dans une satisfaction du besoin de considération positive. »[18] Si les autres nous témoignent des marques de valeur réelles dans son fonctionnement tel que nous sommes alors nous pourrons faire fondamentalement confiance en notre organisme. Notre « moi » a besoin d’être valorisé par le regard de l’autre. Pour que nous puissions recevoir des marques de considération positive, nous devons nous ouvrir à l’expérience, être capables d’éprouver des sentiments positifs que négatifs.

Conclusions

Que son approche soit hédoniste ou eudémoniste, la psychologie positive recherche une meilleure considération de soi-même, soit en développant en soi des émotions plaisantes, soit en favorisant l’image qui se reflète dans le regard de l’autre. Elle n’est guère innovante puisqu’elle nous rapproche des théories de sentiments du XVIIIe siècle[19] et présente les mêmes défauts et dangers.

Le bien-être qu’elle nous propose, bien-être émotionnel ou psychologique, relève donc de l’état psychique. Il est une perception d’une réalité et non la réalité en elle-même. Certes, en gagnant de la confiance, par l’auto-évaluation ou par des mécanismes psychiques, l’individu peut certainement mieux vivre mais une perception n’est pas une réalité. Ce bien-être peut être illusoire. L’état psychique d’une personne, est-il en effet son état réel ? En se focalisant sur le premier, le second risque de souffrir. Le mensonge ne dure guère devant les épreuves de la vie. Aucun palais plaisant et agréable de mains humaines ne peut résister au monde réel et à ses tempêtes.

En outre, quelle que soit son approche, la psychologie positive réduit la personne à son immédiateté comme elle réduit le bien-être à son utilité. Les sentiments positifs ou une meilleure considération positive sont recherchés pour que la vie soit mieux vécue dans l’instant présent, oubliant son passé comme son avenir. Son comportement comme ses intentions et ses motivations en seront affectés. Ainsi, fondée sur son état psychologique et à partir de ce qu’elle éprouve, la morale de la personne revient sur elle-même, sur une meilleure considération d’elle-même. Même les relations avec autrui se construisent selon ce regard, un regard profondément solliptique. Tout tourne autour d’elle-même. Un rêve si fragile finira alors par se briser…

 

                                                                                                                                                    

Notes et références

[1] Martin E. O. Seligman, Discours à l’association psychologique américaine, 1998, revue American Psychologist, août 1999.

[2] Préambule à la constitution de l’organisation mondiale de la santé, Conférence internationale de la santé, réunie à New-York, réunion en juin 1946, 22 juillet 1946 dans Le bien-être : notion scientifique ou problème éthique ? Bien-être ou être bien, Alexandre Klein, L’Harmattan, https:/hal.archives-ouvertes.fr.

[3] Organisation mondiale de la santé (OMS), WHO, Promoting Mental health : concepts, emerging evidence, practice, summary report, Genève, Suisse.

[4] Shelly Gable et Jonathan Haidt, What (and why) is positive psychology ?, Review of General psychology, 2005.

[5] Voir Émeraude, décembre 2020, article « Le Bouddhisme occidental selon différentes études : encore le culte du bien-être mais selon une voie différente du commun », novembre 2020, article « Le bouddhisme occidental ou le néo-bouddhisme, mensonges et préjugés. Un piège savamment organisé... ».

[6] Voir Matthieu Ricard,  dans article La psychologie positive ? Qu’est-ce que c’est ? Juliar Kardri, revue Marie-Claire, https://www.marieclaire.fr/. Voir aussi le site de Matthieu Ricard,  https://www.matthieuricard.org/.

[7] Voir Émeraude, janvier 2021, article « Le New Age (3) : l'institut Esalen et le développement du potentiel humain pour une nouvelle espèce ».

[8] Centre national de ressources textuelles et lexicales, article « eudémonisme », cnrtl.fr, 30 décembre 2020.

[9] Voir Émeraude, janvier 2021, article « Le New Age (3) : l'institut Esalen et le développement du potentiel humain pour une nouvelle espèce ».

[10] M. Kinget et C. Rogers, Psychothérapie et relations humaines.

[11] A. de Peretti, Pensée et vérité de C. Rogers, 1974.

[12] A. de Peretti, Pensée et vérité de C. Rogers..

[13] M. Kinget et C. Rogers, Psychothérapie et relations humaines.

[14] C. Rogers, Le développement de la personne, Dunod, 1972.

[15] L’expérience est définie comme « tout ce qui se passe dans l’organisme à un moment quelconque et qui est potentiellement disponible à la conscient, autrement dit, tout ce qui est susceptible d’être appréhendé par la conscience » (M. Kinget et C. Rogers, Psychothérapie et relations humaines, tome 1, 1976).

[16] C. Rogers, Liberté pour apprendre, Dunod, 1972.

[17] Robert Novalise, Attitudes du maître et résultats scolaires en mathématiques, chap. I, Thèse pour le doctorat de troisième cycle en sciences de l’éduction, Université Lumière Lyon 2, 1983. Le premier chapitre expose les éléments de la théorie du développement de la personne de Carl Rogers.

[18] Robert Novalise, Attitudes du maître et résultats scolaires en mathématiques.

[19] Voir Émeraude, articles de septembre et octobre article 2020.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire