Dans la cathédrale de
Trente, un évêque en chape et mitre est à genoux en terre. Il regarde le grand
autel d’un air étonné et joyeux. Un autre pleure, assis, les mains sur le
visage. À ses côtés, un autre prélat chante un psaume avec allégresse. D’autres
crient de toutes leurs forces. Une église vibre ainsi au grès des acclamations
et des louanges. Nombreux sont en larmes. Puis, aux premières paroles d’un Te
Deum solennel, toute la cathédrale se met à chanter comme une seule
voix. Enfin, les dernières paroles dissipées, le cardinal Morone bénit
lentement l’assemblée d’un signe de croix et dit une dernière fois « Révérendissimes Pères, allez en paix. »
C’est par ces mots que le concile de Trente se termine ...
Après la publication des
derniers décrets dogmatiques et réformateurs, le cardinal Girolamo Morone
(1509-1580) se lève et d’une voix solennelle s’adresse à l’assemblée des
prélats : « Illustrissimes
Seigneurs et Révérendissimes Pères, vous plaît-il qu’à la louange Dieu Tout-Puissant,
on mette fin à ce saint concile œcuménique et que pour l’ensemble et le détail
de ce qui a été par lui décrété et défini sous les Pontifes romains Paul III et
Jules III, d’heureuse mémoire, et de notre saint Seigneur Pie IV, confirmation
soit demandée au bienheureux pontife romain au nom de ce saint synode par les
légats et présidents ? »[1]
Commencé en 1545, plusieurs fois interrompu, sous une menace persistante, le
concile a débuté à Trente, puis s’est poursuivi à Bologne pour y revenir et s’achever
en 1563. En dépit de cette longue histoire, le concile de Trente ne forme qu’un
seul et unique concile.
À l’appel de son nom,
chaque évêque répond par un « placet »,
approuvant ainsi le décret de clôture. Lorsque le dernier achève une très
longue série, le cardinal Morone peut être satisfait. Sa joie est certaine. Sur
son visage, nous pouvons lire une paix sereine et profonde. Sa tâche n’a pas
été facile. Des légats pontificaux en sont morts d’épuisement ou de
découragement.
Nous l’imaginons songeur. Pense-t-il aux longues négociations que Paul III a du mener pour ouvrir ce concile pourtant tant désiré ? En tant que nonce, le Pape l’a envoyé à Vienne pour annoncer au roi de Bohême et de Hongrie la convocation du concile. Il a aussi participé au vain colloque de Ratisbonne où catholiques et protestants ont cherché à conclure un compromis. Après cet échec, il a été envoyé à la diète de Spire auprès des évêques en Allemagne pour promouvoir le concile et le faire accepter. Il se souvient de ces deux longues années au château de Saint-Ange où suspect d’hérésie, il a été emprisonné avant d’être innocenté. Songe-t-il alors à Paul IV aux mesures radicales ? Vouloir corriger les abus de manière si intransigeante et implacable n’a fait que soulever l’indignation et la colère ! Ou se souvient-il plutôt de cette attente interminable à Trente, où légat, il est chargé d’ouvrir un concile sans participant et finalement de le suspendre avant même qu’il ne commençât ? Se souvient-il encore de ce jour de mars 1563 où Pie IV le désigne pour remplacer un des légats décédé alors que le concile est enlisé dans une profonde division. À son tour, mais avec une plus grande diplomatie et habilité, il assume la lourde charge de diriger une assemblée nombreuse. Il réussit à mener les débats jusqu’à leurs termes, évitant les ruptures et réduisant les oppositions. Le cardinal Morone peut se rappeler de cette aventure aux multiples péripéties. Il est l'un des acteurs qui ont sauvé le concile. Quelle joie doit-il éprouver en ce jour où les Pères conciliaires acceptent enfin sa clôture !
« Je ne saurai dire ce que fut la joie
spirituelle de tous, leur gratitude envers Dieu, leur action de grâce, lorsque
le concile tint sa séance ultime. […] Un déchaînement d’acclamations et
d’applaudissements stupéfiant en l’honneur du Pape, marque cette dernière
séance »[2]
Pie IV peut aussi être fier d’avoir été l’un des instruments de cette œuvre qui
s’avèrera décisive. Selon l’avis unanime des commentateurs, le concile de
Trente a permis à l’Église catholique de renaître et de s’affermir. « Tout fut fait par l’inspiration de Dieu »,
répond-il à ceux qui le félicitent de ce succès.
Pensons à ces prétendus
réformateurs, qui rient de ce concile jugé inutile et vain. Profitant de la
crise qui touche et blesse profondément l’Église, ils développent un nouvel
esprit chrétien, fondent une nouvelle religion chrétienne, la divisant en de
multiples églises rivales. Pour lutter contre les abus qui ravagent l’Église,
ils trouvent comme seul remède l’affirmation de nouvelles doctrines et la
suppression de nombreuses pratiques religieuses, objets de déviation. On
propose de supprimer le malade pour détruire la maladie ! La rupture est
leur solution, la nouveauté, le remède. L’un s’appuie sur son expérience
religieuse, l’autre sur une logique implacable. Sentiment et raison, de là
sortira la « réforme ». L’Église
catholique a choisi une autre solution, celle d’affirmer sa foi et de se
débarrasser des abus tout en restant fidèle à elle-même.
La lutte contre les abus
Saint François de Salles |
Les Pères conciliaires
sont aussi conscients que les décrets doivent être applicables pour être
appliquées. Règle fondamentale souvent oubliée de nos jours ! Nombre de
points étaient déjà définis dans le droit antérieur mais ils se sont montrés
insuffisants et leur application déficiente. L’une des décisions les plus
pratiques a consisté à créer des séminaires. À quoi bon de demander que les
prêtres soient à la hauteur de leur charge s’ils ne sont pas formés ? Les
textes sont aussi suffisamment précis et clairs pour qu’ils ne soient pas que
de simples principes soumis à diverses interprétations. Dans les décrets, ils
rappellent d’abord leur intention puis prévoient tous les cas d’application
afin d’en identifier les obstacles. N’oublions pas que les Pères conciliaires
font aussi partie de ceux qui les appliqueront. Ils sont donc nécessairement
réalistes et pragmatiques. Ainsi le concile définit sérieusement des points de
discipline à observer. Il prévoit leur organisation et leur contrôle, sans
oublier les sanctions en cas d’infraction. Remarquons une plus grande sévérité
dans les peines. Le temps de la tolérance, de l’indulgence ou de l’indifférence
est nettement terminé…
Saint Vincent de Paul |
Un exemple de décret
disciplinaire
Prenons un exemple. Après
avoir longuement traité de la messe sous l’aspect dogmatique, les Pères
conciliaires s’attaquent aux abus concernant sa célébration. Ils cherchent à poursuivre
tous les abus existants et à les condamner, puis définit les moyens pour les
réprimer.
Le concile est conscient
que des pratiques incompatibles se sont introduites dans la célébration de la
messe. À partir d’une enquête menée par sept Pères désignés, on définit un
catalogue de fautes, de négligence et de laisser-aller de la part des
célébrants et des participants selon un classement par chapitre (célébration,
habits, lieu et temps, tenue de l’assistance). Ce compendium logiquement
constitué a pour but d’éveiller la responsabilité des évêques sur les principaux
problèmes liés aux honoraires puis à la dignité religieuse de la célébration
tant de l’officiant que de l’assistance. Il dénonce la cupidité, l’irrévérence
et la superstition.
À partir du compendium, un
premier projet de décret est établi et soumis aux discussions. Deux attitudes
s’opposent. Certains Pères conciliaires veulent simplement exciter chez les
évêques le sens de leur devoir. Ils doivent s’informer des abus qui règnent
dans leur diocèse et les réprimer. Ils veulent ainsi se remettre aux évêques.
D’autres veulent une législation détaillant les fautes et les sanctions. Un
premier projet insiste finalement sur la responsabilité des évêques et leur
devoir de veiller et de sanctionner. Il sera finalement voté sans peine.
Le texte comprend un
préambule et onze articles. La volonté du concile est clairement exprimée dans
les premières lignes : le saint sacrifice de la messe exige « le maximum de pureté intérieure, de dévotion
et de piété extérieures ». La définition dogmatique de la messe est en
effet le fondement de la réforme disciplinaire. Les décrets dogmatiques et
disciplinaires sont ainsi cohérents. Il demande alors aux évêques de remplir
leur devoir.
Puis le décret dénonce les
impiétés commises, les superstitions ou tout ce qui pourrait être cause
d’exactions financières. Il accuse l’indignité du célébrant, du lieu et de la
cérémonie. Pour s’y opposer, il met en place des règles pour garantir la
dignité de la célébration et définit l’autorité de l’Église comme seule pouvant
approuver les pratiques, cérémonies ou prières sans oublier les pratiques
légitimées par leur ancienneté.
Le sérieux des débats
dogmatiques
Pour comprendre l’œuvre
que réalise le concile de Trente dans le domaine dogmatique, nous vous proposons
aussi de nous pencher sur l’élaboration d’un des principaux décrets, celui de
la justification, le texte fondamental du concile.
Les Pères conciliaires
sont d’abord conscients de la difficulté de leurs tâches car aucun concile n’a
encore traité ce sujet et peu de théologiens en ont parlé. Mais, ils savent que
là réside une des thèses fondamentales de Luther. Elle est en effet au cœur des
prétentions des luthériens. Ils ne veulent donc point simplement la condamner
sans examen. Ils veulent la juger sans passion. De juin à décembre 1456, elle
fera l’objet de longs et sérieux débats.
Selon les règles du
concile, l’étude du sujet commence par l’exposé des théologiens mineurs devant
les Pères conciliaires. Ils l’ont étudié selon l’orientation fournie par les prélats
sous forme de questions. Elles reprennent les principales thèses des « réformateurs ». Pour répondre aux
questions, trente-quatre théologiens mineurs prennent la parole en séance
publique du 22 au 28 juin 1546. Les autorités qu’ils évoquent sont
restreintes : deux passages du Nouveau Testament, les conciles de Milèves
et d’Orange, et le rituel du baptême. Leurs discours ainsi que les débats
montrent que le cœur du sujet tourne autour de l’état où la justification peut
se réaliser. À partir de ce constat, un schéma est élaboré ainsi qu’une nouvelle
liste d’erreurs.
Pendant que les Pères
conciliaires discutent sur les états de justification, un projet de décret est
proposé par des théologiens. Mais jugé trop scolaire et imparfait dans sa
rédaction, il n’est pas approuvé. Séripando, le général des Augustins, élabore
un nouveau projet. Plus cohérent, il différencie clairement la doctrine
catholique de la doctrine luthérienne. Il fait d’abord l’objet d’un examen par
les théologiens avant d’être discuté par des prélats. La doctrine dite de la
double justification, que propose Séripando, oppose les thomistes et les scotistes.
Le sujet est alors mis en examen aux théologiens toujours sous forme de
questions élaborées par les Pères conciliaires. Les partisans de la doctrine
restent toutefois minoritaires. La doctrine sera finalement rejetée…
Un troisième projet est élaboré, puis à partir de nouvelles propositions
de modifications, un autre projet est encore présenté. Pour résoudre une
nouvelle question, il est demandé aux théologiens de donner une interprétation
d’un verset de Saint Paul. Les théologiens ne s'entendent pas, chacun défendant les opinions
de leurs écoles. Le légat rappelle aux théologiens qu’ils
doivent avant tout consulter les Pères et la tradition de l’Église. Un dossier
patristique leur est même remis. L’étude de ce texte scripturaire fait ensuite
l’objet du débat. L’interprétation donne lieu à un vote. Enfin, un cinquième puis
un sixième projet sont rédigés. Après une étude minutieuse du dernier projet,
le décret de la justification est unanimement approuvé.
Il est certainement
fastidieux de rappeler les différents examens qui ont abouti au décret mais
quel plus beau moyen pour montrer tout le soin que les Pères conciliaires ont
pris pour définir clairement et sans malentendus la doctrine catholique de la
justification ! « C’était,
semble-t-il, la première fois qu’une assemblée conciliaire s’était donnée pour
objet, non pas seulement de rechercher et de condamner des erreurs, mais
d’étudier sous toutes ses faces, avec une ampleur aussi considérable dans la
discussion, un problème doctrinal. »[5]
Quelle différence avec les doctrines protestantes sorties d’une âme tourmentée
ou d’une intelligence subtile !
Ainsi, après plusieurs mois
de libre discussion, la doctrine catholique de la justification est ainsi clairement
définie. Elle s’inspire de la doctrine augustinienne, se fonde sur la Sainte
Écriture avec des versets de Saint Paul dont l’interprétation est définie, et
sur les conciles africains unanimement reconnus. Elle est enfin « affermie par deux ou trois siècles de
réflexion théologique. »[6]
La liberté des Pères
conciliaires
Les Pères conciliaires
n’ont pas pris en compte les opinions d’écoles, refusant de se prononcer dans
les questions librement discutées. Ils veulent s’appuyer sur la Sainte
Écriture, les décisions des anciens conciles, sur les Pères de l’Église. Ils
refusent de cautionner des thèses encore en discussion. Il n’y a pas de liberté
sans recul ni prudence.
S’ils ont joué un rôle
important, les théologiens ne sont pas véritablement les auteurs des textes.
Ils ont été sérieusement entendus sans qu’ils imposent leur point de vue. Les
Pères conciliaires demeurent maîtres des débats, dirigent les travaux et
maintiennent leur liberté de décisions.
Les Pères conciliaires
laissent volontairement certaines imprécisions pour ne retenir que l’essentiel.
Le but est clairement de définir la doctrine catholique et de la distinguer de
la doctrine protestante sur les questions fondamentales que les protestants ont
remises en cause, sans passion et avec sérieux. Il est donc erroné de
rechercher dans les textes des réponses à d’autres questions.
Affermir clairement la foi
Saint Laurent de Brindes (1559-1619) |
Contre l’idée selon
laquelle la Sainte Écriture seule suffit pour trouver la Révélation, par simple
contact avec les textes sacrés, le concile rappelle que les deux sources de la
foi sont la Sainte Écriture et la Tradition, égales en autorité et qu’elle-seule
assure la mission enseignante et veille à leur parfaite intégrité. Contre
l’individualisme protestant et le sentiment personnel, il oppose l’universalité
et la catholicité de l’Église, et le principe d’autorité. C’est l’Église qui
permet à chacun de tirer de la Sainte Écriture ce qu’ils en peuvent espérer, ce
qu’il faut croire, ce qu’il ne faut pas croire.
Contre les doctrines de
justification par la foi seule et de la double prédestination, le concile
oppose le double rôle de la foi et des œuvres, le libre arbitre de l’homme et
l’infinie bonté de Dieu, l’exigence de la coopération de l’homme à l’action de
la miséricorde divine dans la justification. Cette dernière est considérée
comme une régénération intérieure par laquelle l’homme devient fils de Dieu, et
non pas une simple imputation des mérites du Christ. Sûr de son enseignement,
il rappelle avec justesse que le dogme central du christianisme est la
Rédemption, la charité du Christ, l’amour de Dieu et non la chute, le péché ou
la terreur du châtiment divin. Le concile se montre ainsi plus optimiste que
les protestants.
Contre les remises en
cause des sacrements, le concile rappelle que Notre Seigneur Jésus-Christ n’a
pas donné ses bienfaits en un temps et des circonstances fixes mais qu’Il est
perpétuellement agissant dans ses sacrements, où l’action ineffable de la grâce
rencontre la foi, l’élan et l’effort du fidèle pour le mener vers le salut. Ce
ne sont pas seulement des aliments pour la foi des fidèles, des signes de foi
comme disent les « réformateurs »,
ils contiennent réellement la grâce qu’ils signifient et ils la confèrent à
ceux qui les reçoivent, à moins qu’ils n’y mettent obstacle par leurs mauvaises
dispositions. Le concile définit chaque sacrement, son essence et son action. Aux
diverses et multiples thèses protestantes sur l’Eucharistie, points de division
dans le protestantisme, elle en donne une définition claire, précise, sublime.
Sacrement offert aux hommes pour leur salut, il est aussi et avant tout un
sacrifice offert à Dieu, ce que les protestants unanimes refusent d’admettre,
un sacrifice qui, reproduisant celui du Calvaire, applique éternellement
l’œuvre de la Rédemption. Elle proclame enfin le rôle central de la messe dans
l’œuvre du salut.
Deux voies
Revenons aux origines du
protestantisme. Depuis sa révolte, à partir de son sentiment religieux, Luther
développe ses idées, allant d’audaces en audaces au fur et à mesure des
résistances. De manière radicale, il impose une révolution dans la religion
chrétienne, supprimant des pratiques pour cause d’abus et refusant toute
autorité en matière religieuse. Ses discours enflammés provoquent de furieuses
illusions et de véritables révoltes. Faute de cohérence et sujette à de
nombreuses contradictions, son œuvre finit par enflammer les âmes et par jeter
la société dans la violence. Les princes finissent par la prendre en main,
définissant même ce que les chrétiens doivent croire.
Plus intellectuel que
sentimental, Calvin élabore l’Institution de la religion chrétienne et
d’une manière implacable, il impose une discipline et des pratiques religieuses
à ses disciples. Conscient des fautes du Luther qui ont livré son église aux
princes, il décide de soumettre l’autorité civile à la seule puissance
religieuse, inventant ainsi la théocratie dans l’histoire du christianisme.
Saint Charles de Borromée |
Conclusion
Une Église ne naît pas du
concile. Elle se ressaisie plutôt. Elle se relève certainement. Elle mobilise
ses forces pour affronter la crise qui l’affecte. Le protestantisme n’est ni sa
cible ni son véritable ennemi. Elle cherche avant tout à combattre les doutes
et les hésitations, les abus et les négligences, les abandons dans le domaine
tant dogmatique que disciplinaire. Elle cherche donc à s’attaquer aux véritables
causes de la crise, c’est-à-dire à l’ignorance, à l’indiscipline, au
laisser-aller du clergé. Elle définit clairement et fermement son enseignement sur
les sujets qui méritent une plus grande précision. Elle rappelle au clergé ses
responsabilités et ses devoirs. Elle lui donne aussi les moyens de s’élever.
Elle renforce l’autorité des évêques. Elle réveille en lui le sens de la
religion, notamment le sens du sacré. Elle rejette aussi l’influence du monde
et des princes dans les affaires de l’Église. Le remède n’est pas
révolutionnaire. Il est celui de toute réforme véritablement chrétienne. Elle
rappelle le sens de la fidélité à Notre Seigneur Jésus-Christ tout en se dotant
de moyens applicables pour l’assumer. Mais, n’oublions pas, « tout fut fait par l’inspiration de Dieu ».
Aucune réforme n’est possible sans l’aide de Dieu…
Notes et références
[1] Concilium Tridentinum, IX, 1108, Diarorium, Actorum, Epistolarum, Tractatuum nova collectio, Fribourg, 1901, dans Histoire des conciles œcuméniques, Le Concile de Trente, 1561-1563, Tome XI, chapitre XII.
[1] Concilium Tridentinum, IX, 1108, Diarorium, Actorum, Epistolarum, Tractatuum nova collectio, Fribourg, 1901, dans Histoire des conciles œcuméniques, Le Concile de Trente, 1561-1563, Tome XI, chapitre XII.
[2]
Pelotti, dans L’Église de la Renaissance et de la Réforme, Une ère de renouveau :
la réforme catholique, chap. II, Fayard, 1955.
[3]
C’est-à-dire remettre en vigueur.
[4]
Histoire
des conciles œcuméniques, Le Concile de Trente, 1561-1563,
Tome XI, chapitre XI.
[5]
P. Cavallera, La session VI du concile de Trente, dans Bulletin de la littérature
ecclésiastique, Toulouse, 1943 dans Histoire des conciles œcuméniques,
Latran
V et Trente, Tome X, chapitre
III.
[6]
Histoire
des conciles œcuméniques, Latran V et Trente, Tome X, chapitre III.
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