Éclairée et instruite par la
parole de Dieu, et comme
une mère auprès de ses enfants, l’Église connaît l’homme. Elle n’ignore pas ses origines comme son
histoire, ses forces et ses faiblesses.
Elle sait aussi ce qu’il va advenir quand le temps cessera, quand l’heure de la
fin sonnera. Contrairement à des
critiques souvent répétées et dénuées de fondement, elle nous connaît très
bien. Elle sait ce que nous sommes. Comment pourrait-elle nous enseigner la
vérité et nous conduire vers Notre
Seigneur Jésus-Christ si elle était ignorante de notre véritable nature, si elle ne portait pas son regard maternel
sur nous ? Il est en effet temps de l’entendre et de ne point s’opposer à
la lumière qui émane de son enseignement…
L’homme, une créature de
Dieu
Cette parole inspirée nous
apprend aussi que l’homme est fait d’un corps et d’une âme. L’Église nous
enseigne en effet qu’au commencement, Dieu a créé l’homme comme composé d’une
âme et d’un corps[2],
ou plus précisément d’une âme raisonnable et d’un corps[3].
Le corps tiré de la terre
relève du monde physique et donc il est soumis à ses lois,
notamment à l’usure du temps. Tiré de la poussière, le corps retournera en
poussière comme tout être fait de matière. Comme l’indique le mot qui la désigne,
l’âme est souffle de vie, c’est-à-dire qu’elle donne la vie au corps. Lorsque
l’âme quitte le corps, il n’y a plus de vie, il n’y a plus d’homme, il y a un
corps inanimé. C’est donc par l’âme
que l’homme devient homme vivant, c’est-à-dire pleinement homme ou homme
complet. « La chair modelée, à
elle-seule, n’est pas l’homme parfait : elle n’est que le corps de
l’homme, donc une partie de l’homme. L’âme, à elle-seule, n’est pas davantage
l’homme : elle n’est que l’âme de l’homme, donc une partie de l’homme. »[4]
Lorsque Notre Seigneur
Jésus-Christ envoie les apôtres à leurs premières missions, Il leur demande de
ne pas craindre « ceux qui tuent le
corps, et ne peuvent tuer l’âme » et de craindre plutôt Dieu,
c’est-à-dire « celui qui peut perdre
l’âme et le corps dans la géhenne. » (Matthieu, X, 28) L’âme
est immortelle contrairement à notre corps.
L’homme élevé
Deux aspects de l’homme
semblent fonder sa dignité. Selon Saint Grégoire de Nysse, la grandeur
de l’homme vient du fait qu’il est créé à l’image de Dieu. D’autres
auteurs chrétiens, comme Origène, reprend plutôt l’enseignement de la
philosophie grecque qui considère l’homme comme le microcosme de l’univers.
« Ne t’étonne pas de m’entendre dire
que tout cela est en toi ; comprends que tu es un autre monde en petit et
qu’en toi il y a un soleil, il y a une lune, il y a des étoiles. »[5]
Comme l’ont souligné les
Pères de l’Église, l’homme a été fait à l’image de Dieu, non pas par son corps qui
est périssable mais par son âme. L’âme est ainsi la partie la plus
excellente de l’homme. Par sa dignité, elle surpasse le corps. Le corps doit
par conséquent être soumis à l’âme. Mais cela ne signifie pas que le corps
est indigne ou méprisable. « L’âme
est reconnue comme la meilleure partie de l’homme et le corps la moins bonne,
mais ni l’âme n’est le bon par nature ni le corps le mal par nature. »[6]
Comme nous l’avons déjà rappelé, l’homme est naturellement bon non parce qu’il
contient une âme ou un corps mais parce qu’il a été créé par Dieu. La Sainte
Écriture nous définit donc l’ordre qui doit exister dans l’union du corps et
de l’âme.
Enfin, continuant la lecture
de la Sainte Écriture, l’Église nous enseigne qu’au commencement, l’homme a
vécu dans un jardin de délice[7].
Nous apprenons en effet que Dieu lui a doté de dons extraordinaires au
point qu’il est dans un état qui dépasse sa nature. Il est ainsi exempt
de toute incorruptibilité, de toute maladie, de toute infirmité, de toute
peine. Certes, il n’est pas la perfection sinon il serait Dieu. N’oublions pas
qu’il n’est qu’une image, qu’une ressemblance, et comme toute image, il est et
demeure distinct de son modèle, c’est-à-dire de Dieu. Dans le jardin de
délices, l’homme éprouve donc un réel bonheur. Rien ne lui manque. Il vit
dans l’amitié divine…
L’homme déchu
Ainsi créé enfant de Dieu,
l’homme nait depuis cette faute enfant de colère. Au-delà de la richesse
psychologique de ce récit, cette histoire est un fait qui a altéré
réellement l’homme dans son corps et dans son âme. Par le péché originel,
la mort est ainsi entrée en elle et l’homme a été amoindri dans son corps et
dans son âme. Depuis cet instant fatal, la nature humaine est comme blessée.
Le second concile d’Orange nous enseigne que « le péché du premier homme a tellement dévié et affaibli le libre
arbitre que personne, depuis, ne peut aimer Dieu comme il faut ni croire ni
faire le bien pour Dieu si la grâce de la miséricorde divine ne l’a prévenu. »[9]
Nous ne sommes plus qu’une image défigurée de Dieu, qu’une ressemblance bien
improbable de Notre Créateur. L’homme tout entier a été changé dans un état
pire.
L’homme relevé
Mais, ne croyons pas que le
bonheur attendu n’est qu’un état retrouvé. La justice n’a pas seulement été
faite. L’obéissance de Notre Seigneur Jésus-Christ n’efface pas seulement la
désobéissance d’Adam. Il n’a pas seulement obtenu le pardon de Dieu. L’amour de
Dieu a encore éclaté d’une manière éclatante, d’une divine majesté, surpassant
tout ce que nous pouvons imaginer. Une grâce encore plus immense nous a en
effet été faite en nous rendant fils adoptifs de Dieu. Ce que nous ne
sommes pas par nature, nous le sommes en effet devenus par la grâce. Le
Royaume de grâce s’est ainsi ouvert à nous. Comme l’énonce si brillamment
la liturgie de la Sainte Messe, si Dieu « a créé d’une manière admirable la nature humaine »[10],
Il l’a rétablie « d’une manière plus
admirable encore dans sa dignité première ».
Par le baptême, l’homme est
purifié de tout péché, dont le péché originel, et devient enfant adoptif de
Dieu, participant de sa vie divine, une vie divine qui grandit et s’affermit
par de nouvelles grâces véhiculées par les sacrements que délivre l’Église.
Certes, par le péché, il peut de nouveau perdre cette vie mais par le pardon de
Dieu, dans l’Église, il la retrouve restaurée en lui. Et s’il la garde en lui
jusqu’au dernier soupir, il pourra rejoindre son Sauveur dans un temps qui ne
finira pas, lorsque sa course sera terminée ici-bas. Et au jour dernier, quand
tout éclatera, quand les mystères se dissiperont enfin, le corps ressuscité,
l’homme complet demeurera éternellement dans la vie de Dieu. Mais pour
celui qui n’a pas voulu rester dans l’amitié de Dieu, un autre sort l’attendra.
Il souffrira les tourments éternels…
Différents états de la
nature humaine
Tel est ainsi résumé brièvement
l’enseignement de l’Église. Nous espérons que ce récit reste conforme à ce que
nous enseigne l’Église même s’il manque de précision et soulève bien des
questions. Toute erreur de notre part ne provient que de notre main peu habile
ou d’une connaissance encore à travailler.
Si nous portons notre regard
sur la nature humaine qui se dévoile ainsi depuis le commencement jusqu’à sa
fin, nous pouvons la voir dans plusieurs états selon la vie divine qui
habite en lui..
Le premier état est celui de
sa Création. L’homme est établi dans la sainteté et la justice. Il est
doté de dons naturels et surnaturels. Par la grâce divine, il vit en effet d’une
vie surnaturelle qui se rajoute à sa vie naturelle. Il détient aussi quelques
dons particuliers, appelés préternaturels, notamment celui de l’exemption de la
souffrance, de l’immunité de la mort et de l’ignorance. Dans cet état,
l’homme est heureux avec des dons supérieurs à la nature humaine. Cet état
a été celle du premier homme à sa Création. Par le péché d’Adam, il a été perdu
définitivement.
L’état d’homme déchu n’est
pas définitif. Depuis l’œuvre de la Rédemption, par la
grâce divine, la nature humaine est rétablie, restaurée. L’homme peut de
nouveau participer à la vie divine qui le rend réellement enfant adoptif de
Dieu. L’homme est ainsi justifié et sanctifié. Il peut alors user des
moyens qui lui sont offerts par l’Église pour affermir sa sanctification et
ainsi arriver au salut éternel. Il peut suivre le chemin qui le conduira au
bonheur suprême. Contrairement au premier état, l’homme est dépouillé des dons
préternaturels et connaît notamment la concupiscence.
Cependant, l’état de
justification et de sainteté peut être remis en cause par le péché que
l’homme peut commettre. Par le péché, il peut en effet perdre la vie divine en
lui, le rendant de nouveau incapable par lui-même de retrouver l’état
précédent. Il est alors privé de tout mérite pour sa sanctification, le
laissant impuissant à retrouver le chemin de son bonheur. Pour retrouver son
état précédent, il a besoin que son péché soit effacé par la miséricorde toute
puissante de Dieu. De nouveau habité par la grâce divine, il retrouve alors l’état
qu’il a perdu et peut poursuivre son chemin.
Enfin, si les états
précédents peuvent évoluer en pire ou en mieux jusqu’au dernier souffle,
l’homme connaîtra nécessairement, et de manière définitive, soit la
félicité suprême, soit le malheur éternel. La plénitude de vie fixée pour
l’éternité est atteinte définitivement chez l’homme sanctifié. La déchéance
définitive de l’homme, privée de vie divine et habité par l’éternelle
souffrance, est celle du réprouvé.
Avant d’atteindre ce dernier
état définitif, l’âme du défunt doit quitter son corps, rejoindre le
paradis, l’enfer ou le purgatoire selon le jugement divin, puis dans un
glorieux instant, au son glorieux des trompettes célestes, tout sera restauré.
L’homme ressuscitera. L’âme animera de nouveau le corps pour qu’après le
jugement dernier, l’homme complet, corps et âme, puisse demeurer dans
son dernier et définitif état, celui de la félicité suprême marquée par la
vision béatifique ou celui de la souffrance éternelle.
La réalité de notre
véritable bonheur
D’abord, la nature
humaine n’a jamais été et ne sera jamais uniquement d’une pureté naturelle.
Soit elle est unie à des dons qui dépassent sa nature, soit elle est abîmée par
le péché. L’état définitif correspond à une plénitude de vie divine en l’homme.
Telle est donc la fin pour lequel il a été créé. Cela signifie donc que l’homme
n’est pas destiné à une fin naturelle. Sa fin dépasse ce que sa nature peut
lui donner. Elle ne relève pas de l’ordre de la nature.
Puis, les différents états
de la nature humaine peuvent être finalement réduits à deux états, à celui qui
correspond à une nature humaine élevée à la participation divine ou celui dans
lequel l’homme a perdu la vie divine. Cet état est transitoire tant que l’homme
est encore ici-bas. Son véritable bonheur, celui qui ne peut s’achever, ne
se trouve donc pas ici-bas mais dans l’éternité, de manière définitive sans
aucune crainte d’affaiblissement ou de perte. Cependant, c’est en ce monde
que l’homme s’y prépare.
Tant que l’homme est encore
vivant, il est destiné à un état définitif, à celui qui correspond à la béatitude
éternelle. Néanmoins, cette fin n’est pas assurée. Un péché peut le faire
tomber, une grâce le relever. Si ce bonheur éternel est offert à tous les
hommes, il n’est pas systématique comme si la vie humaine était une duperie. Tous
n’y accèdent pas. Tous les hommes n’acceptent pas les grâces qui sont
accordées. Jusqu’à leurs derniers soupirs, leur état peut donc être changé.
Rien n’est alors définitif. Nous ne pouvons donc pas être accablés par le
désespoir tant que nous restons vivants comme nous ne pouvons pas
non plus nous contenter de notre état, croyant que tout est déjà joué.
Le bonheur de l’homme dépend
de la présence de la vie divine qui est en lui,
une vie que l’homme peut perdre de lui-même ou l’obtenir, la raffermir,
l’accroître par la grâce divine. Il peut donc causer sa propre perte ou œuvrer
pour accéder au bonheur. Cependant si sa perte a pour cause ultime l’homme, celui-ci
ne peut la gagner ou l’accroître sans l’aide de Dieu. Par conséquent,
l’homme ne peut atteindre de lui-même la fin pour lequel il est fait. Sa
fin relève de la grâce divine.
Rappelons que ce bonheur
est bien celui de l’homme, c’est-à-dire de l’âme et du corps réunis. Or le
corps n’est que poussière et, selon sa fin naturelle, destiné à retourner en
poussière. Cela signifie que dans son état définitif, l’âme et le corps seront
de nouveau réunis. La résurrection des corps est un dogme intangible de
notre profession de foi.
La véritable notion du
surnaturel
Notre bonheur, notre nature
humaine ou encore notre vie ne peuvent donc être compris sans la notion de
surnaturel. Ainsi, faut-il insister sur ce qu’elle signifie.
Comme le signifie son
étymologie, le surnaturelle n’existe pas en soi ou seul mais suppose la
nature comme réceptive et détentrice. Il repose sur elle pour l’élever. Il
est alors inexact de parler d’êtres ou de choses surnaturelles en soi. Un être
n’est pas surnaturel parce qu’il est esprit ou supérieur à l’homme. Le
spirituel, le suprasensible, la transcendance, l’infini, le miraculeux et
autres termes semblables ne peuvent donc être appelés surnaturels.
Parfois, le terme est
employé dans un sens large et analogique. Un sacrement peut ainsi être dit
surnaturel car il est le canal qui transmet la grâce surnaturelle. Enfin, le
terme de surnaturel peut qualifier une chose en raison de sa cause instrumental
alors qu’elle peut aussi être produite naturellement. Le fait de parler
plusieurs langues par exemple peut provenir d’un don surnaturel comme il peut
aussi être acquis par des efforts naturels. Comme ce don peut aussi être obtenu
par l’homme lui-même, il est dit surnaturel au sens accidentel lorsqu’il
provient d’une cause qui ne peut pas être naturelle.
Nature et surnature
C’est pourquoi nous ne
pouvons pas parler du surnaturel sans décrire ce qu’est le naturel. Est
naturel pour l’homme tout ce qui appartient à sa nature créée, à la partie
constitutive de sa nature, c’est-à-dire à l’âme et au corps. Est aussi naturel
tout ce qui résulte de la nature, de ses forces et de ses facultés, de ses
besoins et de ses propriétés. Tout ce qui permet à l’homme de se conserver,
tous les besoins, les obligations ou encore toutes les exigences propres aux
corps et à l’âme relèvent aussi de la nature.
Est alors dit surnaturel
tout ce qui dépasse la nature telle qu’elle vient d’être
définie, et par conséquent, ce qui ne lui appartient pas, ni comme partie
constitutive, ni comme force, ni comme propriété, ce qui ne peut être recherché
et accompli par elle et les moyens qui lui sont accessibles. Ainsi, le
surnaturel ne peut être ni accordé ni exigé par la nature. Il est une
pure libéralité de Dieu.
Le surnaturel élève donc la
nature de l’homme, non au-dessus de lui-même dans un ordre d’existence
supérieur ou dans une nouvelle espèce humaine mais il le perfectionne à
l’intérieur de sa propre nature. Dieu agit en sa créature au-delà de ses
forces naturelles pour qu’elle puisse participer à la vie divine par la grâce
qu’Il lui accorde puis de manière parfaite par la gloire dans l’éternité. Selon
Saint Thomas, nous avons même un désir de surnaturel comme un besoin
d’achèvement ou encore la manifestation d’une certaine aptitude à recevoir le
surnaturel en nous. Si le surnaturel se distincte de la nature, le surnaturel
n’est pas contre nature.
Conclusions
Notre bonheur réside dans
notre union avec Dieu, union nécessairement imparfaite en ce monde
mais éternelle et immuable dans l’autre, union qui se construit ici-bas et
définitive dans l’éternité. Il concerne l’homme complet, c’est-à-dire
dans ce composé que constituent le corps et l’âme.
Mais comme l’a toujours
enseigné l’Église, notre bonheur n’est pas véritablement et entièrement notre
œuvre. Certes, nous y participons mais le véritable auteur est Dieu. Sans son
secours, rien n’est possible dans l’ordre du surnaturel, du commencement
jusqu’à la fin. Mais sans notre coopération, notre bonheur n’est pas non plus
atteignable, non pas en raison d’un manque ou d’une insuffisance au niveau de
Dieu mais en raison de son plein amour. Notre plénitude de vie est accordée
en raison du don de la grâce divine et non en raison du pouvoir de la nature
humaine. Dieu nous a créés et aimés le premier. Mais sans adhésion à sa
volonté, sans un comportement conforme à cette volonté d’union, nous mettons en
fait un obstacle à la grâce divine. C’est pourquoi sans notre coopération à
l’œuvre de notre vie, nous ne pouvons pas accéder à notre bonheur. Sans don
de Dieu, sans part active de notre part, toute quête d’épanouissement est vouée
à l’échec.
Telle est l’abîme qui sépare
la conception de l’homme qui se révèle dans le culte du bien-être et celle
qu’enseigne l’Église. Livré à nous-mêmes, nous ne pouvons guère atteindre notre
plénitude car notre épanouissement véritable relève de Dieu… « Sans moi, vous ne pouvez rien faire. »(Jean,
XV, 5)
Notes et références
[1] Voir Émeraude,
décembre 2012, article « Qu’est-ce
que l’homme ? ».
[2] Cyrille d’Alexandrie,
2ème
lettre à Nestorius, Concile d’Éphèse, 1ère session, 22 juin
431, Denzinger,
n°250.
[3] Profession de foi,
Concile de Chalcédoine, 5ème session, 22 octobre 451, Denzinger,
n°301, 3ème concile de
Constantinople, définition des deux vouloirs et opérations dans le Christ, 18ème
session, 16 septembre 681, Denzinger, n°554.
[4] Saint Irénée, Contre
les hérésies, Dénonciation et réfutation de la gnose au nom menteur, V,
6.1, trad. Adelon Rousseau, Cerf, 2001
[5] Origène, Homélies
sur le Lévitique, traduction, introduction et notes par M. Borret, Les
éditions du Cerf, Sources chrétiennes, 1981, volume I, dans L’homme
et le Cosmos à la Renaissance, Le ciel en nous dans une lettre de Marsile
Ficin, Ornella Pompeo Faracovi, Presses Universitaires de France,
2004/3 n°207, www.cairn.info.
[6] Saint Cyrille
d’Alexandrie, Stromates, IV, 164, 3.
[7] Voir Émeraude,
décembre 2012, article « L’homme
créé dans un jardin de délice ».
[8] Voir Émeraude,
décembre 2012, article « Adam et
Ève, la faute… ».
[9] Conclusions de saint
Césaire d’Arles, 2ème concile d’Orange, 529, Denzinger, n°396.
[10] Offertoire, Ordinaire
de la Messe dite de Saint Pie V.
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