" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


samedi 28 novembre 2020

Le bouddhisme occidental ou le néo-bouddhisme, mensonges et préjugés. Un piège savamment organisé...


Les communautés asiatiques représentent la majorité des bouddhistes en France et en Occident. Elles pratiquent leur religion traditionnelle selon des rites ancestraux. Pourtant, ce n’est pas ces formes de bouddhisme qui intéressent vraiment nos contemporains, et encore moins les médias. Le néo-bouddhisme occidental est plus visible, voire envahissant, sur les ondes. Les études sociologiques, les thèses et les ouvrages que nous pouvons trouver portent aussi sur ce bouddhisme particulier et minoritaire. Comment pouvons-nous expliquer ce paradoxe ? Ces mêmes études analysent le phénomène et nous éclairent davantage sur cette mode insistante. Leurs conclusions ne sont pas sans intérêt pour notre étude et même pour l’apologétique chrétienne. Tentons d’en faire une synthèse…

Le bouddhisme, une thérapeutique au profit du culte du bien-être

Aux yeux de nos contemporains, le bouddhisme apparaît d’abord comme une « science de l’esprit », un ensemble de pratiques thérapeutiques destinées à l’épanouissement de soi et capables de libérer nos contemporains du stress que génère notre société afin qu’ils puissent prendre le temps d’être. En un mot, il procure le bonheur aux contemporains abîmés par une société matérialiste et consumériste. Il leur donne le mieux-être, la sérénité et la paix intérieures. Des études scientifiques sont même réalisées pour démontrer les qualités intérieures de la méditation bouddhiste comme le fait si bien un des grands apôtres du bouddhisme tibétain en France à partir la neuroscience.

Le néo-bouddhisme occidental est donc parfaitement attirant dans une société où le culte du bien-être ne cesse de croître. Il répond parfaitement à ce moi qui s’exalte et s’élève de manière démesurée. Et c’est ainsi que certains lecteurs décident de se rendre dans des centres bouddhiques afin de trouver ce qu’il leur manque, un mieux-être.

Le bouddhisme, une sagesse et une morale laïque

Les livres et revues ne manquent pas pour vanter toutes les vertus des pratiques bouddhistes : sa rationalité, son universalisme ou encore la liberté d’être. Le bouddhisme apparaît alors différent du christianisme avec ses dogmes, sa morale et ses rites tout en apportant une certaine spiritualité. Il n’est plus qu’une sagesse rationnelle plus élevée que toutes les religions.

Or comme nous l’avons déjà évoqué à plusieurs reprises, ce bouddhisme n’est qu’une construction intellectuelle, née au XIXe siècle, auprès d’anticléricaux et de positivistes, décidés à substituer au christianisme un mouvement spirituel attrayant [1]. Les livres sacrés ont été traduits, lus et interprétés selon une vision biaisée du monde et un regard bien précis. Il est totalement étranger aux véritables formes du bouddhisme traditionnel, profondément religieux, aux multiples doctrines et rites, fondées sur une métaphysique particulière. En dépit de nos connaissances, c’est encore cette image du XIXe siècle qui s’impose à nos contemporains. Le bouddhisme apparaît encore et toujours comme une religion sans y être, comme une sagesse toute laïque. Une image idyllique, conforme à leur laïcisme et à leur conception de la religion, ainsi que la volonté de combattre le christianisme structurent finalement une image d’un bouddhisme prétendu idéal mais faussé.

Ce n’est pas seulement une idée d’un siècle dépassé. Le néo-bouddhisme d’origine asiatique et influencé par les pensées occidentales a agi de même. Tout ce qui peut caractériser une religion, un dogme ou un rite a été soigneusement retiré de leur description. C’est ainsi qu’il se présente comme une morale laïque suffisamment élevée pour concurrencer le christianisme.

Un bouddhisme identique au christianisme idéal mais supérieur

Il est par ailleurs étrange que le bouddhisme soit si souvent comparé au christianisme au point que certains y voient des ressemblances. On n’hésite même pas à voir dans Notre Seigneur Jésus-Christ un Bouddha qui s’ignore ! Il est vrai que, parfois, de nombreuses notions chrétiennes sont subtilement utilisées pour présenter le néo-bouddhisme et l’enseigner.

Mais contrairement au christianisme, le néo-bouddhisme apparaît plus sympathique, moins rigide, moins dogmatique. L’absence de « dogme » et de « rite » est en effet souvent soulignée pour le caractériser. À l’opposé du bouddhisme traditionnel qu’il considère comme décadente et superstitieux, obsolète pour notre temps, le néo-bouddhisme a réussi à retrouver sa pureté originelle. Sa modernité est un retour à sa source.

Par conséquent, le néo-bouddhisme a toute sa place dans une société anciennement chrétienne, qui relègue le christianisme dans le passé et rejette ses dogmes comme sa morale. Il lui apporte une spiritualité aussi élevée tout en lui laissant la liberté d’être. Une telle image ne peut qu’être attrayante pour nos contemporains.

Un bouddhisme au secours du christianisme ?

Des chrétiens s’imaginent même que le néo-bouddhisme pourra leur apporter ce que le christianisme ne peut pas leur donner. Sa spiritualité, ses méditations et bien d’autres pratiques se mêlent à la vie chrétienne de certains fidèles. Ceux-ci en viennent même à le louer, voire à les confondre. Jésus et Bouddha, même chose…

L’ignorance de ces chrétiens sur leur propre religion est affligeante. À force de réduire le christianisme à l’activisme social et aux œuvres à l’efficacité facile, confondant bien-être et salut, ils ont oublié la force de sa spiritualité contemplative, la richesse et la diversité de ses prières et de ses oraisons, les élévations intérieures de ces hommes et femmes enflammés de la présence divine. Pères du désert, fondateurs des Ordres religieux, Saint Jean de la Croix, Sainte Thérèse de l’Avila… La vie contemplative a fait l’objet de tant de contestations et de vives oppositions, voir de terribles persécutions depuis le XVIIIe siècle, que ce trésor accumulé n’est plus que vagues souvenirs. Et encore, épris d’innovations et plus ouverts au monde, ils ont délaissé ces secrets de l’âme. Et désormais, éloigné de ces merveilles inaccessibles, ils recherchent dans le néo-bouddhisme ce qui peut nourrir leur âme, affamés et las d’un monde si froid et rationnel, sans mystère ni murmure…  Perdus dans un vide spirituel et désarmés de sacré, ils sont des proies faciles pour ces faiseurs de rêves et ces manipulateurs de sens, qui peuvent alors sans difficulté les appâter et les attirer, mêlant à leurs croyances fragiles des pensées exotiques dans un syncrétisme étonnant.

Un bouddhisme, sauveur de la civilisation

Le néo-bouddhisme est aussi associé à une certaine conscience de la décadence de notre société, et ce depuis le XIXe siècle. L’une des premiers adeptes et apôtres français du bouddhisme, Alexandra David-Neel, le désigne en effet comme un remède à la décrépitude de la civilisation occidentale qui génère angoisse et souffrance. « Est-on encore justifié en parlant de la faillite de notre civilisation, ou faut-il employer le terme de catastrophe ? […] Il est, cependant, une autre expression, moins dramatique, mais plus poignante […] : c’est celle de décrépitude. […] Ne convient-il pas que nous nous efforcions d’écarter de nous, hommes de l’époque actuelle, le plus grand nombre possible d’éléments producteurs de souffrance, et de multiplier les facteurs susceptibles de contribuer à notre confort matériel et spirituel ? Or, il existe un enseignement dont le but, formellement affirmé, consiste précisément dans la Suppression de la Souffrance. Ne serait-il pas sage de lui accorder notre attention ? »[2] Ce n’est pas un hasard si la souffrance est l’un des thèmes majeurs du néo-bouddhisme.

L’activisme des maîtres bouddhistes

C’est ainsi que depuis deux siècles, le bouddhisme sous sa forme occidentale ou moderniste est revêtu d’une image plaisante pour une société déchristianisée, en proie à la souffrance qu’elle génère et à la recherche du bien-être. Le discrédit des religions poussent les déçus et les révoltés vers le centres ou groupes bouddhistes de toute sorte. Le mal-être ambiant, le matérialisme étouffant et le vide spirituel de notre société y poussent aussi tous ceux qui ne supportent plus leur existence sans consistance. Tous espèrent y trouver du sens à leur vie. L’image d’un bouddhisme propice à l’épanouissement personnel, non religieux et remède à la souffrance attire ainsi bien des contemporains désarmés et conscients d’un manque de bonheur certain.

Les néo-bouddhismes asiatiques ont développée cette image idyllique du bouddhisme, avec l’aide et le soutien des bouddhistes occidentaux. Ils sont intervenus aux États-Unis et en Europe pour la diffuser et gagner de la notoriété. Ce ne sont pas des asiatiques aux mœurs étranges et inquiétants. Ce sont en effet généralement des intellectuels et des universitaires qui ont su admirablement adapter leur vocabulaire et leur doctrine à la culture occidentale.

Des maîtres asiatiques se sont installés en Occident, fondant des sociétés et centres bouddhistes, offrant des stages et des méditations répondant aux vœux de nos contemporains. Leurs ouvrages se sont diffusés avec souvent du succès. En outre, ils ont cultivé leur image médiatique, rayonnant de tolérance et de quiétude.

Une manne financière

Ces maîtres bouddhiques ont tout intérêt à développer une image si agréable du bouddhisme, même si elle est inauthentique et dénature ce qu’ils professent. La conception fantasmée leur assure non seulement une réelle propagande et une grande notoriété médiatique mais leur offre également des ressources financières non négligeables. Les livres bouddhiques de vulgarisation, les conférences et les stages bouddhistes sont un réel débouché économique pour de nombreux maîtres et lamas asiatiques.

N’oublions pas en effet que ces derniers ne travaillent pas et doivent être soutenus par les fidèles. Or ces maîtres n’ont guère de fidèles dans leurs pays d’origine. En Asie, sont-ils vraiment appréciés, ces laïcs qui dénaturent les religions traditionnelles, et souvent insuffisamment formés ? D’origine asiatique ou occidentaux, ils sont en fait bien différents des véritables maîtres religieux du bouddhisme et de leurs ancêtres. Et en Europe, les communautés asiatiques de bouddhisme traditionnel ne les apprécient guère.

Un témoignage intéressant

Dans sa thèse de doctorat en anthropologie, présentée en 2013 [3], Marion Dapsance nous décrit la réalité des centres bouddhistes installés en France et à Monaco, en particulier le centre Rigpa [4]. Elle participe aussi à des conférences données par des lamas tibétains. Son témoignage illustre de manière éclatante le phénomène bouddhiste tibétain qui se développe en Europe. Elle découvre aussi l’enseignement direct d’un lama tibétain, Gyalwang Drukpa, lors d’une retraite bouddhiste qui s’est déroulé en Bretagne.

Dapsance s’engage dans un centre bouddhiste par curiosité, par attractivité. « Je souhaitais éprouver moi-même ce que pouvait réellement apporter une « pratique spirituelle » si positivement perçue – non seulement des membres du centre, ce qui va de soi, mais également par de nombreux intellectuels occidentaux dont j’avais lu les témoignages. » Elle constate rapidement que bien de « pratiquants » exercent réellement la méditation. L’essentiel est ailleurs…

Notons ses premières appréciations. Elle est d’abord agacée par une présentation d’accueil qui lui paraît trop commercial et stéréotypée. Dans la bibliothèque d’un centre, elle découvre des ouvrages de bouddhisme, d’ésotérisme, de yoga, de théosophisme [5], de végétarisme. Progressivement, pris par une curiosité plus grande à l’égard d’un univers inconnu, elle s’enthousiasme et approfondit sérieusement ses découvertes. L’étrangeté et le mystère qui enveloppent la liturgie et les rites la galvanisent.

Dapsance constate rapidement une contradiction entre l’image que l’opinion se fait du bouddhisme et la réalité qu’elle découvre. D’une part, elle prend conscience de l’importance des traditions religieuses et de leur richesse dans son enseignement et ses pratiques contrairement à ce qu’elle a pu lire. En effet, les livres et les commentaires en faveur du bouddhisme le dépeint comme une spiritualité non religieuse, sans rite ni autorité au contraire du christianisme. Pourtant, elle rencontre un univers centré sur la liturgie et fondée sur l’obéissance d’adeptes à un maître qui fait l’objet d’une véritable dévotion.

En outre, d’une manière répétée, les discours comparent le bouddhisme avec le christianisme. « Le dispositif de transmission mis en place par ce centre faisait émerger et entretenait constamment la comparaison entre un christianisme délétère et dégénéré et un bouddhisme salvateur, que les observateurs reprenaient à leur compte en privilégiant les discours des convertis plutôt que l'analyse de leurs pratiques effectives. » Elle note que la plupart des adeptes sont des chrétiens déçus.

Puis, Dapsance est aussi surpris de l’influence de la culture tibétaine dans le bouddhisme alors que son universalisme est souvent loué dans les ouvrages au point « qu’il était impossible de comprendre les pratiques tibétaines proposées sans une étude approfondie de la doctrine, de la théologie, de la cosmologie, du panthéon et de la société dans lesquels elles s’insèrent. » Dapsance s’interroge alors sur la conception que peuvent se faire des adeptes occidentaux sans une connaissance précise de la culture tibétaine, voire celle de la langue. « Le décalage culturel n’était-il pas trop important pour parvenir à une pratique rituelle qui ait encore du sens ? »

Enfin, l’enthousiasme en elle se transforme rapidement en incompréhension, voire en colère, devant l’aveuglement ou la mauvaise foi des adeptes. En effet, Dapsance constate le caractère éminemment religieux de leurs pratiques alors qu’ils se déclarent pratiquer uniquement une sagesse ou une science de l’esprit sans aucun rapport avec la religion. Les discussions qu’elle engage avec eux aboutissent aussi toujours à une comparaison entre le bouddhisme et le christianisme, sur leurs avantages et désavantages, sur la supériorité du bouddhisme sur le christianisme.

Conclusion

Dans un de ses ouvrages [6], l’anthropologue Dapsance remet en cause le bouddhisme tel qu’il est décrit en Occident. Il est décrit comme une philosophie salvatrice, capable de fournir à nos contemporains l’épanouissement personnel qu’ils recherchent. Or la conclusion de ses expériences est bien différente de cette intention : « le Bouddha est devenu philosophe quand nous avons cessé d’être chrétiens ». Elle dénonce l’objectif idéologique que porte le néo-bouddhisme occidental, celui de faire du Bouddha « un anti-Christ », ou plutôt un « messie oriental duquel viendrait la régénérescence de l’Occident moribond ». Le contraste entre la description du bouddhisme par les médias et les intellectuels et la réalité ne permet pas toujours aux adeptes d’y déceler le mensonge et le piège.

L’objectif n’a pas évolué depuis les travaux de Burnouf [7] et de ceux qui ont utilisé une interprétation biaisée des textes sacrés du bouddhisme dans un but de supplanter le christianisme et de développer une morale laïque.  La situation a néanmoins changé depuis le XIXe siècle.


D’une part, au lieu de devenir un objet intellectuel ou encore livresque, le néo-bouddhisme profite du culte du bien-être et de ses pratiques pour attirer nos contemporains. Il n’hésite pas à s’appuyer désormais sur des études scientifiques pour prouver la valeur rationnelle de la méditation bouddhique [8]. Il loue encore les valeurs morales du bouddhisme, son altruisme, sa tolérance et son universalisme, sans rapport avec une religion, c’est-à-dire avec le christianisme. C’est ainsi que le bouddhisme est décrit soit comme une spiritualité moderne, à la fois rationnelle et mystique, non prosélyte mais salvatrice dans notre civilisation en déclin [9], ou comme une religion missionnaire, universelle, conquérante [10]. Dans le premier cas, le bouddhisme répondrait aux besoins nouveaux des contemporains en quête de religiosité raisonnable, de liberté, d’autonomie, ce qui expliquerait ses succès. Dans le second cas, plus sérieux, ce succès est le résultat de son prosélytisme international.

D’autre part, la déchristianisation de la société, la pauvreté spiritualité, l’absence du sacré et le vide des rites chrétiens actuels poussent d’anciens chrétiens déçus vers d’autres formes de religiosité. La réalité est claire pour celui qui veut la voir. La nature n’aime pas le vide. Ce que les hommes d’Église ne proposent plus est recherché ailleurs, laissant alors bien d’individus aux mains des maîtres et des gourous. Voilà sans-doute un des fruits amers de la révolution qui frappe l’Église depuis plus cinquante ans. Est-ce cela la charité chrétienne ?...

 

Notes et références

[1] Voir Émeraude, novembre 2020, article « Le "bouddhisme occidental", pur produit des idéologies du XIXe siècle ».

[2]Alexandra David-Neel, Le Bouddhisme du Bouddha, édition de 1989 dans Sur le déni de la religiosité du bouddhisme. Un instrument dans la polémique antichrétienne, Le Débat, 2015.


[3] Dapsance, « Ceci n’est pas une religion » L’apprentissage du dharma selon Rigpa (France), thèse de doctorant d’anthropologie, mention « religion et système de pensée », école pratique des hautes études, 7 décembre 2013.

[4] L’organisation internationale Rigpa a été fondée en 1978 par Sogyal Rinpoché, célèbre depuis un livre devenu un best-seller. Or Dapsance a dénoncé ses pratiques du lama, fondateur des centres tibétains Rigpa, en 2016 dans son ouvrage Les dévots du bouddhisme. Quelques mois plus tard, la direction de l’organisation Rigpa l’a démis de ses fonctions pour « abus psychiques, émotionnels, psychologiques et sexuels » (La Croix, 29 août 2017). Et pourtant, certains intellectuels ont dénoncé cet ouvrage.

[5] Voir le centre de théosophie dans Émeraude, article « Le "bouddhisme occidental", pur produit des idéologies du XIXe siècle ».

[6] Dapsance, Qu’ont-ils fait du bouddhisme ?, Bayard, 2018.

[7] Voir Émeraude, novembre 2020, article « Le "bouddhisme occidental", pur produit des idéologies du XIXe siècle ».

[8] Dapsance dénonce notamment quatre auteurs, qui, en effet, s’active dans les médias et publient de nombreux ouvrages sur le sujet, comme nous avons pu le constater. Ce sont Matthieu Ricard, Christophe André, Fabrice Midal et Frédéric Lenoir. Je rajouterai un autre auteur prolifique Raphaël Liogier.

[9] Voir Bouddhisme et Occident. La diffusion du bouddhisme tibétain en France, Lionel Obadia, L’Harmattan, 1999, La rencontre du bouddhisme et de l’Occident et Le bouddhisme en France, Fayard, 1999, et Être bouddhiste en France aujourd’hui, Bruno Etienne et Raphaël Liogier Paris, Hachette, 1997.

[10] Voir Le maître dans la diffusion et la transmission du bouddhisme tibétain en France, Cécile Campergue, thèse soutenue en 2008 et publiée en 2012 chez L’Harmattan, Le bouddhisme des Français, Thierry Mathé, L’Harmattan, 2005

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