Sainte Thérèse des Andes |
S’il
nous est possible de connaître Dieu par la raison, nous sommes bien impuissants
à Le connaître véritablement. Face à l’Être suprême, la raison livrée à
elle-même s’abîme et s’égare dans sa réflexion. Elle risque de se perdre dans
une des multiples thèses philosophiques qui divisent les élites. Aux philosophes
réunis à l’Aréopage, Saint Paul ironise sur leur sagesse. Ils ignorent Dieu en dépit de leurs efforts. La diversité des religions manifeste aussi la
difficulté de Le connaître. Le sentiment religieux est impuissant à
L’atteindre. Leur multiplicité montre évidemment qu’elles ne peuvent pas être toutes
vraies tant elles sont profondément différentes. Elle témoigne autant de la richesse de notre imagination que de l’incrédulité
des hommes. Nombreux sont en effet les séducteurs, les imposteurs et les faux
prophètes.
L’œuvre
de la Rédemption
Bienheureux Don Marmion |
Dieu s’est révélé à l’homme. Il ne l’a pas laissé seul devant la réalité de sa présence et devant l’impuissance de sa raison. Dieu nous a appris ce qu’Il est. Et nous le savons désormais avec certitude et assurance. Nous croyons en Dieu le Père, le Fils, le Saint Esprit, c’est-à-dire en la Sainte Trinité, trois personnes divines en un seul Dieu. Tel est notre Credo. Il est étrange que certains osent dire que les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans adorent le même Dieu quand seuls les Chrétiens adorent Dieu en Trois Personnes divines. Si nous avons tous un même Dieu, car Il est unique, nous ne Le connaissons pas tous. Certains L’adorent dans la vérité quand d’autres Le servent dans l’erreur. Passons cette étrangeté qui n’est pas le sujet de notre article. Revenons à la Sainte Trinité.
Éternellement,
Dieu le Père engendre le Fils auquel Il communique sa nature, ses perfections,
sa vie. Le Fils est ainsi semblable au Père, unique et distinct du Père, tout
en étant de même nature divine. Ils sont unis d’une étreinte d’amour d’où
procède le Saint Esprit. La vie divine est communiquée par le Père au Fils unique,
et par eux au Saint Esprit. Mais la vie divine ne s’arrête pas là. Dieu veut la
partager aux hommes, à tous les hommes. Par un amour qui nous dépasse, mystère
insondable, Dieu veut élever les hommes au-dessus de leur nature. Il nous a
adoptés comme ses enfants.
Dès
le début du temps, la volonté de Dieu s’est réalisée en Adam, créé à l’image et
à la ressemblance de Dieu. Adam a reçu cette grâce qui faisait de lui enfant de
Dieu. Mais par sa désobéissance, par le péché originel, il a été expulsé du
paradis, emmenant l’humanité dans la disgrâce. Depuis sa chute, nous naissons
tous pécheurs, enfants de la colère. Pour réparer la faute, pour restaurer
l’œuvre initiale d’une manière plus admirable encore que celle de la Création,
le Verbe s’est fait chair. Le Fils de Dieu s’est fait homme. C’est le mystère
de l’Incarnation. Un en deux natures, vrai Dieu et vrai homme, Notre Seigneur
Jésus-Christ est le propre Fils de Dieu. Les deux natures se sont unies, sans
mélange ni confusion. La vie divine est ainsi communiquée en plénitude à son
humanité. C’est dans le Christ que Dieu a tout restauré.
Notre
Seigneur Jésus-Christ est venu racheter tous les hommes. Il est ainsi le
premier-né de tous ceux qui Le recevront et recevront par Lui la grâce de la
vie divine après avoir été rachetés par Lui. Il est ainsi constitué le chef
d’une multitude de frères. « En
sorte que la même vie divine qui dérive du Père dans le Fils, qui découle du
Fils dans l’humanité de Jésus, circulera par le Christ dans tous ceux qui
voudront l’accepter ; elle les entraînera jusque dans le sein béatifiant
du Père, là où le Christ nous a précédé, après avoir soldé pour nous ici-bas,
par son sang, le prix d’un tel don. »[2] La vie
divine ne peut donc venir en nous que par le Christ…
Vivre
de la vie de Dieu
Saint François d’Assise recevant les stigmates (détail) Rubens, |
La
participation à la vie divine se réalise par la grâce. C’est par la grâce en
effet que nous pouvons vivre de la vie de Dieu Lui-même. Par cette grâce, Dieu
pénètre au fond de notre nature en nous élevant intérieurement. Rien
d’essentiel n’est changé en notre nature. Il n’y a aucune magie. L’acte
d’adoption est si efficace que nous devenons pleinement, par la grâce,
participant à la nature divine. Cette grâce est ainsi appelée sanctifiante.
Soulignons
que cette adoption est d’ordre surnaturel. La grâce devient pour nous une
source d’actions et d’opérations surnaturelles qui tendent vers une fin
surnaturelle : connaître Dieu un jour et jouir de Lui. Hors de cette
adoption surnaturelle, cette fin est inaccessible. Rien de naturel en effet ne
peut nous conduire à Dieu.
Ainsi
par un amour qui nous dépasse, abîme de mystères, Dieu veut notre sainteté en
nous faisant participer à sa vie même. Par la grâce, Il nous adopte comme ses
enfants et les héritiers de sa gloire infinie et de sa béatitude éternelle.
Mais Dieu ne nous donne cette adoption que par son Fils, Notre Seigneur
Jésus-Christ. C’est en Lui, par Lui et avec Lui que Dieu veut nous unir à nous
et qu’Il veut que nous nous unissions à Lui. Le Christ est donc la seule voie qui
nous mène à Dieu. Nous ne serons saints que dans la mesure même où la vie de
Jésus-Christ sera en nous. Personne ne va au Père que par le Christ. Point
d’autres voies pour être agréable à Dieu et donc pour être saint...
L’Église,
œuvre du Christ
Saine Elizabeth Ann Seton |
L’Église
peut être vue de deux façons, soit dans son corps, c’est-à-dire comme société
visible, hiérarchique, organisme animé par le Saint Esprit, soit dans son âme,
« c’est-à-dire le Saint Esprit dans
son union avec les âmes par la grâce et la charité »[5]. Le plus
important est évidemment d’appartenir à l’âme de l’Église bien que
l’incorporation au corps soit la voie normale pour y arriver. « Dans l’économie normale du christianisme, ce
n’est que par l’incorporation à la société visible que les âmes entrent en
participation des biens et des privilèges qui découlent de l’union à son
âme. »[6]
Cela justifie le précepte « Hors de
l’Église point de salut » que nous avons déjà longuement évoqué[14].
L’Église
est donc la continuation de la mission de Notre Seigneur Jésus-Christ par sa
doctrine, sa juridiction, ses sacrements et par son culte. Elle nous enseigne,
nous dirige, nous donne la grâce. Elle nous donne les moyens de rendre à Dieu
toute gloire et tout honneur.
L’Église,
règle de foi
L’Église
nous parle avec toute l’autorité de Notre Seigneur Jésus-Christ par le Pape et
ses évêques unis à lui. « Qui vous
écoute, m’écoute ; et qui vous méprise me méprise, mais qui me méprise, méprise
celui qui m’a envoyé. » (Luc, X, 16) L’Église est une société
hiérarchisée fondée sur Saint Pierre et ses successeurs, puis sur les évêques.
Sans évêque, pas d’église, nous dit encore Saint Ignace de Loyola. L’Église ne
se conçoit pas sans structure hiérarchique.
« C’est moi qui suis la lumière du monde ;
qui me suit ne marche pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. »
(Jean,
VIII, 12) Celui qui reçoit l’enseignement de l’Église reçoit son enseignement
et donc celui de Dieu le Père. Il faut donc l’accepter et s’y soumettre. Le
catholique croit donc en son enseignement non à cause de sa raison, de ses
efforts personnels ou de ses lumières naturelles. Il croit parce que l’Église,
qui remplace le Christ, le lui enseigne. Nous croyons parce qu’il y a l’Église.
Saint Augustin nous dit qu’il ne croirait pas à l’Évangile s’il n’y était porté
par l’autorité de l’Église[7]. Notre
Seigneur Jésus-Christ a promis d’être avec ses Apôtres jusqu’à la consommation
des siècles. La voie de l’Église est donc sûre. Certes, il ne s’agit pas de
croire en une autorité de l’Église mais à l’Église dans toute sa catholicité.
Interrogeons-nous sur les autres confessions chrétiennes et les autres religions. Pourquoi un musulman se soumet-il au Coran ? Il justifiera certainement sa croyance par le caractère sacré du livre. C’est donc le livre qui justifie sa propre autorité. Ainsi non seulement le Coran se légitime lui-même mais il occupe un véritable rang divin. On parle alors de théorie du coran incréé[15]. Il le considérera aussi en évoquant le consensus de la communauté. Et le témoin de Jéhovah, comment justifie-t-il son obéissance à un livre qui diffère du nôtre ? Car un jour un homme s’est levé et s’est proclamé le prophète ? Examinons bien la source de leur foi. Nous nous apercevrons finalement que leur soumission ne s’appuie en fait que sur eux-mêmes. Le catholique s'appuie sur l’Église.
Les
vérités de foi auxquelles nous adhérons ne sont pas livrées aux désirs de
chacun. Ce n’est pas le chrétien qui choisit ce qu’il veut croire. Sa foi ne se
fonde pas non plus sur une école philosophique ou religieuse, ou sur l’autorité
d’un docteur ou d’un saint. L’enseignement de la foi n’est pas laissé à
l’initiative des Chrétiens. Ce que nous croyons comme vérité de foi repose au
sein de l’Église qui en garantit sa véracité et son intégrité. Certes, parfois,
elle est en germe dans le dépôt de la foi avant de croître pour rayonner de
toute sa lumière. Elle a en effet besoin du temps pour qu’elle croisse et pour
que l’homme soit capable de la saisir. Des épreuves comme celles des hérésies
sont des occasions de développement. Les trésors de l’Église se dévoilent donc
progressivement à mesure que l’Église croît. Comme le rappelle Saint Paul,
notre foi ne se repose pas sur une personne, sur son éloquence, ni même sur sa
sainteté. S’il n’enseigne pas ce que l’Église a enseigné, il ne doit pas être
écouté. L’Église est règle de foi…
Le
Christ, source de toutes grâces
Le
sacrement ne dépend pas de la dignité de l’évêque ou du prêtre qui
l’administrent comme le croyaient les Donatistes et d’autres hérétiques. En
s’opposant à leurs erreurs, Saint Optat de Milève puis Saint Augustin ont
montré que le ministre n’est qu’un instrument. Le véritable ministre est Notre
Seigneur Jésus-Christ. Saint Paul le dit également. Ainsi un baptême est valide
quand il est donné par un athée s’il l’administre selon ce que veut l’Église.
Le
culte rendu à Dieu
Autour
du sacrifice de la messe, centre de toute la religion chrétienne, l’Église
organise le culte public qu’elle a le droit d’offrir au nom du Christ. Tout son
culte se ramène au Christ. Toutes nos prières remontent au Père éternel en
passant par le Christ. Par le mystère de l’Eucharistie, Notre Seigneur
Jésus-Christ est même présent et se donne à tous ceux qui se nourrissent de
Lui.
Et
tout le long de l’année, l’Église fait revivre les mystères de Notre Seigneur
Jésus-Christ autour de la fête centrale qu’est celle de sa Résurrection. Nous y
puisons la vie divine que ces mystères, vécus d’abord par notre Maître, nous
ont méritée.
Ainsi
l’Église est « la dépositaire
authentique de la doctrine et de la loi du Christ ; la dispensatrice de
ses grâces parmi les hommes ; enfin, l’Épouse qui, au nom du Christ, offre
à Dieu, pour tous ses enfants, la louange parfaite. »[8] Elle est
telle qu’elle perpétue la présence visible de Notre Seigneur Jésus-Christ.
C’est en elle que nous Le retrouvons.
L’Église,
une société visible
Comment
pouvons-nous rencontrer le Christ ? C’est par l’intermédiaire des hommes
que le Christ nous guide et nous sanctifie. Sans voix pour enseigner, point de
connaissances. Sans aveu à un homme, pas de pardon. Nous tenons notre doctrine
d’une autorité en matière de foi, c’est-à-dire d’un homme comme nous. Nous
avouons notre faute à un prêtre, c’est-à-dire à un homme. C’est par
l’intermédiaire d’hommes semblables à nous que nous recevons les grâces
divines. Rappelons que Dieu agit souvent par les hommes. Il libère le peuple
d’Israël par Moïse. Par Salomon, Il fait construire son Temple. Par son fiat,
Sainte Marie nous ouvre les portes du salut.
Sainte Adélaïde |
L’Église
est un organisme visible, « un
édifice fondé sur les Apôtres, et dont la pierre angulaire est le Christ
Lui-même. »(Ephes., II, 19-22) C’est dans le
Christ que l’édifice s’élève pour former un temple saint de Dieu. En nous
attachant à l’Église, nous nous attachons à Notre Seigneur Jésus-Christ et à
tout ce qui nous serait venu de lui, si nous avions pu Le suivre durant sa vie
terrestre. « L’Église est l’Épouse
du Christ ; elle est notre Mère ; nous devons l’aimer, parce qu’elle
nous mène au Christ et nous unit à Lui ; aimer et révérer sa doctrine,
parce que c’est la doctrine du Christ Jésus ; aimer sa prière et nous y associer,
parce que c’est la prière même de l’Épouse du Christ : il n’y en a pas de
plus sûre pour nous, de plus agréable à Notre Seigneur. » [9]
Des
signes de la divinité de l’Église
Les martyrs d'Ouganda |
Cela
manifeste bien que la grâce ne provient pas de l’homme. Dieu use de notre
faiblesse pour montrer davantage sa force et sa miséricorde. À partir de douze
hommes, pauvres et sans véritable culture ni intelligence, l’Église s’est
développée dans le monde entier. Celse et tous les adversaires antiques du
christianisme se sont moqués de l’origine peu glorieuse des Apôtres. Et pourtant,
le paganisme a été vaincu…
L’Église,
le corps mystique du Christ
Selon
les paroles de Saint Paul, l’Église est décrite comme le corps du Christ, un
corps qui se développe pour atteindre sa plénitude. Ce corps, ce sont les âmes
qui, par la grâce, vivent de la vie du Christ. L’union est d’ordre surnaturel
et intime. Ainsi le corps est-il dit mystique. L’Église constitue avec le
Christ un seul être.
Notre
Seigneur Jésus-Christ est la tête de ce corps qu’est l’Église par une triple
primauté d’honneur, d’autorité et de vie. C’est de Lui que nous devons recevoir
la vie divine. Il est la source unique de toutes les grâces. Et toutes les
grâces que nous recevons servent à l’édification du corps.
L’union
entre Notre Seigneur Jésus-Christ et les membres de l’Église sont si fortes
qu’elle va jusqu’à l’unité. Qui touche à l’un d’entre eux touche à Notre
Seigneur Jésus-Christ. « Saül,
pourquoi me persécutes-tu ? » Sur le chemin de Damas, Saül, futur Saint Paul, entend
une voix. Mais « qui êtes-vous
Seigneur ? », lui demande-t-il. « Je suis Jésus que tu persécutes ». Elle ne dit
pas « Pourquoi persécutes-tu
mes disciples ? » ou « je
suis le maître de ceux que tu persécutes. » En persécutant les
Chrétiens, Saül persécute le Christ Lui-même. Car ces disciples et Lui ne font
qu’un tant ils sont unis si étroitement. « Nous sommes membres de son corps, formés de sa chair et de ses os. »(Éphésiens,
V, 30) Notre Seigneur Jésus-Christ nous unit tellement à Lui que tout ce que
nous faisons à n’importe quelle âme qui croît en Lui, c’est à Lui-même que nous
le faisons.
Ainsi l’œuvre de la Rédemption qu’a accomplie Notre Seigneur Jésus-Christ devient nôtre. Les satisfactions et les mérites qu’Il a gagnés sont devenus les nôtres. Dans la pensée de Dieu le Père, nous sommes un avec le Christ. « Mon Père vous aime parce que vous m’aimez et que vous avez cru que je suis son Fils. »(Jean, XVI, 27) Toute la grâce que Notre Seigneur Jésus-Christ a reçue de son Père en plénitude n’est pas réservée à Lui seul. Tous nous pouvons puiser à cette plénitude. Nous sommes ainsi riches de sa richesse, sage de sa sagesse, fort de sa force, joyeux de sa joie…
« Félicitons-nous, répandons-nous en actions
de grâces, nous sommes devenus non seulement chrétiens, mais le Christ !
Comprenez-vous, mes frères, la grâce de Dieu sur nous ? Admirons,
tressaillons d’allégresse, nous sommes devenus le Christ ; lui, la tête,
nous les membres ; l’homme total, lui et nous »[11]
Si
nous formons un seul corps, nous sommes alors tous solidaires. « Si un membre souffre, tous les membres
souffrent avec lui ; si un membre est honoré, tous partagent sa joie »
(I
Cor., XII, 26) Le bien d’un membre profite au corps tout entier et la
gloire du corps rejaillit sur chacun de ses membres. Ainsi devons-nous tous
travailler pour parvenir « à
l’unique perfection du corps mystique » (Éphésiens, IV, 13) Mais
pour cela, faut-il que nous restions unis au corps et au Christ qui en est la
Tête. C’est pourquoi avant de quitter ses Apôtres, Notre Seigneur Jésus-Christ leur
demande de rester unis. « Qu’ils
soient un, ô Père, comme vous et moi nous sommes un ; qu’ils soient
consommés dans l’unité. » (Jean, XVII, 21-23) Être un dans le Christ
et par le Christ…
Et
au jour voulu, lorsque le temps de sa plénitude sera atteint, l’Église
partagera la gloire de son Maître. Notre Seigneur Jésus-Christ présentera tous
les élus réunis à son Père pour Lui en faire l’hommage. L’Église sera
transfigurée et glorieuse en tous ses membres. Telle sera la Jérusalem céleste.
L’Église entrera dans le Royaume de Dieu…
L’Église est ainsi la continuation de Notre Seigneur Jésus-Christ ici-bas ou encore la prolongation à travers les âges de son Incarnation. « On peut donc dire de l’Église, proportion gardée, ce que son Époux disait de Lui-même ; elle est pour nous la voie, la vérité, la vie. »[12] Nous pouvons donc la suivre avec confiance et courir avec hâte pour atteindre le but de notre vie ici-bas… Ainsi nous pouvons dire qu’hors du Christ, point de salut…
[2]
Don Marmion, Le Christ, vie de l’âme, I, I.
[3]
Don Marmion, Le Christ, vie de l’âme, I, I.
[4]
Don Marmion, Le Christ, vie de l’âme, V.
[5]
Don Marmion, Le Christ, vie de l’âme, V.
[6]
Don Marmion, Le Christ, vie de l’âme, V.
[7]
Voir Contra
epistul. Fundant, Saint Augustin, 5.
[8]
Don Marmion, Le Christ, vie de l’âme, V, I.
[9]
Don Marmion, Le Christ, vie de l’âme, V, II.
[10]
Don Marmion, Le Christ, vie de l’âme, V, II.
[11]
Saint Augustin, Tract. In Jean, XXI, 8-9.
[12]
Don Marmion, Le Christ dans ses Mystères, Desclée de Brouwer, 1939.
[13] Vie de Don Marmion, voire site http://www.marmion.be.
[14] Voir Émeraude, septembre 2016, article "Hors de l'Eglise, point de salut.".
[15] Voir Émeraude, mars 201, "Le Coran incréé contradiction fondamentale".
[13] Vie de Don Marmion, voire site http://www.marmion.be.
[14] Voir Émeraude, septembre 2016, article "Hors de l'Eglise, point de salut.".
[15] Voir Émeraude, mars 201, "Le Coran incréé contradiction fondamentale".
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