" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


samedi 19 décembre 2020

Le New-Age (1), est-ce encore bien utile d'en parler ?

Notre monde peut nous effrayer. Comme un homme affolé fuyant ses poursuivants, il court à toute allure vers sa perte. Les réactions à l’épidémie qui touche toute la planète sont des signes grandioses et tragiques des maux qui l’abîment. Nombreux sont ceux qui voient ses incohérences et ses mensonges. Nombreux sont alors ceux qui, témoins de son naufrage, ne voient pas d’autres choix que de se retirer de la scène, cherchant à se mettre à l’abri avant que ne tombe le dernier acte, comme s’ils n’étaient pas des personnages du drame qui se joue. Nombreux sont aussi ceux qui recherchent des remèdes. Et certains d’entre eux s’évadent dans des pratiques bouddhiques[1], ne se souciant guère de la métaphysique qui les justifie, des mensonges et des contradictions qui rendent leurs échappatoires bien illusoires. D’autres vont plus encore. Ils se lancent dans des mouvements ou organisations qui prétendent transformer le monde et empêcher sa fin funeste. Nous pouvons en citer un : le New-Age. Celui-ci paraît bien ancien pour nous intéresser. Et pourtant, il est encore bien présent, et même plus fort que nous le croyons. Parfois, c’est dans le silence que l’ennemi étend ses filets jusqu’au moment où suffisamment confiant en ses forces, il se montre au grand jour tel qu’il est. C’est pourquoi nous allons nous intéresser à lui…

Le New Age, toujours d’actualité

« Le Nouvel Age est porté par une vague irrésistible. Beaucoup de gens l’enterrent en pensant que la mode est passé, que ce n’était qu’une étape. Ils ne se rendent pas compte que demeure un état d’esprit, une façon de penser. De nombreux individus, qui se récrieraient si on les classait parmi les adeptes du New Age, ont en réalité complètement assimilé son contenu. »[2] L’auteur de cette citation, le philosophe Michel Lacroix, n’est pas le seul à nous avertir de l’influence encore efficace du Nouvel Age. Il n’est pas en effet le seul à s’émouvoir de ses progrès dans notre société et à nous avertir de ses dangers. En 2003, le Vatican a publié un rapport provisoire sur le sujet[3]. Il nous prévient de l’attrait exercé par le New Age. Il continue à séduire nos contemporains, y compris des chrétiens, notamment au moyen de l’Internet. Auteur de nombreux ouvrages sur le New Age, Joseph-Marie Verlinde montre lui-aussi qu’il s’est bien installé dans notre société, en particulier dans des communautés chrétiennes en Amérique Latine. Les pages écrites en 2003 ou 2004 sont encore plus criantes de vérité dix ans plus tard. L’avancée paraît inexorable. En 2014, l’Église met en garde les communautés chrétiennes de l’influence importante d’un mouvement de religieuses, appelée Leadership Conference of Women Religious, qui professent des idées de New Age et les mêlent à la doctrine chrétienne. Enfin, de nos jours, le New Age semble s’affirmer dans de nombreux domaines, en particulier dans la santé et la musique.

Qu’est-ce que le New Age ?

Pour de nombreux connaisseurs, il est bien difficile de définir ce qu’est le New Age. Est-ce un mouvement, une organisation, une spiritualité, voire une religion ? Le terme englobe bien des réalités. Il peut apparaître comme « un vaste fourre-tout, une sorte de catalogue proposant tout et n’importe quoi : astrologie, channeling, kabbale, orientalisme, réincarnation, spiritisme, mais aussi des produits alimentaires, des thérapies et des stages pour apprendre à se relaxer ou à se surpasser. »[4] Le même auteur le définit comme « un mode de pensée », « une disposition d’esprit ». Le dictionnaire en ligne de Cambridge définit le New Age comme « un mode de vie et de pensée »[5].

Le Vatican parle de « religiosité », de « courant de pensée » ou encore de « structure syncrétique »[6], mettant davantage l’accent sur sa cohérence. Il semble alors qu’aucun terme n’est capable de désigner ce qu’il est. Il « n’est pas une religion mais il est quand même religieux ; n’est pas une philosophie mais il est quand même une vision de l’homme et du monde ainsi qu’une clé d’interprétation. Il n’est pas une science mais s’appuie sur des lois « scientifiques ». Il est une nébuleuse qui contient de l’ésotérisme et de l’occultisme, de la pensée mythique et magique au sujet des secrets de la vie. »[7]

Écoutons désormais ceux qui se disent adeptes du New-Age. Comment le désignent-ils ? Selon une étude[8], des « participants » le considèrent comme un produit, un ensemble de pratiques ou encore un outil sans adhésion aux idées qu’ils véhiculent. Les sympathisants parlent aussi de « nouvelle conscience », de « nouvelle spiritualité ». Dans un ouvrage considéré comme le manifeste du New Age, Marilyn Ferguson utilise l’expression de « nouvelle structure de pensée »[9].

Comme dans tout mouvement actuel, nous devons distinguer les adeptes d’une pratique et les véritables adhérents. Les premiers consomment des services et des produits qu’il offre sans se soucier des idées qui les fondent et leur véritable finalité. Ils sont intéressés par leurs effets sur leur bien-être, corporels ou psychiques. Les seconds, minoritaires, sont plus conscients de leur signification et de leur fondement. Ils adhèrent aux croyances qu’ils véhiculent. Mais nous n’ignorons pas non plus que nous vivons comme nous pensons et que nous pensons comme nous vivons. Quel que soit le niveau d’adhésion des consommateurs des produits de New Age, ils finiront par vivre selon l’esprit du New Age…

Les caractéristiques du New Age

S’il est bien difficile de désigner ce qu’est le New Age, il est possible de le caractériser par les croyances qu’il professe. Selon l’étude déjà évoqué, il y aurait deux types de New Age, l’un au sens propre, l’autre au sens plus large. 

Au sens propre, le New Age « consiste à croire qu’une ère nouvelle (l’ère du Verseau), va arriver et remplacer l’ère actuelle du Poisson, amenant paix et bonheur pour l’humanité. Cet avènement surviendra quand suffisamment de transformations individuelles auront été opérées, et se manifestera par une transformation de masse, de la « conscience universelle ». »[10] L’ère du Poisson fait évidemment penser au christianisme.

Au sens plus large, le New Age « est constitué de l’ensemble de pratiques, croyances et nouvelles spiritualités, toutes interconnectées selon de nouveaux modes d’organisation, et visant une transformation personnelle ou planétaire, qui sont apparus dans les années 1960. »[11] Il se caractérise alors par des valeurs (« écologique, féministe, optimisme planétaire », travail de l’énergie ») et par son organisation, non-hiérarchique, non-institutionnelle. L’idée de transformation personnelle est toujours présente. La finalité semble néanmoins différente. Il a en effet pour objectif de créer une nouvelle culture, une culture planétaire opposée à la culture contemporaine. Il propose une « contreculture ». Mais, l’idée n’est pas très éloignée de celle d’une transformation de la conscience individuelle pour une nouvelle conscience planétaire.

Dans les deux cas, le New Age veut modifier la vision que nous pouvons avoir du monde. Cette vision est globale puisqu’elle prend en compte tous les aspects de la société et du monde. Elle est en effet spirituelle, politique, économique, environnementale, éducative, médicale, etc. Elle prend aussi en compte l’homme dans sa totalité, corps et âme. La transformation individuelle, humaine, sociale ou planétaire, est donc radicale par sa dimension et sa profondeur.

C’est un changement appliqué à notre façon de penser et de vivre, changement marqué par le rejet total des valeurs de la société actuelle. L’ère du Verseau ou la nouvelle culture désignent une nouvelle vision du monde qui remplace celle qui domine actuellement les hommes, la société et le monde. « Il s’agit véritablement d’une révolution. »[12] Dans son ouvrage, Marilyn Ferguson appelle à « un nouveau paradigme »[13].

Le changement de paradigme

Le terme de « paradigme » provient de deux mots grecs « para » et « deigma »[14], « deignumi » signifiant « montrer ». Au XVIe siècle, il désigne le « modèle » des formes que peut prendre un mot, comme un modèle d’une déclinaison, d’une conjugaison[15]. Au XIXe siècle, son sens s’élargit pour désigner le type ou l’archétype d’une chose ou d’une valeur.

Thomas Kuhn introduit le terme de « paradigme » dans sa philosophie des sciences dans son ouvrage La structure des révolutions scientifiques (1982) pour désigner aussi bien un cadre dans lequel sont définis les problèmes et les méthodes scientifiques mais aussi les concepts fondamentaux, les modèles et les valeurs en usage dans les sciences. Comme le défend Kuhn, le paradigme a une fonction normative qui façonne la vie scientifique pendant un temps. Il est un modèle à suivre pour la communauté scientifique dans ses recherches et son enseignement. Or les paradigmes se succèdent.  Le paradigme de Ptolémée a été remplacé par celui de Copernic, lui-même par celui de Newton et enfin par celui d’Einstein. Or « le passage au nouveau paradigme est une révolution scientifique. » Le changement se produit lorsque le paradigme rencontre des anomalies, des difficultés qui finissent par générer une crise au sein de la communauté scientifique. Le changement de paradigme aboutit alors à des « révolutions dans la vision du monde ». Ce n’est pas le monde qui change mais bien l’homme de science qui « travaille désormais dans un monde différent ».

De nos jours, le terme de « paradigme » s’est considérablement élargi, dépassant le domaine de la vie scientifique. Il est entendu comme un modèle de représentation normatif de la société, du monde, de la vie, c’est-à-dire un ensemble de croyances, valeurs, techniques, etc. qui influencent la façon dont un individu perçoit la réalité et réagit à cette perception. Selon la théorie de Kuhn appliquée à la vie, un changement de paradigme modifie l’individu. Enfin, les paradigmes ne peuvent coexister.

Ferguson désigne ainsi le New Age comme un nouveau paradigme, le contenu d’une « nouvelle structure de pensée » qui doit modifier tous les schémas en cours et aboutir à de nouveaux états de conscience puis à transformer les relations humaines et les rapports entre les hommes et le monde. Le terme n’est pas employé par hasard. Il se rapporte à la philosophie de la science  que nous venons d’évoquer. Ferguson veut ainsi montrer que le New Age entre dans le cadre de l’histoire des sciences. En effet, le nouveau paradigme porte sur l’évolutionnisme. « Le nouveau paradigme attribue cette évolution à des sauts périodiques effectuées par de petits groupes. »[16] Au sens propre ou large, le New Age professe en effet l’idée que la transformation locale qu’il soit économique, social ou spirituel engendre une transformation globale selon une théorie évolutionniste. Ainsi, selon Ferguson et d’autres auteurs, le New Age est considéré comme le « nouveau paradigme » introduit par la science contemporaine.

Et comme le prétendent les théories évolutionnistes, qu’elle touche la conscience ou la culture, la transformation est aussi perçue comme inéluctable ou dit autrement « naturel ». Il ne s’agit pas en effet de l’élaborer mais plutôt d’anticiper ou d’y participer.

Quelques éléments du New Age

Au sens propre ou général du New Age, l’idée essentielle qu’il défend est la capacité naturelle de chacun de régénérer la société, considérée comme décadente, en se transformant d’abord. Le monde peut évoluer de manière radicale à partir de soi. Mais pour se transformer, faut-il d’abord se connaître. C’est ainsi que le New Age propose différentes pratiques pour une meilleure connaissance de soi, pour son développement et un changement personnel. Nous pouvons citer par exemple le gestalt, le training mental, la relaxation ou la méditation, le massage, etc. Le changement n’est pas uniquement affectif ou corporel. Il doit aussi toucher la vie professionnelle, la famille, les relations avec autrui. Tout l’individu doit évoluer.

Le New Age puise aussi dans l’ésotérisme d’origine occidental et oriental. Il s’inspire de pratiques anciennes qu’il remet au goût du jour comme l’astrologie, la numérologie, la voyance, le magnétisme, etc. Il utilise aussi tout un univers symbolique de religions anciennes comme le druidisme ou le catharisme. C’est ainsi qu’il apparaît comme une continuité d’un phénomène bien ancien qu’est celui de l’ésotérisme occidental, marqué notamment par une fascination de l’Orient.

Le New Age est aussi attiré par le christianisme qu’il réinterprète tout en le combattant, niant notamment l’historicité de Notre Seigneur Jésus-Christ. Il puise leurs idées dans les écrits gnostiques hérétiques des premiers siècles[17]. La gnose est au sens général une forme de connaissance, visionnaire ou mystique, qui est révélée et qui permet à l’homme d’accéder à un mystère divin. C’est ainsi que le New Age est parfois considéré comme le renouveau du gnosticisme, comme un néo-gnosticisme.

Le New Age en appelle au retour à la nature. Il défend des idées écologiques, voire panthéistes, et utilise des moyens naturels pour se maintenir en bonne santé ou pour se soigner comme la médecine douce, les produits biologiques, le massage ou encore la musique. Il développe de nouvelles thérapies et diététiques. Ces pratiques semblent faire croire à une connaissance des pouvoirs de la nature et de l’homme ainsi qu’à leur utilisation pour le bien et la transformation de soi.

Enfin, le New Age sait parfaitement utiliser les moyens de communication actuels pour se diffuser, usant de tous les artifices du marketing. L’Internet semble même répondre à ses objectifs par les liens qui relient les individus et l’impact que l’un d’entre eux peut avoir sur le monde. Les relations virtuelles deviennent celles qui relient les consciences entre elles. La musique et le cinéma sont aussi de bons moyens de prosélytisme. Le New Age porte un vif intérêt à tout ce qui touche la communication entre les hommes.

Conclusions

La difficulté de donner un nom au New Age est symptomatique. Il regroupe en effet, sous un même terme, un ensemble d’idées, de pratiques d’origine ancienne ou récente, si éclectiques qu’il est bien ardu de le désigner simplement par un mot. Il peut être à la fois philosophie, religiosité, spiritualité, idéologie. Il est mouvement, mode de vie ou encore état d’esprit. Il s’intéresse au corps, à la médecine, à la psychologie, aux différentes thérapies. Il utilise l’ésotérisme comme la science. L’environnement et l’écologie sont aussi ses thèmes de prédilection. Cet éclectisme explique sans-doute l’attrait qu’il exerce à l’égard de nos contemporains. Et ses domaines favoris sont au centre de l’actualité…

L’éclectisme est donc une caractéristique majeure du New Age. Tout l’intéresse et tout lui est utile puisqu’il se présente comme un alternatif à la société actuelle, à l’état d’esprit qui y règne, à la culture contemporaine. Rien ne lui échappe dans l’homme et dans le monde. Il développe ainsi une pensée dite holiste. Le New Age intègre en fait la totalité de l’humanité et cherche à faire prendre conscience à l’homme qu’il appartient à cette totalité. Les différentes techniques qu’il offre ont en effet pour objectif d’atteindre ce niveau supérieur de la perception de la réalité et d’élargir la conscience humaine bien au-delà de ses limites actuelles.

Le New Age est convaincu d’une évolution de l’homme, une évolution inéluctable qu’il veut anticiper. Il s’appuie ainsi fortement sur les théories évolutionnistes. Une idée forte anime tout l’ensemble : l’homme doit nécessairement atteindre une nouvelle phase dans son évolution, l’âge du Verseau, marqué par une plus grande conscience. Nous ne sommes pas éloignés de ce que pensait l’apôtre de l’évolution créatrice, Teilhard de Chardin[18].

Pour parvenir à cette évolution inéluctable, le New Age suit un mode d’action très particulier. Convaincu que c’est par la multiplication des transformations individuelle que l’humanité, c’est-à-dire l’homme, pourra se transformer dans sa totalité, le New Age utilise tout un ensemble de moyens pour parvenir à ce changement radical de l’individu.

Enfin, le New Age est fondamentalement opposé à la société actuelle et à l’esprit qui l’anime, à tout ce qui a été, au niveau politique, religieux, social, etc.

Après cet aperçu du New Age, nous pouvons comprendre tout le danger qu’il présente non seulement pour le chrétien mais aussi pour l’homme et la société.

 

 

Notes et références

[1] Voir Émeraude, décembre, article « Le Bouddhisme occidental selon différentes études : encore le culte du bien-être mais selon une voie différente du commun ». Voir les autres articles du mois de novembre pour comprendre ce qu’est le bouddhisme occidental.

[2] Michel Lacroix, Une mise en garde bienvenue dans Actualité des Religions, n°48, avril 2003.

[3] Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le « Nouvel Age », 3 février 2003, vatican.va.

[4] Michel Lacroix, Une mise en garde bienvenue, dans Actualité des Religions, n°43, 2003.

[5] Dictionary.cambridge.org, article New Age, tiré du Dictionnaire Cambridge Advanced Learner’s & Thesauris, 17 novembre 2020.

[6] Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le « Nouvel Age ».

[7] Cardinal G. Daneels, Le Christ ou le verseau ?, Presses de l’archevêché, Mechelen, 1991 dans Regard chrétien sur le Nouvel Age (1/5), Père Joseph-Marie, 5 octobre 2014, fsj.fr.

[8] Elsa Bishop, Le New Age aux États-Unis. 1980 à 2000, thèse de doctorat d’études anglophones, présentée le 18 juin 2007, Université Lumière Lyon 2, thes.univ-lyon2.fr.

[9] Marilyn Ferguson, Les enfants du Verseau. Pour un nouveau paradigme, Calmann-Lévy, 1980. Titre original : The Aquarian Conspiracy, trad. de l’américain par Guy Beney dans Ferguson (Marilyn) les Enfants du Verseau. Pour un nouveau paradigme, Danièle Hervieu-Léger, archives de sciences sociales des religions, n°53/2, 1982, www.persee.fr.

[10] Elsa Bishop, Le New Age aux États-Unis. 1980 à 2000.

[11] Elsa Bishop, Le New Age aux États-Unis. 1980 à 2000.

[12] Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le « Nouvel Age ».

[13] Le titre de son ouvrage est assez évocateur : Les enfants du Verseau. Pour un nouveau paradigme.

[14] Larousse, Dictionnaire étymologique et historique du français, 1994.

[15] La conjugaison d’« aimer » est par exemple le paradigme des verbes du premier groupe. Le tableau de déclinaison latine « rosa, rosam, rosae, etc. » est le paradigme des mots de la première déclinaison latine.

[16] Daniel Hervieu-Léger, Ferguson (Marilyn) les Enfants du Verseau. Pour un nouveau paradigme.

[17] Voir Émeraude, juin 2013, « Le gnosticisme au IIème siècle, une hérésie de la connaissance ».

[18] Voir Émeraude, mai 2013, article « Teilhard et la Création continue ».

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