" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


samedi 1 décembre 2018

Université de Paris [2] : une ambition démesurée,



Le savoir est dangereux. Proche de la lumière, le savant risque de se brûler et de sombrer dans de folles ambitions. Fort dans son domaine, il pense être seul détenteur de la vérité au point de s’identifier à elle. Or la lueur d’une bougie, aussi forte soit-elle, ne montre que l’étendue de l’obscurité. La connaissance enfle l’orgueil, nous dit la Parole divine. Nous nous souvenons encore de la célèbre citation de Rabelais : science sans conscience n’est que ruine de l’âme. L’Université de Paris du XVe est-elle à son tour victime de folles prétentions ?

Au XVe siècle, l’Université de Paris ne brille plus autant qu’auparavant. Son enseignement n’est plus aussi éclatant et incontestable. L’occamisme l’a profondément infecté. Certes, elle est écoutée par les princes mais est-ce cela son véritable rôle ? Ne revendique-t-elle pas un rôle politique et religieux plus déterminant comme le réclame son chancelier, Jean Gerson ? Le Grand Schisme est sans aucune doute l’occasion pour elle de jouer ce rôle…

L’Université de Paris, un acteur turbulent dans le Grand Schisme de l’Occident

L’Université de Paris prend en effet un rôle important dans la résolution du schisme. Elle y révèle toute sa puissance et sa notoriété. Elle s’illustre par ses membres. Nombreux sont en effet les acteurs de cette histoire qui appartiennent à cette institution. Nous comptons dans ses rangs ses chanceliers que sont le cardinal Pierre d’Ailly et son disciple plus connue Jean Gerson. Ils influencent les décisions du concile de Constance. Nous pouvons aussi citer le canoniste Konrad de Gelnhausen dont la lettre Epistola concordiae aura de grandes répercutions, ou encore Henri de Langestein. Il est impossible de ne pas les rencontrer lorsque nous voulons évoquer le Grand Schisme. L’Université de Paris est un acteur incontournable dans cette tragédie…

Contrairement à ce que nous pourrions croire, au début du Grand Schisme, l’Université de Paris n’est guère partisan de la politique royale. Elle se montre peu encline à suivre les clémentistes, c’est-à-dire les fidèles du « pape d’Avignon », Clément VII. Elle affirme ainsi nettement sa volonté d’indépendance. Contrairement au roi de France, elle ne semble guère apprécier la révolte des cardinaux clémentistes et demeure favorable au « pape de Rome », Urbain VI, au point que le roi Charles V doit intervenir pour qu’elle change de position. Certes, elle doit se plier devant les injonctions du roi mais seule une partie des professeurs gagne le camp avignonnais. Sous la régence du prince Louis d’Anjou, les autres membres font l’objet de méfiance, voire de persécutions de la part de la cour royale.

L’Université de Paris en appelle au roi pour faire cesser le schisme

L’Université de Paris ne s’annonce pas vaincue mais elle a changé de position. Elle a choisi la solution du concile pour faire cesser le schisme. Sa position est contraire à celle du roi. En 1381, le théologien Jean Ronce la défend au cours d’une audience royale au nom de l’Université, réclamant un concile général. La réponse du roi est immédiate : il est mis au cachot. Libéré sur la demande pressante de l’Université de Paris, il la quitte avec d’autres docteurs pour rejoindre Urbain VI. La même année, contre l’opinion de la cour royale, le théologien Henri de Langestein, alors vice-chancelier de l’Université, écrit son traité Consilium pacis pour démontrer la nécessité de convoquer un concile général.

Jean Gerson



Dix ans plus tard, avec de nouveaux maîtres, l’Université de Paris reprend la bataille. En 1391, Jean Gerson plaide la cause de l’Université devant le roi Charles VI et lui demande de tout mettre en œuvre pour faire cesser le Grand Schisme. Son discours est éloquent. Le roi est comparé à Charlemagne, à Judas Macchabées, à Saint Louis ! Mais ses exhortations sont vaines. En 1394, une deuxième députation est de nouveau envoyée auprès du roi pour qu’il s’emploie à mettre fin au schisme, rappelant son titre de roi très chrétien. Mais la position de l’Université de Paris a sensiblement évolué. Au cours de cette plaidoirie, la voie de cession est en effet présentée comme la première solution. La solution conciliaire ne serait jouée qu’en cas d’échec de cette dernière. La réponse du roi est sans équivoque. « Ce schisme effroyable n'a déjà que trop duré pour le déshonneur du roi et de sa maison. Aussi, si vous connaissez un bon moyen de le faire cesser, il sera sans hésitation mis en pratique. »[1] Mais, sans-doute pressé par Clément VII qui ne supporte guère les démarches de l’Université de Paris, le roi ne veut point s’en occuper et lui demande même de ne plus s’y intéresser. C’est un terrible camouflet pour l’Université

Pourtant, l’Université de Paris ne se tait pas. Elle persiste. Un de ses théologiens accuse Clément VII et ses négligences, et demande que cesse le scandale. Mais de manière paradoxale, il rappelle que les rois n’ont pas à s’occuper directement de l’œuvre de l’union. Nous sommes bien loin du sermon de Gerson qui voyait le roi de France comme un nouveau Charlemagne, prenant son épée pour ramener la paix et l’unité dans l’Église ! Seule la faculté de droit respecte l’ordre de Charles VI. L’Université ne parle plus d’une seule voix

Lors d’une nouvelle audience, au mois de janvier 1394, le maître en théologie Étienne de Chaumont expose encore la situation pitoyable de l’Église et le rôle que doit assumer le roi très chrétien. Le duc de Berry ne peut que lui répondre. « La durée excessive de ce schisme exécrable est une honte pour le roi et pour la maison de France. Tout le monde en est las. Si vous trouvez un remède qui agrée au Conseil, nous l'adopterons sur l'heure. »[2] L’Université de Paris se met alors activement à œuvrer pour l’union. Elle prend de nouveau l’initiative.

L’Université de Paris, rôle majeur et porteuse de solutions

Charles VII
Le 25 janvier 1394, l’Université de Paris annonce publiquement qu’elle recueillera tout conseil permettant de résoudre le schisme. Un tronc est alors installé dans le cloître des Mathurins pour recevoir des notes et des mémoires. C’est à partir de ces propositions qu’une commission définit les trois voies possibles[3] : compromis, cession ou concile. Dans le couvent des Bernardins, l’Université assemblée, réunissant plus de quatre cents maîtres, approuve des propositions qui doivent conduire à l’œuvre de l’union par l’une de ses trois voies.

Mais le roi n’est plus attentif à ses paroles. L’Université de Paris ne parvient plus de nouveau à se faire entendre. Le duc de Berry, l’aîné des oncles du roi, refuse de recevoir ses envoyés qui veulent plaider pour la cause de l’union. Il refuse d’entendre parler de la démission de Clément VII. Mais le 6 juin 1394, protégée par le duc de Bourgogne, elle peut s’exprimer par son représentant Guillaume Barraut en audience royale et finalement elle s’impose.

L’Université de Paris présente à Charles VII les trois principales voies avec leurs inconvénients pour ramener l’unité de l’Église. Il présente la double cession comme la voie que privilégie l’Université. Le roi est attentif à leurs paroles. Le maître lui brandit la menace de ne voir jamais cesser le Grand Schisme. Certains de ses membres vont même déclarer que les « papes » peuvent être hérétiques en persévérant dans le schisme.

En cas d’échec de la voie de cession, l’Université propose la convocation d’un concile. Elle propose déjà d’y faire siéger des docteurs en droit et en théologie auprès des prélats. Puis reprenant les thèses de Conrad de Gelnhausen et d’Henri de Langestein[4], elle défend l’idée de la supériorité du concile sur l’autorité du pape puisqu’il tire son pouvoir directement de Dieu et du consentement des fidèles. En cas de désobéissance des deux « papes », elle demande de les traiter comme « des loups dévorants » et de les destituer. Ce discours contient ainsi tout ce qui sera finalement accepté à au « concile de Pise » et au concile de Constance. La solution qui mettra fin au schisme est déjà dessinée par l’Université de Paris. Enfin, face à une telle situation, Guillaume Barraut supplie le roi d’agir.

Mais, plus tard, l’Université apprend que le roi ne veut point s’occuper de cette affaire et lui demande même de cesser de s’en occuper… Pour la troisième fois, elle est écartée… Le Conseil du roi et l’Université sont donc encore en désaccord…

L’Université, adversaire des « papes »

L’Université de Paris est surtout de plus en plus sévère à l’égard des « papes ». Sous forme de questions hardies et implicites, elle expose lors d’une assemblée du clergé des propositions pour les forcer à abdiquer. Sa sévérité atteint aussi tous ceux qui ne veulent travailler à l’union, n’hésitant pas à les traiter d’hérétiques comme le déclare Gilles des Champs en son nom lors d’un discours en 1393. Dans le discours de Guillaume Barraut, l’Université de Paris met les deux « papes » dans la même réprobation. Leur attitude est vivement critiquée. Elle n’hésite pas à remettre en cause la légitimité de Clément VII. Elle défend en fait l’impossibilité de définir qui est le véritable pape. Par conséquent, il est inutile de vouloir trouver la vérité. L’œuvre d’union passe donc par la recherche d’une solution la plus efficace pour faire cesser le scandale. Les paroles sont dures, acerbes, menaçantes pour les deux « papes ». Les propositions sont hasardeuses. L’Université de Paris se présente véritablement comme leur adversaire. En outre, l’Université s’oppose fermement à la politique fiscale du « pape d’Avignon », qui remet en cause ses privilèges. Dans ces conditions, il est bien difficile d’arriver à des compromis.

La cour royale s’inquiète de l’attitude de l’Université et des idées hardies de ses docteurs. Le « pape » Clément VII s’en inquiète vivement. Après avoir entendu le même discours, Piero de Luna, le futur Benoît XIII, demande de ne plus utiliser un tel langage à l’égard de l’autorité pontificale.

La victoire de l’Université ?
Lit de justice de Charles VII de France

Plus tard, le 1er février 1395, au nom de l’Université de Paris, Pierre d’Ailly recommande encore instamment au roi la voie de cession. Il est entendu. Le lendemain, réuni en assemblée, où le tiers des membres représentent l’Université de Paris, le clergé lui propose aussi cette solution. Et toujours sous les conseils de l’Université, le roi envoie des ambassadeurs dans les cours étrangères pour que les chefs d’État adhèrent aussi à cette solution. Elle-même y envoie des députés. L’Université remporte enfin une belle victoire mais est-elle véritablement la cause de ce changement du roi ? Car le véritable vainqueur est Simon de Cramaud, patriarche d’Alexandrie. Il cherche à libérer le clergé du royaume de la tutelle du pape. Il se forme ainsi une sorte d’alliance entre les maîtres universitaires et les partisans du « gallicanisme ». Retenons aussi que ces alliés n’hésitent pas à parler au nom de l’Église.

Ainsi des ambassadeurs sont envoyés à Avignon pour proposer la voie de cession au « pape ». Mais celui-ci, sans s’y opposer, sursoit à leur demande et fait appel auprès de l’Université d’Avignon, belle façon en fait de montrer que l’Université de Paris n’est pas la seule qui compte. On n’hésite pas non plus à la critiquer vivement. En effet, depuis le XIVe siècle, d’autres universités ont été fondées et remettent en cause le monopole de leurs aînées. Devant cet échec, l’Université raidit sa position.

Une Université de Paris divisée

Cependant rapidement, l’Université de Paris se divise sur l’attitude à prendre face à l’obstination du « pape d’Avignon ». Doit-elle suivre la soustraction d’obédience puis plus tard l’abandonner ? La division éclate lors d’un concile national, tenu en novembre 1406. Le recteur de l’Université de Paris y occupe une place d’honneur avec le patriarche d’Alexandrie. Dans les solennités publiques, il a le pas sur l’évêque de Paris. Lors des débats, elle fait l’objet de louange de la part du patriarche. L’objet de ce concile est de définit la position du clergé sur l’attitude de Benoît XIII. Faut-il de nouveau abandonner son obédience ? L’Université condamne le « pape d’Avignon » et défend l’abandon.

Or un de ses membres, et pas le moindre, Mgr Pierre d’Ailly[5], défend Benoît XIII et s’oppose à l’Université, critiquant l’arrogance de certains de ses membres. Il s’étonne, par ailleurs, de voir présente toute l’Université, et pas uniquement les théologiens. Il remet ainsi en cause son rôle dans de cette affaire alors qu’elle devrait intéresser que les théologiens. Serait-elle incompétente et illégitime pour y intervenir ? En outre, Pierre d’Ailly oppose les théologiens aux autres détenteurs de savoir, que sont les canonistes et les maîtres ès-arts. Ceux-ci revendiquent aussi un certain rôle dans le gouvernement de l’Église. Nous retrouvons ainsi l’opposition qui existe déjà au sein de l’Université de Paris avant même le Grand Schisme. Enfin, il déclare que de nombreux théologiens universitaires s’opposent aussi à l’abandon d’obédience. Mécontente de son discours, l’Université de Paris refuse de le reconnaître comme un de ses membres. Puis en 1407, elle persiste dans son attitude. Elle recommande au roi de renouveler la soustraction d’obédience et prouve que Benoît XIII est un hérétique.

Le raidissement de l’Université

Pierre d'Ailly
Et plus le schisme s’aggrave, plus l’Université se raidit dans l’affaire, parfois de manière passionnée. Quand Benoît XIII réagit à la position de neutralité du roi de France et diffuse sa bulle d’excommunication, l’Université de Paris engage des poursuites contre les porteurs de cette bulle ainsi qu’aux proches de Benoît XIII. Quand l’archevêque de Reims s’oppose à la décision de neutralité et invite les prélats à participer au concile convoqué par « le pape d’Avignon », il est cité à comparaître à la demande de l’Université de Paris devant un « concile national » tenu en août 1408.

L’Université demeure un fervent adversaire du « pape d’Avignon ». Au « concile de Pise », le maître Pierre Plaoul veut démontrer que l’Église est au-dessus du pape et que d’après le sentiment très catégorique de l’Université de Pape, le « pape d’Avignon » est un schismatique et un hérétique. Il est donc exclu de toute dignité pontificale.
Elle s’oppose de plus en plus au pouvoir pontificale en lui-même. Au concile de Constance, en tant que mandataire de la députation française, Gerson définit les relations entre le concile et le Pape. Sa thèse est simple : sans avoir de pouvoir de détruire la puissance pontificale, le concile a le droit d’en limiter son exercice pour le bien de l’Église et aussi de se réunir sans convocation du pape. D’autres députés de l’Université vont encore plus loin contre le pouvoir pontifical. Qui peut s’opposer à leur autorité ? Dans le procès contre Hus, Pierre d’Ailly, alors cardinal, n’hésite pas à déclarer « le chancelier de l'université de Paris », « le théologien le plus illustre de tout l'univers chrétien. »

La déclaration de Pierre d’Ailly est caractéristique. Rappelons qu’il a défendu et obtenu le droit de vote des docteurs au concile de Concile contrairement aux usages[6]. Sous quel prétexte ? Car un docteur vaut mieux qu’un prélat ignorant. Ainsi, les docteurs ont pu influencer dans les décisions du concile. Or n’oublions pas qu’à cette époque, le nominalisme, voire l’occamisme, domine la pensée universitaire. C’est donc la philosophie et l’opinion dominante de l’Université de Paris qui influencent les décisions conciliaires.

Conclusions

Les faits que nous venons d’évoquer illustrent suffisamment les prétentions de l’Université de Paris mais aussi son impuissance et ses faiblesses. Certes, elle cherche à mettre fin au scandale du schisme mais elle n’est guère écoutée par les rois ou les « papes » en dépit de la qualité des maîtres qui parlent en son nom. Sans l’appui d’un prince ou d’une forte autorité, elle ne peut guère agir. Elle joue probablement de la rivalité qui règne au sommet du royaume. En outre, profondément divisée, elle ne forme plus guère un seul corps. Enfin, concurrencée par d’autres Universités, elle ne s’impose plus si facilement. Ainsi doit-elle s’appuyer sur d’autres forces pour vouloir jouer un rôle dans la Chrétienté. Contrairement à ce que nous pourrions penser, le Grand Schisme marque finalement sa décadence. Le concile de Bâle manifestera encore plus son orgueil et son impuissance. Le fossé qui existe entre ses folles prétentions et la réalité est telle qu’il aboutira finalement aux critiques acerbes du XVIe siècle, qui remettront dangereusement en cause le savoir et donc les capacités de la raison elle-même.

Pourtant, en dépit de son impuissance, l’Université de Paris persiste à vouloir s’imposer en raison de l’excellence de son enseignement. Si au départ elle en appelle au roi, elle finit par vouloir agir seule. Et devant l’obstination du « pape d’Avignon », son discours se radicalise. Elle n’hésite plus à demander fermement la désobéissance à son égard et la solution conciliaire. Elle finit par endosser le rôle de juge. Elle finit aussi par imposer le conciliarisme. Le savoir et l’éloquence des maîtres sont déterminants au concile de Constance. Or laboratoire de pensées, elle défend surtout des opinions, des doctrines, en particulier l’occamisme au XVe siècle, qu’elle prétend être la vérité même. Tout le danger est là. Certes, elle a le devoir de conseiller et d’éclairer mais son rôle se limite à cela. Elle n’a pas pour vocation de gouverner l’Église, d’anathématiser ses adversaires ou encore d’imposer sa conception corporatiste. Le conciliarisme est l’exemple même d’un abus de pouvoir de certains théologiens et plus généralement de certains docteurs. La connaissance enfle l’orgueil… Et aussi brillante soit-elle, l’Université de Paris peut-elle parler au nom de l’Église, voire du Saint Esprit ? Notre Seigneur Jésus-Christ n’a-t-il pas choisi les plus faibles pour défendre son enseignement ? La force de l’Église ne réside pas dans les têtes bien faites.



Notes et références
[1] Charles VI, dans Histoire des Conciles d’après les documents originaux, Mgr Charles-Joseph Héfélé, livre 43, chap. I, §715, trad. de l’allemand par l’abbé Delarc, tome X, 1874.
[2] Cité par Noël Valois dans La France et le grand schisme d'Occident, tome 2, chap. III, VI, 1896-1902, Gallica
[3] Voir Émeraude, septembre 2018, article "Le Grand Schisme d'Occident, un événement pour l'Église [3], une crise qui perdure".
[4] Voir Émeraude, octobre 2018, article "Le conciliarisme, absolu ou contextuel, développement jusqu'au concile de Constance [2]"
[5] Voir Émeraude, octobre 2018, article "Conciliarisme : le cardinal d'Ailly et le Concile de Constance".
[6] Voir Émeraude, septembre 2018, article "Le Grand Schisme d'Occident, un événement pour l'Église (3), une crise qui perdure".

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