" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


vendredi 18 décembre 2015

Bultmann et démythologisation

Forts de leurs connaissances, les beaux penseurs du XIXe siècle ont fait une découverte sensationnelle : les récits fabuleux des Évangiles ne seraient que des mythes. Ils ne seraient plus précisément que la formulation ou l’expression de la foi ou encore ses conséquences, et non des faits historiques. Pour atteindre alors le sens véritable du texte, il faudrait dépasser cette confession de la foi. Ils en concluent que le « Jésus de la foi », c’est-à-dire celui que nous croyons, n’est pas le « Jésus de l’histoire ». Finalement, on conteste toute vérité historique dans le Nouveau Testament et dans l’enseignement de l’Église sans cependant renier l’existence de Notre Seigneur Jésus-Christ. Le XXe siècle hérite de cette séparation entre l’histoire et la foi.

Rudolf Bultmann (1884-1976)

Au XIXe et au début du XXe siècle, on oppose l’histoire et la foi, qu’on a rendu inconciliables. Le théologien protestant Rudolf Bultmann (1884-1976) tente de répondre à la problématique ou plutôt il la supprime. Qu’importent les faits historiques, seule compte la foi. Il part de l’hypothèse que nous ne pouvons presque rien connaître de l’histoire de Notre Seigneur Jésus-Christ, sinon qu’Il a existé, qu’Il est mort et qu’Il est à l’origine du christianisme. Cette méconnaissance historique est cependant sans gravité. Car selon Bultmann, « ce qui compte ce n’est pas le Christ selon la chair mais Jésus-Christ, le Christ prêché qui est le Seigneur et dont la Parole m’interpelle dans l’aujourd’hui de mon existence. » La vérité réside dans la réalité vécue du chrétien. Pour extraire du sens dans l’Ancien Testament en relation avec l’existence présente, il prône la « démythologisation » du récit évangélique.

Fils de pasteur luthérien, Rudolf Bultmann est considéré comme « un des plus grands théologiens du XXe siècle »[1], selon Wikipédia. Disciple d’Heidegger, il applique la phénoménologie et l’existentialisme à la méthode historico-critique. Il conçoit ainsi l’« interprétation existentiale » : la lecture d’un texte doit appeler à une meilleure compréhension de soi

Bultmann a exposé ses théories exégétiques dans de nombreux ouvrages dont Manifeste de la démythologisation (1941) et Jésus : mythologie et démythologisation. Une de ses conférences, tenue en 1941, a donné lieu à un livre intitulé Nouveau Testament et mythologie. Le philosophe protestant Paul Ricoeur (1913-2005) est l’un de ceux qui ont vulgarisé sa pensée en France.

Le Jésus historique inaccessible et inutile

Selon Bultmann, les récits évangéliques représentent ce que les premières communautés chrétiennes ont cru et vécu. Ils sont le reflet de leur expérience de la foi ou encore l’écho des croyances des premières communautés. « Jésus » tel qu’on l’entend peut être considéré comme une abréviation ou un résumé de leur croyance. Les Évangiles ne sont donc pas des récits historiques comme nous l’entendons classiquement. Ils ne sont ni impartiaux ni objectifs. Le Nouveau Testament ne nous permet pas alors d’accéder à la vérité historique. Elle est inaccessible…

Par conséquent, il est inutile de vouloir y rechercher Notre Seigneur Jésus-Christ selon la chair. On ne peut rien connaître de Lui. « « Il n’y a pas à poser la question de son origine historique (du Christ), mais sa véritable signification commence seulement à apparaître si précisément l’on ne se préoccupe plus de pareilles questions. » Ne pouvant accéder à la réalité historique de Notre Seigneur Jésus-Christ, Bultmann refuse donc de la prendre en considération.

La connaissance de Jésus historique n’aurait en outre aucune importance pour notre foi et pour la théologie. Bultmann en donne deux raisons. Le « Jésus historique » et son enseignement appartiennent au temps de l’ancienne Alliance. « La nouvelle alliance ne commence que dans la foi à la véritable signification de la Croix et dans l’attestation que cette foi se donne, c’est-à-dire dans le kérygme. »[2] Le kérygme suffit pour la foi. 
La seconde raison est de voir dans ce « Jésus historique » une justification de l’adhésion au message. Or selon Bultmann, la foi ne s’appuie que sur Dieu en renonçant à toute caution objectivante. Une volonté apologétique qui s‘appuie sur une recherche historique est alors « théologiquement stérile ». Il faut laisser la Parole de Dieu nous interpeller aujourd’hui.

Cependant, le Nouveau Testament n’est pas inutile. Il faut en fait se concentrer sur la signification des textes sacrés en relation avec notre existence, sur le kérygme.

L’enseignement et le fait d’enseigner

Le terme de kérygme signifie « proclamation ». Il vient de la racine grecque « kérux » qui désigne le héraut, c’est-à-dire la personne chargée de faire une proclamation. Au sens où Bultmann utilise le mot, le kérygme « parle de l’agir de Dieu dans l’homme Jésus de Nazareth ». Il est par conséquent « la Parole de Dieu qui s’adresse à nous, une Parole qui questionne et qui promet, qui juge et qui fait grâce ».[3] Le kérygme n’est pas l’enseignement de Notre Seigneur Jésus-Christ ou le message que nous transmet l’Église.

Bultmann distingue en fait deux choses : le « was » et le « dass ». Le « was » est ce qu’il dit, c’est-à-dire la parole ou le message proprement dits. Le « dass » est le fait qu’il le dise, l’acte de transmettre le message. « […] Qu’il le dise, qu’il le dise maintenant, voilà qui est décisif. »[4] L’essentiel ne réside pas dans l’enseignement de Notre Seigneur Jésus-Christ, c’est-à-dire dans le contenu de ses paroles, mais dans la pure gratuité de l’événement qui agit encore dans notre existence. La Parole de Dieu est essentielle non en ce qu’elle révèle mais du fait qu’elle se révèle aujourd’hui. Bultmann montre par des exemples sur les écrits de Saint Paul et de Saint Jean que seul le « dass » est important. Même les autres évangélistes n’auraient pas eu l’intention d’affirmer le Jésus historique. Ils ne seraient que les témoins de la foi post-pascale.


Bultmann s’inspire d’Heidegger. Selon ce philosophe, l’étant a l’être quand ce dernier obtient du sens. Or, toujours selon Heidegger, un être n’a pas de sens tant qu’une parole humaine ne lui donne sens. Finalement, l’être n’est que le sens introduit par le « dasein ». L’être « Christ » n’a de sens que par la parole de la communauté primitive face à l’ « étant Jésus ». La parole est donc plus importante que la personne qui en est l’occasion.

Mais la parole qui donne sens utilise nécessairement des représentations propres à ceux qui l’emploient et l’écoutent. Pour accéder à la Parole de Dieu, il faut donc aller au-delà de cette représentation. Or l’homme moderne ne comprend plus le langage utilisé dans les Évangiles. Les représentations employées sont devenus inaudibles.

Le Nouveau Testament, un mythe

Pour Bultmann, le mythe est essentiellement un mode de représentation du langage religieux, un mode influencé par les conceptions du monde en vigueur au moment de sa construction. « Est mythique le mode de représentation dans lequel ce qui n’est pas du monde, le divin, apparaît comme étant du monde, comme humain, l’au-delà comme un ici-bas, selon lequel par exemple la transcendance de Dieu est pensée comme un éloignement spatial ; un mode de représentation en vertu duquel le culte est compris comme une action communiquant par des moyens matériels avec des forces qui ne sont pas matérielles. Il ne s’agit pas du mythe au sens moderne du mot, où celui-ci ne signifie rien de plus qu’idéologie. »[5]

Les récits évangéliques sont notamment influencés par des conceptions d’un monde habité par les esprits et soumis à Dieu. Or l’homme moderne n’accepte plus un tel univers à cause des progrès scientifiques et technologiques qui l’ont éloigné d’une telle conception, dite aujourd’hui primitive. Les évangélistes ont donc témoigné de leur foi selon une représentation mythique en vigueur à leur époque. Mais leur manière de parler n’est plus d’actualité. 

La question est de savoir si la foi exige de reconnaître cette interprétation mythique du monde ou si la prédication du Nouveau Testament possède une vérité indépendante de cette image mythique.

Renoncer à l’antique représentation

Bultmann considère qu’il est insensé et impossible d’imposer cette vision mythique du monde à nos contemporains. Il est surtout insensé car elle n’est pas authentiquement chrétienne. Elle n’est qu’une vision du monde propre à une époque aujourd’hui révolue et incomprise. Il est en outre impossible d’imposer à un homme une représentation du monde. Elle est donnée par son temps et son environnement et non par une décision. Elle ne s’impose pas par la parole ou par la volonté. L’individu reçoit une vision du monde qu’il peut modifier ou rejeter sur la base de son expérience. « Il est impossible de revenir à une image du monde révolue par une simple décision ; et surtout, il est impossible de revenir à l’image mythique du monde après que toute notre pensée a été formée de manière irrévocable par la science. […] La critique de l’image du monde néotestamentaire va de pair avec la pensée moderne telle qu’elle nous a été transmise par notre histoire »[6]


La vision néotestamentaire est donc incompatible avec la vision du monde de nos contemporains au point qu’ils ne comprennent pas les concepts dans lesquels s’expriment les évangélistes. La vision biologiste et autonomiste de l’homme contemporain est inconciliable avec l’existence des esprits capables d’intervenir dans sa vie et de la modifier. « La naturaliste et l’idéaliste ne peuvent pas comprendre la mort comme punition du péché originel. Pour eux, il s’agit d’un processus naturel, simple et nécessaire. »[7] Considérant le péché comme un acte personnel, ils ne peuvent non plus comprendre la doctrine de la satisfaction. Comment le Christ peut-Il effacer notre péché par sa mort ? Comment notre péché dont nous sommes seuls responsables peut-il être effacé par la mort d’un innocent ? Bultmann voit dans la doctrine de la Rédemption une mythologie primitive.

Incompatibilité avec nos connaissances scientifiques



Selon le théologien Malet, les représentations en vigueur au temps des Évangiles sont aussi incompatibles avec la vision scientifique contemporaine. La démythologisation de la Sainte Écriture et de l’enseignement de l’Église est donc une exigence en raison de nos connaissances scientifiques. « La démythologisation est d’abord exigée par le conflit entre l’image mythologique du monde qui est celle de la Bible et l’image du monde formée par la pensée scientifique »[8]. C’est une exigence de la foi et pas uniquement une question d’actualité. « Il apparaît cependant aussitôt que la démythologisation est une exigence de la foi elle-même. En effet, celle-ci exige d’être libérée de la liaison à toute image du monde projetée par la pensée objectivante, qu’il s’agisse de la pensée du mythe ou de la pensée de la science. »

Et cette incompatibilité est en fait inhérente à l’idée même de Dieu. Dieu étant invisible et donc inaccessible, la foi ne peut se raccrocher à une quelconque représentation. « L’invisibilité de Dieu exclut tout mythe qui voudrait rendre visibles Dieu et son action; mais elle exclut également, en tant qu’elle est l’invisibilité de Dieu, toute conception de l’invisibilité et du mystère qui est pensée dans la Begrifflichkeit de la pensée objectivante ». Pour Malet, cette représentation, si naïve soit-elle, manifeste l’angoisse et le désir de sécurité propre à l’homo-sapiens religieux. Elles conduisent à une conception erronée de la foi.

Aller vers une vérité indépendante de la représentation

Les représentations des premières communautés sont donc caduques pour Bultmann. La foi « n’est pas tenue par l’univers de la représentation du Nouveau Testament. »[9] Mais le kérygme est toujours d’actualité. Le « dasein » n’est pas obsolète. La pure Parole de Dieu retentit toujours dans l’existence de l’homme, y compris de l’homme contemporain. Par conséquent, il faut réinterpréter le Nouveau Testament à l’aide de nouvelles représentations compréhensibles pour l’homme contemporain. La tâche de la théologie serait de « démythologiser » la prédication chrétienne.

La démythologisation

Or il n’est pas possible de retrancher quoi que ce soit dans les récits évangéliques de façon à sélectionner ce qui pourrait être acceptable par le contemporain. Car selon Bultmann, la représentation mythique englobe tout le récit. « Il faut interroger la mythologie du Nouveau Testament, il ne faut pas s’intéresser au contenu de ses représentations objectivantes, mais à la compréhension de l’existence s’exprimant dans ses représentations. »[10]

L’opération ne consiste pas à rechercher la signification des mythes comme nous l’entendons. Il ne s’agit pas en effet à extraire du sens sur les valeurs de l’humanité ou sur les réponses aux grandes questions qui agitent l’homme depuis des siècles. « Le sens propre du mythe n'est pas de donner une image objective du monde. Ce qui s'exprime en lui c'est la manière dont l'homme se comprend lui-même dans son monde [...] Il ne faut pas chercher quel est le contenu objectif des symboles, mais quelle conception de l'existence s'y affirme. »[11] Il faut interroger les mythes afin qu’ils agissent sur notre existence d’aujourd’hui.

La véritable interprétation de la Sainte Écriture consiste donc à d’interpréter les représentations mythologiques pour en dégager l’intention profonde selon un regard existentiel. Bultmann appelle ce travail « démythologisation ». « Ce n’est pas sur son contenu représentatif que la mythologie du Nouveau Testament doit être examinée, mais sur l’intelligence de l’existence qui s’exprime à travers les représentations. »[12]

La démythologisation consiste concrètement en trois opérations successives ou plus exactement en trois séparations :
  •         séparer le Christ de la foi au Jésus historique par des méthodes critico-historiques ;
  •         séparer le Christ du kérygme, le fait du message qui lui donne sens ;
  •         séparer les représentations et la Parole de Dieu.
L’interprétation existentiale

Bultmann nous dit que « le sens de l’événement christique est bien de proposer la compréhension authentique de l’existence humaine. »[13] Tel est l’objectif de la démythologisation. Pour y parvenir, il définit une méthode : l’interprétation existentiale.

Bultmann part déjà de deux principes. D’une part, « tout interprète porte en lui certaines représentations, peut-être idéalistes ou psychologiques, qui constituent les présuppositions de son exégèse ; et, dans la plupart des cas, il en est inconscient. Mais alors la question se pose de savoir quelles sont les représentations et les présuppositions qui sont justes et adéquates. Ou est-ce impossible d’y répondre ? »[14]
D’autre part, l’interprétation ne doit pas présupposer que ses résultats doivent corroborer avec des affirmations dogmatiques. Il faut même remettre en question les présuppositions actuelles et chercher les plus justes. Cela revient « d’éliminer la vision biblique du monde qui est une vision périmée, inacceptable pour l’homme moderne et trop souvent conservée dans la prédication de l’Église et dans la dogmatique chrétienne »[15].

L’existentialisme, un moyen adapté à l’interprétation de la Sainte Écriture

Pour comprendre un texte, il faut l’interroger, nous apprend Bultmann. Cela présuppose donc une manière de poser des questions ou encore « un art d’interroger ». « Le rapport personnel au contenu de la chose » provoque « la question que vous posez au texte et suscite la réponse que vous en recevez. »[16] Les justes présuppositions doivent être issues de la relation vivante qu’entretient le lecteur avec la Sainte Bible, c’est-à-dire avec Dieu. Quelle est cette relation fiable et pertinente ? Quelle est la méthode pour interroger la Sainte Bible ?

Or le lecteur a une relation particulière avec Dieu. L’homme possède une relation consciente ou non, absolument apriori, avec Dieu. « Il a une relation à Dieu dans sa recherche de Dieu, qu’elle soit consciente ou inconsciente. L’existence humaine est animée par la recherche de Dieu car consciemment ou inconsciemment, elle est sans cesse mue par la question de sa propre existence. S’interroger sur Dieu, c’est s’interroger sur soi-même. »[17] Bultmann identifie alors la recherche de Dieu avec la recherche de soi. « Saisir l’existence humaine dans sa relation à Dieu, cela ne signifie pas autre chose que saisir mon existence personnelle. »[18] Ce n’est donc pas au moyen des méthodes historiques qu’il faut interroger la Sainte Bible mais selon cette interrogation personnelle et actuelle.

Il faut donc savoir comment la Sainte Écriture comprend l’existence humaine. « S’il est vrai que les questions justes concernent la possibilité de comprendre l’existence humaine, alors il est nécessaire de découvrir les représentations appropriées, par lesquelles cette compréhension doit être exprimée. »[19] La question est alors de trouver la juste philosophie « qui, aujourd’hui, offre les perspectives et les conceptions les plus appropriées pour la compréhension de l’existence humaine. Il me semble que sur ce point nous aurions quelque chose à apprendre de la philosophie de l’existence, car l’existence est l’objet premier sur lequel cette école philosophique porte son attention. »[20] Bultmann parle de la philosophie de Heidegger. Sa méthode est en fait l’application plus ou moins fidèle de la philosophie de Heidegger dans l’interprétation et l’exégèse de la Sainte Écriture.

 « Bultmann a repensé la foi en termes de catégories existentielles, estimant que l’analyse existentiale de Heidegger était en mesure de restituer tout le sens du message biblique, dégagé de l’objectivation du langage mythologique. »

Par ses principes et sa méthode, Bultmann révolutionne l’exégèse de la Sainte Écriture au point de vouloir tout détruire pour une nouvelle interprétation plus juste des textes sacrés. Il relègue le « Jésus de l’histoire » dans un profond oublie ou désintéressement pour se consacrer aux réponses existentielles que le lecteur pourrait trouver dans les récits évangéliques. Cette idée pourrait plaire à nos contemporains : les critiques historiques ont discrédité l’histoire ; l’homme contemporain recherche du sens dans sa vie et dans le monde qu’on a rendus insensés ; le « vivre » et l’action importent plus que le « croire » et la vérité. Mais une telle pensée conduit inévitablement à vider sa foi pour la remplir par son propre moi, un moi fragile et inconstant, un moi tourné vers lui-même. Or l’essentiel n’est-il pas de connaître la volonté de Dieu et de la suivre ? Dans le prochain article, nous allons montrer toute l’erreur d’une telle pensée…



Notes et références
[1] Wikipédia, article « Rudolf Bultmann », 12 septembre 2015, https://fr.wikipedia.org/wiki/Rudolf_Bultmann.
[2] L. Malevez,  S.J., Jésus de l’histoire et interprétation du kérygme, la Pensée de R. Bultmann.
[3] Bultmann, Théologie du Nouveau Testament dans Ricoeur et l’itinéraire des sens, Note.
[4] Bultmann, Glauben und Verstehen, dans René Marlé, Bultmann et l’interprétation du Nouveau Testament, coll. Théologie Aubier, n°33,1956, dans La méthode de Rudolf Bultmann(2), https://francoisdesales.wordpress.com.
[5] Bultmann, Kerygma und Mythos, R. Marlé, dans La méthode de Rudolf Bultmann(2).
[6] Bultmann, Nouveau Testament et mythologie.
[7] Bultmann, Nouveau Testament et mythologie.
[8] André Malet, Mythos et Logos, éd. Labor et Fides, Genève, 1962, dans article  « -mythologisation »,  http://www.webnietzsche.fr/demyth.htm.
[9] Bultmann, Nouveau Testament et mythologie.
[10] Bultmann, Nouveau Testament et mythologie.
[11] Bultmann, Nouveau testament et mythologie dans Les mythes du christianisme d’André Gaillard.
[12] Bultmann, Kerygma und Mythos, R. Marlé, dans La méthode de Rudolf Bultmann(2).
[13] Jean Greisch, Ricoeur et l’itinéraire des sens, éditeur J. Millon, 2001.
[14] R. Bultmann, Jésus, Mythologie et démythologisation, Paris, Seuil, 1968, dans La méthode de Rudolf Bultmann(2).
[15] Bultmann, Jésus ; mythologie et démythologisation, Seuil, 1968, dans Les mythes du christianisme d’André Gaillard.
[16] R. Bultmann, Jésus, Mythologie et démythologisation dans La méthode de Rudolf Bultmann(2).
[17] R. Bultmann, Jésus, Mythologie et démythologisation dans La méthode de Rudolf Bultmann(2).
[18] R. Bultmann, Jésus, Mythologie et démythologisation dans La méthode de Rudolf Bultmann(2).
[19] R. Bultmann, Jésus, Mythologie et démythologisation dans La méthode de Rudolf Bultmann(2).
[20] R. Bultmann, Jésus, Mythologie et démythologisation dans La méthode de Rudolf Bultmann(2).

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