" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


lundi 13 avril 2015

Les Évangiles, sources historiques

Notre Seigneur Jésus-Christ a vécu à une époque bien précise. Depuis le recensement de Quirinus jusqu’au gouvernement de Ponce Pilate, depuis sa naissance jusqu’à sa mort, ses faits et gestes se sont inscrits dans une réalité. Il a vécu dans une société précise, bien concrète, aussi vivante que la nôtre. En dépit des siècles qui nous séparent de cette époque, nous pouvons connaître ce passé. L’environnement politique et religieux dans lequel Il vivait nous est en effet accessible. Mais comme tout événement passé, cette connaissance n’est possible qu’au travers de témoignages, directs ou indirects, qui ont traversé les siècles sans trop de dommages. Les sources historiques nous sont bien connues. Nous pouvons citer le Nouveau Testament, Flavius Josèphe et les traditions juives que rapporte le Talmud, sans oublier les textes apocryphes. Ils décrivent le même fond historique, une même réalité, que confirment les études bibliques depuis plus d’un siècle. Mais pouvons-nous utiliser les Évangiles pour connaître de manière sûre le contexte dans lequel a évolué Notre Seigneur Jésus-Christ ?

Les Évangiles sont en effet une source historique incontestable et très précieuse, y compris pour les historiens. Certes ce ne sont pas des livres d’histoire tels que nous l’entendons aujourd'hui. Mais quelle que soit l’intention des évangélistes, ils décrivent une réalité historique. De nos jours, rares sont ceux qui contestent encore la sincérité des évangélistes et la véracité historique du monde qu’ils décrivent. Leur but est certes apologétique mais cela n’enlève rien à leur valeur historique.

L’Évangile selon Saint Matthieu

Simone Cantarini
Saint Matthieu et l'ange (1645-48)
Galerie nationale d'art, Washington


L’Évangile selon Saint Matthieu est un des témoins les plus précieux pour bien connaître la société juive au temps de Notre Seigneur Jésus-Christ. L’évangéliste connaît bien la réalité juive, les institutions et les coutumes juives. C’est un juif qui écrit pour des juifs. En effet, il n’explique pas ces choses, elles sont considérées comme sues, évidentes, familières. Il ne donne non plus aucune indication topographique détaillée. Tout cela n’a effectivement aucune raison d’être pour des gens du pays. Sa manière de parler est aussi propre aux juifs. Ainsi parle-t-il de royaume des cieux, et non de royaume de Dieu, comme le veut la pratique juive par respect du nom sacro-saint de Yahvé. L'évangéliste a aussi écrit en hébreu ou en araméen, langue du peuple juif de Palestine. Le but de son ouvrage est enfin explicite : il veut démontrer que Notre Seigneur Jésus-Christ est le Messie. Il s’attache donc à montrer qu’Il réalise les prophéties de l’Ancien Testament. Il s’applique également à marquer le lien qui rattache la loi nouvelle à l’Ancien Testament. Ses argumentations ne peuvent que s’adresser à des juifs. Elles n’ont aucun sens pour des païens.

Cela nous est aussi confirmé par les Pères de l’Église, en particulier Saint Irénée et Origène. Eusèbe de Césarée précise que « Matthieu, après avoir évangélisé les hébreux, sur le point de partir au milieu des païens, laissa à ses compatriotes, pour suppléer sa présence, l’Évangile qui porte son nom, écrit dans leur langue. »[1] Tel est aussi l’avis de Saint Jérôme. « Matthieu, le même que Lévi, de publicain devenu apôtre, composa le premier, en Judée et pour des Juifs convertis, l’Évangile du Christ, dans la langue hébraïque. » [2] Le témoignage le plus ancien est celui de Papias, disciple de Saint Jean et compagnon de Polycarpe, qui précise bien que Saint Matthieu a rassemblé les « dits [du Seigneur] en langue hébraïque » [3]. Il faut entendre par « dits » les paroles, les relations et les faits. Il est tout à fait vraisemblable de voir dans ces « dits » l’Évangile selon Saint Matthieu.

L’authenticité de cet Évangile ne pose pas de difficulté. Le texte est bien écrit par Saint Matthieu. Il est témoin véridique de ce qu’il rapporte. Il vit dans la réalité qui se dégage de son texte. Il est le publicain que cite l’Évangile, l’homme « assis au bureau des impôts » qui à l’appel de Notre Seigneur le suivra. Les autres évangélistes le nomment Lévi, fils d’Alphée. Il est donc un des douze apôtres. Il est donc un témoin oculaire des événements qu’il décrit.

Les témoignages des Pères apostoliques tendraient à montrer que son Évangile a été publié et diffusé avant 90. L’étude des critères internes au texte apporte une plus grande précision. Saint Mathieu a dû en effet écrire avant la destruction du Temple puisque ce fait majeur n’est pas mentionné et tout semble croire qu’il est encore intact. « Il n’y a aucune raison décisive de situer la rédaction de Matthieu au-delà de 63-64. »[4]

L’Évangile de Saint Marc

Comme Saint Matthieu, Saint Marc est juif. Son écriture le révèle sans trop de difficulté. Son Évangile est en effet marqué par des sémitismes. Il connaît aussi les usages juifs et la topographie palestinienne. Il donne suffisamment de détails pour que nous en soyons convaincus. Son style le trahit également. Il a  écrit dans un grec peu maîtrisé. La composition de son ouvrage est aussi pauvre en vocabulaire. Les propositions coordonnées se suivent pauvrement. C’est enfin un ouvrage mal agencé. Il montre « une évidente gaucherie littéraire »[5]. Il raconte les faits sans se préoccuper de faire un récit bien structuré. Ce n’est pas un écrivain, encore moins un grec.

Par la tradition, nous apprenons que Saint Marc est le compagnon de Saint Pierre. Les Pères apostoliques l’ont vu comme « le truchement de Saint Pierre », c’est-à-dire probablement comme son porte-parole. Voilà ce que nous dit Papias : « Voilà ce que disait l’ancien : Marc, secrétaire de Pierre, a écrit exactement, non pas cependant dans leur ordre, les choses dites ou faites par le Christ, selon qu’il s’en est souvenu. Car il n’avait pas entendu le Seigneur et ne l’avait pas accompagné ; mais il avait accompagné Pierre qui donnait ses enseignements suivant les besoins de ceux qui l’écoutaient et sans faire un ordre suivi des oracles du Seigneur. Aussi bien Marc ne commettait point d’erreur, tout en écrivant parfois au gré de ses souvenirs. Il mettait, en effet, tout son soin, à ne rien omettre, ni falsifier de ce qu’il avait entendu. » [6] Saint Irénée nous le confirme aussi. Nous savons aussi qu’il a accompagné Saint Barnabé, dont il est le cousin, et Saint Paul sur les chemins de l’apostolat. Saint Jérôme nous apprend que c’est à Rome qu’il a écrit son Évangile.

Saint Marc est généralement identifié à Jean dit Marc mentionné dans les Actes des Apôtres. Après sa libération miraculeuse, délivré par un ange, Saint Pierre se rend dans « la maison de Marie, mère de Jean, qui est surnommé Marc, où beaucoup de personnes étaient assemblées et priaient » (Act. Ap., XII, 12). Dans sa première épître, Saint Pierre le nomme.

En 1912, la commission biblique a ainsi déclaré qu’avec toute la tradition, le second évangile est l’œuvre de Saint Marc, disciple et interprète de Saint Pierre. La source principale de Saint Marc est donc la prédication de Saint Pierre. Nous pouvons donc dire que Saint Marc est un témoin de l’époque, disciple et « fils spirituel » du grand apôtre. Il décrit bien le milieu dans lequel a vécu Notre Seigneur Jésus-Christ.

Dans son Évangile, Saint Marc mentionne un fait avec une telle précision qu’il semble bien en être l’auteur. Il est certainement le jeune homme qui s’enfuit nu de Gethsémani. Certes Papias nous dit qu’il n’a jamais entendu l’enseignement de Notre Seigneur Jésus-Christ. Cela n’est guère contradictoire. Il ne L’a peut-être vu qu’en cette circonstance. Nous pouvons finalement conclure qu’il n’est pas un témoin oculaire mais indirect. Il a donc eu recours à des témoignages directs dont celui de Saint Pierre.

Saint Marc n’écrit pas à des Juifs. En effet, il ne fait aucune allusion à la Loi et ne cite que deux fois les prophètes. Il les suppose aussi peu familiarisés avec les usages du judaïsme. Il explique en effet certaines traditions et donne des détails sur la topographie de Jérusalem. Il traduit tous les mots araméens, convertit la monnaie grecque en monnaie romaine, utilise des latinismes. Selon la tradition, Saint Marc s’adresse aux Romains comme l’atteste Saint Clément d’Alexandrie. Dans son Évangile, il cherche à démontrer que le Christ est Fils de Dieu : « Commencement de l’Évangile de Jésus-Christ, fils de Dieu. » (Marc, I, 1). Il utilise abondamment des arguments qui peuvent frapper des païens, c’est-à-dire les miracles.

L’Évangile selon Saint Marc a été écrit après Saint Mathieu et avant la destruction du Temple comme l’a rappelé la Commission biblique. les critiques le confirment aussi. Les critiques le confirment aussi.

L’Évangile de Saint Luc

Contrairement à Saint Matthieu et à Saint Marc, Saint Luc semble bien étranger aux juifs. Pour lui, l’hébreu est une langue étrangère. Il est souvent considéré comme un converti du paganisme, un converti érudit. Il se montre cultivé avec un vocabulaire plus riche et un style plus littéraire. Il a aussi parfaitement assimilé la langue grecque. La présence d’aramaïsme dans les premiers chapitres s’explique par l’utilisation de sources.


Simone Martini 

Peinture sur bois (1330)
Saint Luc n’est pas en effet un témoin oculaire de ce qu’il relate, comme l’atteste aussi la Tradition. Dans son introduction, il informe Théophile qu’il s’est « diligemment informé de tout dès l’origine » et qu’il doit lui « écrire par ordre toute l’histoire » afin qu’il connaisse la vérité de ce donc il a été instruit  (Luc, I, 3-4). Pour composer son Évangile et les Actes des Apôtres, il a donc utilisé des sources orales et écrites. Au cours de ses voyages, il a eu l’occasion d’interroger les témoins oculaires. Il tient des relations avec Saint Barnabé, le diacre Saint Philippe, Saint Marc. Il a aussi probablement utilisé les écrits de Saint Mathieu et de Saint Marc. Compagnon de Saint Paul, il a aussi puisé ses informations auprès de l’apôtre. Ses ouvrages apparaissent comme une œuvre érudite, renseignée au point qu’il est considéré comme « un monument historique de première valeur »[7].

Remarquons qu’il a un grand souci de placer la biographie de Notre Seigneur Jésus-Christ dans le cadre de l’histoire universelle et de situer les faits et gestes de manière chronologique. Cependant, l’agencement de son récit ressemble à l’usage grec. Les faits sont groupés selon un ordre harmonieux afin de mieux laisser voir l’enchaînement.

Les Actes des Apôtres sont incontestablement de la même main que l’Évangile selon Saint Luc. L’authenticité de l’ouvrage ne semble guère poser de doute tant par la tradition que par les critères internes du texte. Tous, y compris l’ensemble des critiques, sont unanimes pour reconnaître le même auteur pour l’Évangile selon Saint Luc et les Actes des Apôtres. Ce dernier montre qu’il a été écrit avant 62, c’est-à-dire à la fin de la première captivité de Saint Paul, là où s’arrête le récit. Nous sommes encore avant la destruction du Temple.

Son Évangile est écrit principalement pour les Gentils, notamment pour l’« excellent Théophile ». Ainsi leur fournit-il des explications sur les mœurs et la religion juives qui seraient superflues pour des chrétiens provenant du milieu juif. Il nous donne ainsi une belle description du milieu.

Les trois évangiles, que nous appelons synoptiques, relatent le monde palestinien d’avant 70. Ils ont été écrits par des témoins de l’époque, parfois à partir de sources orales et écrites. Deux d’entre eux sont des juifs, connaissant parfaitement les usages et coutumes juifs. Il serait donc pertinent d’utiliser ces sources historiques pour connaître l’époque de Notre Seigneur Jésus-Christ. Elles concordent aussi avec les autres sources que nous possédons.

L’Évangile selon Saint Jean

Lippo di Benivieni
Musée de Rennes
(1300-1315)
La Sainte Tradition a toujours reconnu Saint Jean l’apôtre comme étant l’auteur du quatrième évangile. Il est l’un des douze apôtres de Notre Seigneur Jésus-Christ. « Jean, le disciple du Seigneur, lui qui avait reposé sur sa poitrine, publia lui aussi un évangile alors qu’il demeurait à Éphèse. »[8] Papias le rapporte selon des codex datant du IX et Xe siècle. C’est donc un témoin oculaire de premier plan, le plus proche de Notre Seigneur Jésus-Christ. Le texte lui-même le confirme. Il est « le disciple que Jésus aimait » (Jean, XXI, 21). « C’est ce même disciple qui témoigne de ces choses, et les a écrites, et nous savons que son témoignage est vrai. » (Jean, XXI, 24) Pourquoi ne se nomme-t-il pas ? Selon la tradition juive, il est en effet d'usage de ne pas se nommer dans son ouvrage tout en se désignant clairement.

Selon Saint Matthieu et Saint Marc, Saint Jean est fils de Zébédée et frère de Saint Jacques le Majeur. Saint Jean a rencontré Notre Seigneur Jésus-Christ par l’intermédiaire de Saint Jean Baptiste. Revenant à ses travaux, il est définitivement appelé par Jésus en même temps que Saint Pierre et son frère. Il occupe ensuite une place privilégiée parmi les Apôtres. Certaines indications montrent aussi qu’il est proche de Notre Seigneur Jésus-Christ. Il nous dévoile en particulier les sentiments qui l’animent, les pensées les plus intimes de ses disciples et contrairement aux autres évangélistes, il nous peint la plupart des Apôtres. « Cette fraîcheur de détails est inexplicable si l’évangéliste n’est pas un témoin oculaire. »[9]

Quelques indices montrent que l’auteur de l’Évangile est juif. Sans égaler Saint Marc, les hébraïsmes et les tournures sémantiques le montrent suffisamment. Il connaît les mœurs et les fêtes juives. Il cite aussi les livres de l’Ancien Testament en précisant que les Écritures sont accomplies. L’auteur connaît en détail les lieux géographiques. Les indications topographiques sont d’une précision remarquable. « Si toutes ces indications n’ont pu être vérifiées sur le sol, du moins aucune n’a pu être convaincue d’erreur. »[10]

Le fragment P52 Rylands témoigne de l’existence de cet Évangile avant 130 en Haute Égypte. Des textes apocryphes datant vers 140-150 le citent aussi. Dès le début du IIe siècle, des Pères apostoliques, comme Polycarpe et Saint Ignace d’Antioche, font allusion à certains versets. L’auteur des Odes de Salomon, apocryphe chrétien du début du IIe siècle, utilise l’écrit de l’Apôtre. Pour être si bien répandu et cité, l’Évangile selon Saint Jean devrait être écrit à la fin du Ier siècle. Saint Jean relate la mort de Saint Pierre qui a eu lieu en 64. Il a écrit après la chute du Temple. Enfin, selon la Tradition, il complète les autres Évangiles. Il date donc après l’Évangile selon Saint Luc.

En outre, selon le témoignage des Pères apostoliques, Saint Jean s’est installé à Éphèse avant le martyr de Saint Paul, donc avant 67. Toujours selon la Tradition, il a été écrit contre Cérinthe et ses disciples gnostiques. Or Cerinthe s’est installé à Éphèse à la même époque que Saint Jean.

Selon Clément d’Alexandrie et bien d’autres témoignages, en particulier le canon de Muratori, Saint Jean écrit « à la demande de ses familiers ». Son Évangile ne cherche pas en effet à convertir mais à confirmer la foi des chrétiens. Son but est donc plutôt dogmatique. « Jésus a fait encore en présence de ses disciples beaucoup d’autres miracles qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ceux-ci ont été écrits afin que vous croyez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et afin que, croyant, vous ayez la vie en son nom. » (Jean, XX, 30). Il atteint son objectif non en tant qu’apologiste mais en théologien. Il s’appuie avant tout sur le discours de Notre Seigneur Jésus-Christ afin que ses disciples puissent en avoir une plus grande connaissance. Son écrit est aussi spirituel.

Des critiques ne contestent pas ces faits mais refusent de donner à l’ouvrage une valeur historique. Ils le présentent en effet comme une œuvre uniquement spirituelle. Mais ils oublient que Saint Jean mentionne des faits, des circonstances, des lieux précis. Il n’y a pas de confusion entre les allégories, qui sont bien signalées, et les faits réels. Certes, il défend une thèse en tant que théologien mais toute thèse se fonde sur des faits historiques

En outre, Saint Jean est un témoin oculaire des événements qu’il rapporte. Contrairement aux autres évangélistes, il a suivi Notre Seigneur Jésus-Christ pendant toute sa vie publique. Proche des événements qu’il décrit, il est très précis dans son récit. Nul ne peut non plus contester sa sincérité. La qualité de son écrit et le témoignage des Pères apostoliques montrent que c'est un homme profondément religieux, éloigné de tout mensonge et de toute bassesse. Enfin, son Évangile est parfaitement fiable lorsqu’il est comparé aux éléments archéologiques. L’intention principale de Saint Jean n’exclut donc pas un but historique même s’il est secondaire.

La valeur historique des Évangiles est donc incontestable. Ils décrivent une réalité historique que nous ne pouvons pas ignorer. Elle reste conforme aux autres témoignages que le passé nous a légués. Quelles que soient les intentions des évangélistes, leur ouvrage donne des informations certaines de grande valeur sur l’époque de Notre Seigneur Jésus-Christ. Notre foi repose aussi sur des faits historiques…



Références
[1] Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, XXIV, 6 cité dans Manuel d’étude bibliques, Abbé Lusseau et Abbé Collomb, Tome I, Les Évangiles, chap. I, Téqui, 1938.
[2] Saint Jérôme, De vir. ill., III, cité dans Manuel d’étude bibliques, Abbé Lusseau et Abbé Collomb, Tome I, Les Évangiles, chap. I.
[3] Papias dans Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, XXXIX cité Manuel d’étude bibliques, Abbé Lusseau et Abbé Collomb, Tome I, Les Évangiles, chap. I.
[4] Abbé Bernard Lucien, Apologétique, La crédibilité de la révélation divine transmise aux hommes par Jésus-Christ, éditions Nuntiavit, 2011.
[5] R. P. Jean René, Manuel d’Écriture Sainte, Tome IV, Les Évangiles, n°46.
[6] Papias dans Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, XXXIX cité Manuel d’étude bibliques, Abbé Lusseau et Abbé Collomb, Tome I, Les Évangiles, chap. II.
[7] R. P. Jean René, Manuel d’Écriture Sainte, Tome IV, Les Évangiles, n°62.
[8] Saint Irénée, Contre les Hérésies, 1, 1.
[9] R. P. Jean René, Manuel d’Écriture Sainte, Tome IV, Les Évangiles, n°107.
[10] Lagrange, Saint Jean dans R. P. Jean René, Manuel d’Écriture Sainte, Tome IV, Les Évangiles, n°107.

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