Catholique,
orthodoxe, protestante, anglicane, … Nombreuses sont les dénominations des
églises et communautés chrétiennes. La division du monde chrétien est un véritable
scandale que nous ne pouvons que dénoncer et combattre. La recherche de l’unité
devrait être une lutte permanente pour tout chrétien soucieux de servir Notre
Seigneur Jésus-Christ.
Unification
ou réintégration ?
Dans
l’histoire chrétienne, on a tenté d’effacer les déchirures et réparer les blessures selon deux voies. La première consiste à unir
les différentes confessions en une seule structure, plus ou moins lâche,
notamment par la recherche de dénominateurs communs, chaque église ou
communauté étant considérée comme l’égale des autres. C’est généralement la solution
qu’ont choisie les mouvements œcuméniques protestants. La seconde consiste à
rattacher les différentes églises à une église mère. L’unité passe donc par un
retour de ceux qui, pour de multiples raisons, se sont séparés. Telle est la
voie qu’a longtemps suivie l’Église catholique. Ainsi pour désigner les
orthodoxes, les protestants et les anglicans, elle parle de « frères séparés ». Ces deux voies
apparaissent en effet comme les seules possibles. L’unité passe soit par
unification, soit par réintégration. Ce sont évidemment deux voies incompatibles. La première repose sur une entente à base de compromis et d’autorités partagées, la seconde sur une renonciation et l’adhésion à une autorité unique, préexistante.
Dans
la Sainte Écriture, nombreux sont les symboles qui traduisent l’unité de
l’Église. La « tunique sans couture »
est sans-doute le plus fort et le plus célèbre. Revenons à la Croix de Notre
Seigneur Jésus-Christ. Selon l’usage romain de l’époque, « les soldats, après avoir crucifié Jésus, prirent ses vêtements, et ils
en firent quatre parts, une pour chacun d’eux. Ils prirent aussi sa
tunique : c’était une tunique sans couture, d’un seul tissu depuis le haut
jusqu’en bas. Ils se dirent donc entre eux : ne la déchirons pas, mais
tirons au sort à qui elle sera. » (Jean, XIX, 23-24)
Depuis
Saint Cyprien (210-258), la « tunique
sans couture » symbolise l’unité indivisible de l’Église. Notre
Seigneur Jésus-Christ est en effet mort « afin de réunir en un seul corps les enfants de Dieu qui sont
dispersés. » (Jean, XI, 52) Selon l’évêque de
Carthage, la tunique est tissée d’en haut comme symbole
d’une unité provenant de Dieu. « Le
vêtement du Christ, tissé d’un seul morceau et sans couture, ne peut pas être
divisé par ceux qui la possèdent. Il est un, d’un seul morceau, d’un seul
tissu. Il représente l’unité et l’entente de notre peuple, à nous qui avons le
Christ comme vêtement. Par le mystère de ce vêtement et par ce signe, le Christ
montre l’unité de l’Église. »[1]
Saint Cyprien précise aussi qu’elle « ne peut être divisée par ceux qui la possèdent », l’unité étant d’origine divine. Par conséquent, la division de l’Église n’est pas une réalité. Elle n’est donc pas à combattre. Il est inutile et vain de vouloir rechercher l’unité de l’Église puisqu’elle est une par nature. Nous devons rechercher l'unité des Chrétiens dans l’Église, elle-même indivise comme la « tunique sans couture ». Tel est le véritable objectif…
Saint Cyprien précise aussi qu’elle « ne peut être divisée par ceux qui la possèdent », l’unité étant d’origine divine. Par conséquent, la division de l’Église n’est pas une réalité. Elle n’est donc pas à combattre. Il est inutile et vain de vouloir rechercher l’unité de l’Église puisqu’elle est une par nature. Nous devons rechercher l'unité des Chrétiens dans l’Église, elle-même indivise comme la « tunique sans couture ». Tel est le véritable objectif…
La
question des lapsis
Dans
son ouvrage intitulé De l’Unité de l’Église catholique,
Saint Cyprien répond à un difficile conflit qui divise les chrétiens romains et
africains. Ce conflit porte sur les conditions de réintégration des apostats
dans l’Église. Il a donné lieu à un schisme né indirectement d’une des
persécutions romaines du IIIème siècle.
Au cours des trois premiers siècles, depuis
Néron (54-68) et selon les empereurs, les Chrétiens sont victimes de nombreuses
persécutions que séparent des périodes de tranquillité plus ou moins fragiles.
L’une d’entre elles, la sixième, est particulièrement terrible par ses effets
car nombre de chrétiens ont abjuré leur foi. Pour combattre le christianisme,
un édit de l’empereur Dèce (249-251) contraint les Chrétiens de
l’Empire romain à se présenter devant les autorités locales et à sacrifier aux
dieux. Ceux qui le refuseront seront punis de mort ou bannis, leurs biens
confisqués. Cependant, s’ils consentent à abjurer, l’ordre ne sera pas exécuté.
Il prescrit en outre aux gouverneurs de prendre tous les moyens pour favoriser l’apostasie.
La persécution a donc pour but de pousser les Chrétiens à abjurer, au moins
publiquement.
Mais
la persécution s’abat brutalement sur des communautés chrétiennes plutôt
désarmées et affaiblies par une longue période de paix, où les conversions se
sont multipliées, la quantité emportant probablement sur la qualité. Alors comme
nous pouvons nous en douter, contrairement aux autres persécutions, la
politique de Dèce est un succès. Elle conduit à de nombreuses chutes dans les
rangs des chrétiens en Afrique et en Asie. L’apostasie se manifeste selon
plusieurs attitudes. Certains fidèles sacrifient réellement aux dieux ou brûlent
seulement de l’encens devant les images. D’autres ont demandé leur inscription
sur des registres qui notifient ceux qui ont abjuré. Ou dernière solution, ils peuvent
acheter un certificat attestant qu’ils ont sacrifié[2].
Or
de telles abjurations, réelles ou fictives, les excluent automatiquement de
l’Église. Quand la persécution s’achève, beaucoup d’apostats veulent
cependant rentrer dans le sein de l’Église. Ils portent le nom de « lapsis ». Pour réintégrer l'Église, à cette époque, ils peuvent obtenir un billet de confession auprès d'un confesseur, c’est-à-dire un chrétien qui a témoigné publiquement de sa foi, et le présenter à un prêtre. Cette procédure conduit à des abus et à des malentendus. Certains confesseurs ont tendance à se substituer aux prêtres, remettant en cause leur autorité. En clair, la
paix de nouveau retrouvée, l’Église doit répondre à deux questions. A-t-elle le pouvoir d’absoudre les apostats ? Les confesseurs ont-ils un rôle à jouer dans leur retour ?... Il faut rappeler qu'à l'origine, les conditions pour être pardonné d'un péché étaient beaucoup plus sévères que celle que nous connaissons
aujourd’hui.
Le schisme de Novatien
Face
aux demandes des lapsis, Saint Cyprien rappelle que seul l’évêque dispose du pouvoir de grâce et que les confesseurs n’ont qu’un
droit de recommandation. Il décide néanmoins qu’en danger de mort et munis des billets de confession, les lapsis peuvent
réintégrer l’Église par un prêtre et cela uniquement en absence de l’évêque.
Ses décisions provoquent alors des mécontentements auprès des lapsis et des
confesseurs. Elles déclenchent même de véritables émeutes. Novat, Felicissimus
et quelques autres prêtres se révoltent contre Saint Cyprien. Ils établissent
un évêque Fortunat. Saint Cyprien en appelle alors à Rome.
Au même moment, l'Église n'a plus de Pape. Le dernier est mort et son successeur n'est pas encore élu. Pour répondre à l'appel de Saint Cyprien, le clergé romain se réunit sous la direction de Novatien et approuve les décisions de l’évêque de Carthage.
Saint Cyprien réunit à son tour un concile régional en avril 251. Il décrète que
le péché d’apostasie n’est pas irrémissible, que les lapsis doivent faire une
longue pénitence et solliciter leurs grâces auprès de l’évêque et que les
billets de confession sont inutiles. Il fait aussi la différence entre les
différents apostats selon la gravité de leur faute. Sous le pontificat du Pape Saint
Corneille, un concile romain approuve ces décisions.
Cependant,
l’opposition se poursuit et se renforce. Il est désormais mené par Novatien. Ancien chef du clergé romain, il est déçu de ne pas avoir été choisi comme pape. Mais
rigoriste, il prend le contre-pied des théories de Novat. Il décide que même en
danger de mort, les lapsis ne peuvent pas être graciés. Un concile africain réunissant
60 évêques condamne cette nouvelle erreur. Saint Cyprien publie alors De
l’Unité de l’Église …
Dans
son traité, Saint Cyprien s’adresse aux chrétiens et s’attaque aux
schismatiques. Il fait l’apologie de l’unité, qu’il présente comme le signe de
la véritable Église. Il désigne alors le pire ennemi du christianisme. Ce n’est
pas le persécuteur, que le Chrétien peut toujours vaincre, mais le schismatique qui veut briser l’unité de l’Église.
Saint Cyprien définit les deux fondements de l’unité
de l’Église :
« Et tout cela arrive, mes frères bien-aimés, parce que l’on ne sait pas retourner à la source de la vérité, qu’on ne cherche pas où est la tête, le chef, qu’on ne garde pas la doctrine du maître céleste. »[5]
- l’unité de la foi. « Et ces hommes qui ne sont plus d’accord avec l’Évangile du Christ, ses préceptes et ses lois, s’appellent encore des chrétiens ; marchant dans les ténèbres, ils se croient dans la lumière »[3]. En rupture avec l’unité de la foi, l’hérétique se sépare de l’Église ;
- l’unité de gouvernement. « Tous les apôtres sont pasteurs mais il n’y a qu’un seul troupeau, qui doit être conduit d’un concert unanime par tous les apôtres. Celui qui ne reste point dans l’unité de Pierre, croit-il donc qu’il reste dans la foi ? Celui qui abandonne la chaire de Pierre, sur qui est fondé l’Église, peut-il se vanter d’être dans l’Église ? »[4] Rompant avec l’unité de gouvernement, le schismatique ne peut donc prétendre incarner la véritable Église.
« Et tout cela arrive, mes frères bien-aimés, parce que l’on ne sait pas retourner à la source de la vérité, qu’on ne cherche pas où est la tête, le chef, qu’on ne garde pas la doctrine du maître céleste. »[5]
Le
discours de Saint Cyprien est d’une très grande simplicité comme l’est la
vérité. Comment pouvons-nous être unis à
l’Église si nous refusons d’adhérer à ce qu’elle professe ? « Est-ce qu’on peut dire : « Je
crois au Christ », quand on n’obéit pas aux ordres du Christ ? Est-ce
qu’on peut recevoir la récompense promise au croyant, quand on refuse
d’observer fidèlement les commandements du Christ ? Forcément, on marche
alors toujours de travers et on perd sa route. On se laisse emporter par des
enseignements faux, comme la poussière soulevée par le vent. Si on ne garde pas
solidement la vérité qui sauve, on peut marcher, mais on n’arrive pas jusqu’au
Christ Sauveur. »[6]
Est-il possible d’appartenir à une armée sans suivre son chef ? « Celui qui ne reste pas dans l’unité de
Pierre, croit-il donc qu’il reste dans la foi ? Celui qui abandonne la
chaire de Pierre, sur qui est fondée l’Église, peut-il se vanter d’être dans
l’Église ? »[7]
L’unité de l’Église tire véritablement son origine en Dieu. L’Église est une car Dieu est un. « L’unité de l’Église vient de cette unité en Dieu ». Ainsi l’Église peut se répandre dans le monde entier, embrasser des peuples divers et variés, s’étendre dans toutes les couches de la société tout en étant une. C’est un seul et même corps qui se déploie sur toute la terre car « il y a une seule source et une seule origine ». « Coupez un ruisseau de sa source, il n’y a plus d’eau dans ce ruisseau. C’est la même chose pour l’Église : éclairée par la lumière du Seigneur, elle envoie ses rayons dans le monde entier, mais c’est une seule lumière qui éclaire tout. »[8]
Hors
de l’Église, point de salut
Par
conséquent, qui pourrait croire diviser et déchirer l’Église ?
Elle « ne peut être divisée par ceux
qui la possèdent », c’est-à-dire par des chrétiens, des
évêques ou des prêtres. L’Église n’est pas une par la volonté de ceux qui la
composent ou la dirigent. Elle est une par la volonté de son fondateur et le
demeure sous sa protection. Ainsi personne et rien ne peuvent la corrompre. Une
communauté ne peut prétendre appartenir à l’Église si elle s’est séparée de
l’Église par la foi ou le gouvernement, encore moins l’incarner. La tunique
reste sans couture, non partageable, indivise.
La
désunion ne réside donc pas dans l’Église. Elle n’habite pas en elle. Elle n’existe
que dans l’âme du chrétien. Celui qui ne se maintient pas dans la maison de
Dieu se sépare de l’Église. Et c’est bien le chrétien qui se sépare de
l’Église. Et non l’inverse ! Par conséquent, la division cesse quand il
retourne dans l’Église, quand son âme s’unit à elle de nouveau, quand l’hérésie ou le
schisme se sont achevés. Et cette division lui est dommageable...
Selon
Saint Cyprien, le chrétien séparé est comme un rayon du soleil qui ne prend
plus sa source de l’astre lumineux. Il est comme une branche arrachée de
l’arbre. Cassée, elle ne donnera plus de feuilles, ni de fruits. Il ne recevra
plus les récompenses promises. Il montre ainsi toute la gravité de
la séparation. Sans sève ni vie, que peut-il espérer ? Pire encore. « Celui qui ne garde pas un seul cœur avec le
Christ et ne reste pas dans sa paix, celui-là agit contre le Christ »[9].
Et le fauteur de trouble et de désunion ? « Celui qui rassemble son troupeau à lui en dehors de l’Église, celui-là
sème la division dans l’Église du Christ. »[10]
Le
véritable chrétien est donc celui qui veut la paix et s’interdit toute parole
qui divise et sème la discorde. Saint Cyprien se plaint finalement de la perte
de foi qui rend les croyants plus mous, leur cœur diminué, plus propre à
désobéir qu’à servir. La division naît du manque de charité ! Telle est la
belle leçon que nous donne l’évêque de Carthage. L’unité des Chrétien est avant
tout l’unité de la Charité…
Unité
de Charité
Comme
les soldats prenant le vêtement du Christ en un seul tenant, le Chrétien reçoit
sa tunique toute entière, la possède sans qu’elle soit abîmée ou coupée. Il
entre dans un peuple qui ne peut être déchiré. « Dans la maison de Dieu, dans l’Église du Christ, les chrétiens habitent
avec un seul cœur »[11].
Il la quitte quand il se dissocie de ce cœur. Ainsi « on ne peut pas appeler chrétien celui qui
n’est pas fidèle à la Bonne Nouvelle et à la vérité de la foi. »[12]
Saint
Cyprien demande donc aux fidèles de ne pas suivre ceux qui « entraînent les autres par des enseignements
faux et qui causent des divisions. »[13], c'est-à-dire les hérétiques et les schismatiques.
Il faut les fuir afin de ne pas les suivre sur la route de l’erreur et du
péché. Le peuple de Dieu « forme un
seul corps, uni solidement par le ciment de la véritable entente. L’unité de l’Église
ne peut pas être déchirée. On ne peut pas non plus déchirer un corps vivant,
séparer les organes qui travaillent ensemble ni les mettre en morceaux. Toute
personne qui s’éloigne de l’Église, notre mère, ne peut pas vivre ni respirer
toute seule, séparée des autres : sinon, elle perd ce qui la sauve réellement. »[14]
Finalement, hors de l’Église, point de salut.
Conclusion
Ainsi
parlant aux chrétiens dans une époque où un schisme les divise, Saint Cyprien s’attaque aux schismatiques et dénoncent leurs prétentions. Ils se prétendent être
chrétiens alors qu’ils se sont séparés de l’Église et donc du salut. Il défend
donc aux fidèles de les suivre pour qu’ils ne prennent pas un chemin qui les
écarte du salut. Celui qui ne professe pas les vérités de foi qu’enseigne
l’Église et qui abandonne la chaire de Pierre se sépare de l’Église. Et en se
séparant de l’Église, le naufrage est certain. La division ne naît donc pas de
l’Église qui demeure par nature indivise. D’origine divine, elle demeure une
comme Dieu est un. « Il n’y a qu’un
seul Dieu, un seul Christ, une seule Église du Christ, une seule foi, un seul
peuple de Dieu. Ce peuple forme un seul corps »[15].
La séparation et la division naissent dans le cœur du chrétien. Par conséquent, le véritable combat ne consiste pas à rechercher l’unité de l’Église - vaine car inutile - mais à réparer les divisions dans le cœur des chrétiens séparés afin qu’ils
retournent dans l’Église comme l’enfant prodigue revenant auprès de son père…
Note et références
[1] Saint Cyprien, L’unité de l’Église, §7, extraits tirés de Cyprien de Carthage : de l’unité de l’Église catholique, collection Unam Sanctam, n°9, Cerf, 1992. Trad. Pierre de Labriolle.
[1] Saint Cyprien, L’unité de l’Église, §7, extraits tirés de Cyprien de Carthage : de l’unité de l’Église catholique, collection Unam Sanctam, n°9, Cerf, 1992. Trad. Pierre de Labriolle.
[2]
Les « sacrificati » sont
ceux qui ont réellement sacrifié aux dieux, les « thurificati », ceux qui ont seulement brûlé de l’encens devant
l’image des dieux, les « libellaciti »,
ceux qui se sont procurés à prix d’argent le certificat d’abjuration
[3]
Saint Cyprien, De l’Unité de l’Église, dans Le Dogme catholique dans les
Pères de l’Église, 1ère partie, III, §2.
[4]
Saint Cyprien, De l’Unité de l’Église, dans Le Dogme catholique dans les
Pères de l’Église, 1ère partie, III, §2, Émile Amann, Bauschesne, 1922.
[5]
Saint Cyprien, De l’Unité de l’Église, dans Le Dogme catholique dans les
Pères de l’Église, 1ère partie, III, §2.
[6]
Saint Cyprien, L’unité de l’Église, Cyprien de Carthage : de l’unité de
l’Église catholique, n°7.
[7]
Saint Cyprien, De l’Unité de l’Église, dans Le Dogme catholique dans les
Pères de l’Église, 1ère partie, III, §2.
[8]
Saint Cyprien, L’unité de l’Église, Cyprien de Carthage : de l’unité de
l’Église catholique, n°5.
[9]
Saint Cyprien, L’unité de l’Église, Cyprien de Carthage : de l’unité de
l’Église catholique, n°6.
[10]
Saint Cyprien, L’unité de l’Église, Cyprien de Carthage : de l’unité de
l’Église catholique, n°6.
[11]
Saint Cyprien, L’unité de l’Église, §7, Cyprien de Carthage : de l’unité de
l’Église catholique, n°8.
[12]
Saint Cyprien, L’unité de l’Église, §7, Cyprien de Carthage : de l’unité de
l’Église catholique, n°14.
[13]
Saint Cyprien, L’unité de l’Église, §7, Cyprien de Carthage : de l’unité de
l’Église catholique, n°23.
[14]
Saint Cyprien, L’unité de l’Église, §7, Cyprien de Carthage : de l’unité de
l’Église catholique, n°23.
[15] Saint Cyprien, L’unité de l’Église, §7, Cyprien de Carthage : de l’unité de l’Église catholique, n°23.
[15] Saint Cyprien, L’unité de l’Église, §7, Cyprien de Carthage : de l’unité de l’Église catholique, n°23.
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