" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


vendredi 22 janvier 2016

Datations des fêtes de la Nativité et de l'Annonciation

La fête de Noël est-elle d’origine païenne ? Certaines voix l’affirment sans le moindre doute. Pour se justifier, elles la comparent avec les célébrations païennes qui se déroulaient, notamment à Rome, le jour du 25 décembre comme les fêtes saturnales, le culte de Mithra et la fête du « sol invictus ». Mais comme nous l’avons vu dans le dernier article, ces comparaisons sont insuffisantes pour arriver à une telle conclusion. Le jour du solstice d’hiver est si riche en symboles que ces célébrations sont en fait bien différentes. Pourtant, en dépit de la superficialité de leur argumentation, la question demeure, le doute subsiste. Car si ce jour si symbolique a été choisi pour fêter la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ, on pourrait en conclure que le récit lui-même est symbolique comme le sont les mythes de Saturne et de Mithra. Nous revenons donc à la question. Il faut donc lui apporter une réponse.

D’autres arguments en faveur d’un récit symbolique

Selon certains « érudits », les premiers Chrétiens n’ont jamais fêté Noël. Ils auraient été influencés par les païens. En outre, rien ne nous permet de croire que Notre Seigneur est né le 25 décembre. Selon une hypothèse parmi tant d’autres, les bergers ne pouvait envoyer leur bétail dans les champs en hiver mais plutôt vers le début du printemps jusqu’à la saison des pluies, c’est-à-dire en automne. Par conséquent, puisque des bergers qui paissent leur troupeau dans la nuit viennent L’adorer, la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ ne pourrait pas avoir lieu en hiver. La date de la fête de Noël serait par conséquent symbolique. Certains commentateurs en viennent donc à considérer le récit de la Nativité comme étant lui-aussi symbolique.

Selon les explications les plus communes, les premiers récits évangéliques étant silencieux sur la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ, des chrétiens auraient essayé de pallier ce silence par des histoires. Avides de merveilleux et influencés par les religions orientales, ils auraient imaginé les récits tels que nous les connaissons aujourd’hui. Les écrits apocryphes souligneraient « l'extrême efflorescence dans la pensée chrétienne quant à l'origine de Jésus »[1]. Les Chrétiens auraient donc unifié toutes ces « traditions » par la canonisation des Évangiles.

Les récits sur la Naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ ne seraient donc pas historiques. « Les récits des Évangiles de l'enfance relèvent surtout de théologoumènes », c’est-à-dire « des affirmations théologiques présentées dans les récits fictifs bibliques comme des faits historiques de la part des auteurs bibliques qui ont plus une visée doctrinale qu'un souci historique. »[2] Il précise ensuite que « le récit de la crèche, l'annonce aux bergers, l'adoration des bergers et des mages ne doivent pas faire l'objet d'une lecture littéraliste mais appartient au registre littéraire du merveilleux et à la théologie métaphorique ».

Ainsi ignorée des premiers chrétiens, la fête de Noël serait une fête d’origine païenne provenant des antiques religions ou des cultes orientaux. On en vient alors à remettre en doute ce qu’elle célèbre, c’est-à-dire la Nativité de Notre Seigneur Jésus-Christ. Son véritable origine ne serait pas chrétienne mais païenne. Le récit évangélique ne serait qu’une copie des mythes connus à l’époque. Mais si nous fêtons notre anniversaire à une date différente de celle de notre naissance, devons-nous en conclure que notre naissance n’a jamais eu lieu ?

Mais comment ces « érudits » peuvent-ils affirmer de telles choses ? Effectivement, leurs hypothèses sont séduisantes à première vue mais leur argumentation est-elle bien solide, irréprochable comme on le prétend souvent ? Que savons-nous en effet des célébrations de Noël au temps des premières communautés chrétiennes selon les sources historiques ?

Les premières conclusions

Mosaïque, Rome, 705-707
Il est déjà bien naïf ou prétentieux de croire que nos connaissances historiques sont suffisantes pour affirmer de telles choses. Dans les premières années du christianisme, les Chrétiens avaient d’autres préoccupations que de nous laisser des souvenirs précis sur leurs célébrations. Leurs principales préoccupations étaient plutôt tournées vers le développement des communautés chrétiennes, vers l’organisation de l’Église, vers sa consolidation en un temps où les persécutions ne les laissaient guère en paix. Enfin, le temps fait ses ravages, ne laissant guère de documents intacts après des siècles d’histoire. Les sources historiques sont donc très réduites, voire quasi-inexistantes. Mais de ce silence nous ne devons pas conclure à une absence de célébration de la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ. Acceptons simplement notre ignorance sur ce temps troublé.

Cependant, selon des sources historiques, nous savons que la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ était déjà célébrée au II siècle bien avant l’Édit de Milan, qui octroie au christianisme la liberté de culte. Nous savons aussi que jusqu’au IVe siècle, il existait plusieurs coutumes sur la date de célébration de la Nativité dont l’une, celle de Rome, a dominé et s’est lentement imposée dans toutes les communautés chrétiennes. Précisons maintenant les connaissances historiques dont nous disposons sur la fête de Noël…

La fête de Noël à Rome

Selon Dom Guéranger, se rapportant au Liber pontificalis, la messe de minuit de Noël a été instituée par le Pape et martyr Saint Télésphore (127-137). Il a aussi inséré le Gloria in excelsis au commencement du Saint Sacrifice de la Messe.

Comme nous le rappelle Benoît XVI[3], Hippolyte de Rome affirme que Notre Seigneur Jésus-Christ est né le 25 décembre dans son commentaire du livre du prophète Daniel, écrit vers l’an 204. Mais selon Mgr Duchesne[4], cela ne signifie pas que la fête de la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ soit célébrée en ce jour à Rome. Cependant, cette date nous apparaît importante puisqu’elle est antérieure à la date du décret instituant la fête du « sol invictus » par Marc Aurèle (ou par Héliogabale). Cela confirme donc la volonté de Marc Aurèle d’englober dans son nouveau culte l’ensemble des religions de l’empire romain.

À Rome, en 350[5], le pape Jule Ier institue la date officielle le 25 décembre à partir de recherches sur le jour précis de la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ. La première mention de la fête de Noël dans un calendrier romain des martyrs, intitulé chronographe[6], est daté de 354. Cependant ce martyrologe est établi à partir du calendrier philocalien[7], dressé à Rome en l’an 336. Il fait certainement écho d’une habitude encore plus ancienne.

Enfin, dans un sermon, Saint Ambroise[8] nous décrit la prise de voile de sa sœur, Sainte Marcelline, lors d’une cérémonie organisée par le pape Libère la nuit de Noël 353. « On ne relève aucune allusion à la nouveauté de cette fête, mais, au contraire, toute le contexte donne l’impression qu’il s’agit d’une solennité de vieille date, à laquelle le peuple a coutume d’accourir en foule, en vertu d’une ancienne habitude. »[9]

Ces différents textes nous confirment l’usage antique de célébrer à Rome la fête de Noël le 25 décembre avant le IIIe siècle.

La fête de Noël dans la chrétienté

Dans les autres régions, la date de la fête de la Nativité varie au IIIe siècle. Certaines églises orientales la fêtent en avril ou en mai. En Orient, elle est parfois confondue avec la fête de l’Épiphanie célébrée le 6 janvier. Progressivement, les Chrétiens orientaux distingueront ces deux fêtes. La tradition romaine s’impose progressivement vers le Ve siècle. L’empereur Théodose II codifie en 425 les cérémonies de la fête de Noël.


À Antioche, aux environs de 385, la fête de la Présentation de Notre Seigneur Jésus-Christ est appelée la quarantaine de l’Épiphanie[10] à Jérusalem. Comme cette fête juive est fêtée quarante jours après sa naissance, nous en déduisons que la Nativité est encore célébrée le jour de l’Épiphanie. Cependant, d’autres faits plus précis semblent nous indiquer que ces deux fêtes étaient distinctes dix ans auparavant dans d’autres patriarcats. Saint Jean Chrysostome (vers 344-407), prêtre d’Antioche, a écrit des homélies sur la fête de la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ. « Celui qui siège sur le trône élevé et sublime est placé dans une mangeoire. […] O richesse sans mesure sous les dehors de la pauvreté ! »[11] Cette homélie daterait du 25 décembre 386, 387 ou 388. Il affirme aussi qu’il ne s’est pas tout à fait écoulé dix ans depuis que l’on a commencé la célébration de cette fête. Il nous assure aussi qu’elle provient des « habitants de Rome eux-mêmes, qui depuis longtemps et d’après une ancienne tradition commémorait ce jour »[12]. Par conséquent, la fête de Noël aurait été introduite le 25 décembre dans l’Église d’Antioche en 377, 378 ou 379.

Dans deux homélies, celle du 25 décembre 380 et du 6 janvier 381, Saint Grégoire de Nazianze (329-390) distingue les fêtes de Noël et de l’Épiphanie. Il semblerait même qu’il aurait introduit la fête de Noël à Constantinople en 380. Saint Grégoire de Nysse, mort en 394, distingue aussi les deux fêtes[13]. Après l’an 400, Saint Astérios, évêque d’Amasée, dans le diocèse du Pont, distingue deux fêtes de Noël, celle des Latins et celle des grecs, la première célébrant la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ, la seconde son baptême. Ainsi à la fin du IVe siècle, l’usage romain s’est donc imposé à Constantinople, à Césarée de Cappadoce et dans le Pont.

Pour l’Égypte, il faut attendre encore quelques années, vers 430, pour voir la coutume romaine s’imposer. Nous avons ainsi la trace d’une homélie faite par Paul, évêque d’Émèse, sur la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ, le 25 décembre 432, dans la grande église d’Alexandrie.

Revenons à Jérusalem. Entre 401 et 410, dans une homélie, Saint Jérôme défend fermement l’usage de Rome de fêter la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ le 25 décembre, une tradition qu’il présente plus vénérable que celle des Orientaux. « Nous soutenons, nous, que le Christ est né en ce jour et qu’il a été baptisé à l’Épiphanie. »[14] Entre 455 et 458, Basile de Séleucie[15] fait l’éloge de Juvénal, l’évêque de Jérusalem qui « a commencé à célébrer la naissance illustre et vivifiante et adorable du Seigneur »[16]. L’épiscopat de Juvénal a commencé vers 422 pour s’achever en 458. Dans une vie de Sainte Mélanie[17], nous apprenons que cette sainte a été à Bethléem avec sa nièce le 25 décembre 439 pour fêter la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ. Tout semble donc indiquer que Noël était célébré le 25 décembre avant 439 à Jérusalem. Selon les conclusions de B. Botte, l’introduction de la coutume romaine aurait lieu aux alentours de 430. Mais selon d’autres experts, elle serait postérieure à 451[18].

En Afrique, dans le sermon CLXXXIV, Saint Augustin parle de la fête de la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ. « C’est aujourd’hui que revient et que brille parmi nous la solennité anniversaire de la naissance de Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. »[19] Quatorze sermons lui sont consacrés. De manière générale, les sermons sont datés de 391 à 420. Saint Augustin distingue clairement les fêtes de Noël et de l’Épiphanie aux dates dès lors traditionnelles. Un sermon plus ancien, d’Optat de Milève, évêque de Numidie, mort en 392, nous parle de la célébration de Noël, du « mystère de la nativité du Christ »[20]. Ce sermon serait daté de 360. Il est donc l’un des premiers témoignages de la célébration de cette fête en Afrique.

La fête de l’Annonciation dans l’histoire de l’Église

Icône de l’Annonciation
tempera sur bois.
Andreï Roublev, XV° siècle.
La fête de Noël est difficilement indépendante celle de l’Annonciation. Il est donc aussi intéressant de pouvoir dater cette dernière afin de préciser encore la date de célébration de Noël.

Selon l’historien Sixte Jules l’Africain, la fête de l’Annonciation est connue dès l’an 221[21]. En Afrique, à la fin du IVe siècle, une fête en l’honneur de l’Incarnation de Notre Seigneur Jésus-Christ est fixée le 25 mars comme nous l’apprend Saint Augustin dans le traité De Trinitate, écrit entre 400 et 416.

Parfois, certains commentaires situent les premières traces de cette fête au VII siècle. Ils citent en effet le Xème concile de Tolède. En effet, en 656, les évêques d’Espagne se réunissent à Tolède non pas pour instituer la fête mais pour modifier sa date[22] car souvent, elle se retrouve en un temps où l’Église est surtout tournée vers la Passion, dans le jeûne du Carême. Ainsi les évêques le reportent au 18 décembre pour servir de préparation à la Nativité. Plus tard, l’Église d’Espagne reviendra néanmoins à la pratique de l’Église romaine. La fête de l’Expectation de la Sainte Vierge, toujours célébrée le 18 décembre, est un lointain souvenir de cette pratique.

En Orient, le concile « in Trullo » règle la discipline de l’Église sur la célébration liturgique de l’Annonciation lorsqu’elle tombe dans les jours de Carême. Dans un ouvrage de 630, intitulé Chronicon Paschale, il est dit explicitement que la fête de l’Annonciation est fixée au 25 mars selon la tradition des anciens Docteurs ecclésiastiques, dès l’année 624. Romanos, un poète oriental du temps de l’empereur Justinien, écrit une hymne pour la fête de l’Annonciation. Nous sommes alors au VIe siècle, vers 550. Une homélie de Saint Proclus a trait à l’Incarnation de Notre Seigneur Jésus-Christ et au message de l’archange Saint Gabriel, ce qui nous renvoie à la fête de l’Annonciation. Selon le chroniqueur Saint Théophane, elle est dite en présence de Nestorius durant son patriarcat, c’est-à-dire entre 428 et 431. Finalement, au début du Ve siècle, la fête de l’Annonciation était déjà célébrée à Constantinople. Deux homélies, l’une du prêtre Hésychius et l’autre du prêtre Chrysippe de Jérusalem, qui date du Ve siècle, concernent aussi la fête de l’Annonciation. Le prêtre Chrysippe, mort en 479, a été ordonné prêtre en 453.

Basilique de l'Annonciation, Nazareth

À Nazareth, au IVe siècle, une basilique est consacrée à l’Annonciation selon le témoignage de pèlerin. Sa construction est attribuée à Sainte Hélène. La tradition fixe en effet l’origine de cette église au temps de Constantin. Eusèbe de Césarée et Saint Épiphane nous confirment qu’à cette époque, de nombreuses basiliques ont été construites en terre sainte entre 323 et 337. Des fouilles ont permis de trouver des vestiges de trois églises lors des travaux de construction de la nouvelle basilique. Une des églises a été datée de 356. Or en Palestine, à Jérusalem par exemple, chaque basilique est associée au souvenir d’une fête. « Une basilique de l’Annonciation à Nazareth entraînerait donc très vraisemblablement une fête de l’Annonciation »[23]. Nous pouvons donc en conclure que la fête de l’Annonciation était célébrée avant l’année 356, ce qui confirme que la célébration de Noël existait bien au temps des persécutions avant l’Édit de Milan.

Conclusions

Ainsi, selon de nombreuses sources historiques, nous pouvons conclure que la Nativité de Notre Seigneur Jésus-Christ était célébrée bien avant le IIIe siècle, confirmant ainsi la Tradition de l’Église. L’usage romain de la célébrer le 25 décembre existerait déjà au IIe siècle. Il s’est étendu et a fini par dominer sur toutes les églises au début du Ve siècle. Auparavant, les autres communautés l’ont incluse dans la fête de l’Épiphanie fêtée le 6 janvier.

Or à cette époque, au II siècle, à Rome, la fête « sol invictus » n’a pas encore été instituée, le culte du mithracisme ne domine pas encore. Et c’est bien de Rome, prétextant une tradition très ancienne, que la date du 25 décembre s’est imposée dans tout l’Orient, là où les cultes orientaux sont prédominants.

Ces différentes informations tirées de nombreuses sources historiques peuvent remettre en cause l’argumentation de tous ceux qui affirment si nettement l’origine païenne de la fête de Noël, notamment de la fête « sol invictus » comme on le prétend si souvent. En outre, leurs argumentations ne suffisent pas puisque, comme nous l’avons déjà évoqué, il faut saisir la signification des célébrations pour pouvoir les comparer et parvenir à des conclusions plus satisfaisantes.



Notes et références

[1] Simon Mimouni, Les origines de Jésus dans la littérature chrétienne apocryphe, dans P. Geoltrain, Aux Origines du christianisme, Gallimard, Le Monde de la Bible, 2000, p. 528-529 dans Wikipédia, article « Nativité », 10 décembre 2015.
[2] Wikipédia, article « Nativité », 10 décembre 2015.
[3] Benoît XVI, Audience générale du mercredi 23 décembre 2009, dans Noël à Rome, La crèche racontée par le Pape, 23 décembre 2009, chiesa.espresso.repubblica.it.
[4] Voir Origines du cule chrétien, Mgr Duchesne.
[5] Voir Dictionnaire de liturgie, abbé Migne, Paris 1863.
[6] Ample calendrier, sorte d’almanach antique, de Furius Dionysius Filocalus, copié à l’origine dans un manuscrit du IVe siècle, compilation composé au plus tôt en 336. Voir Wikipédia, article « Chronographe de 34 ».
[7] Première version du chronographe de Filocalus.
[8] Saint Ambsroise, De virginibus, III. Discours du pape Libère pour la prise de voile de Marceline à Saint Pierre de Rome.
[9] Cardinal Schuster, Liber sacramentorum, tome II, 1939.
[10] Elle est appelée ainsi dans la Peregrinatio ad loca sancta, dite de Sainte Sylvie.
[11] Saint Jean Chrysostome, Homélie II sur Noël, www.portdusalut.com.
[12] Siméon Vailhé, Introduction de la fête de Noël à Jérusalem, dans Échos d’Orient, tome 8, n°53, 1905, http://www.persee.fr, 19/10/2015.
[13] Voir Les fêtes de Noël et d‘Épiphanie d’après les sources littéraires cappadociennes du IVe siècle, Mossay, dans Revue des études byzantines, 1968, volume 26, n°1.
[14] Saint Jérôme, Homélie dans Revue d’histoire et de littérature religieuse, tome I, dans Introduction de la fête de Noël à Jérusalem, Siméon Vailhé.
[15] Mort après 458.
[16] Basile de Séleucie, cité dans Introduction de la fête de Noël à Jérusalem, Siméon Vailhé.
[17] Analecta Bollandiana, tome XXII, n°62. Cette biographie aurait été écrite par Géronce, prêtre et supérieur des monastères de Sainte Mélanie sur le Mont des Oliviers.
[18] Voir Dormition et Assomption de Marie : histoire des traditions anciennes, Simon Claude Mimouni, Beauchesne,  1995.
[19] Saint Augustin, Sermon CLXXXIV, www.clerus.org.
[20] Saint Optat de Milève, sermon, dans Un Sermon de Saint Optat pour la fête de Noël,
[21] Sixte Jules l’Africain, (v.160/180 – v. 240), Chronographia.
[22] Voir L’année liturgique, Dom Guéranger, abbaye de Saint Benoît de Port-Valais, www.abbay-saint-benoît.ch, 2006.
[23] Dictionnaire d’archéologie chrétienne et de liturgie, tome I, dans Origine de la fête de l’Annonciation, Vailhé Siméon, dans Échos d’Orient, tome 9, n°58, 1906, http://www.persee.fr.

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