" La pierre précieuse, voire de grand prix aux yeux de certains, qu'est l'émeraude, se voit insultée par un morceau de verre habilement truqué, s'il ne se rencontre personne qui soit capable de procéder à un examen et de démasquer la faute. Et lorsque de l'airain a été mêlé à l'argent, qui donc, s'il n'est connaisseur, pourra aisément le vérifier ? "(Saint Irénée, Contre les hérésies)


samedi 22 mai 2021

Contre la Métempsychose : Saint Augustin

Comme nous l’avons évoqué dans notre précédent article, la métempsychose fait l’objet d’une grande attention de la part des Pères de l’Église dans les premiers siècles du christianisme. Elle est une des pensées dominantes du paganisme. Elle est aussi professée par des hérétiques. Or, cette doctrine est incompatible avec des vérités de foi fondamentales du christianisme. L’anthropologie sur laquelle elle se fonde est notamment contraire à celle que défend l’Église. Ainsi, les Pères de l’Église l’ont réfutée et clairement condamnée au point qu’à partir du IVe siècle, en Orient, la métempsychose ne les intéresse plus. En Occident, Saint Augustin poursuit le combat contre la doctrine platonicienne et le manichéisme. « À la fin de l’antiquité la notion de transmigration n’était certainement devenue plus que l’ombre d’elle-même : une spéculation issue d’un débat obsolète. »[1]

Saint Augustin contre la métempsychose

Par ses lectures et ses études, Saint Augustin connaît en effet la doctrine platonicienne à laquelle il a adhéré avant de s’être tourné vers manichéisme puis enfin vers le christianisme. C’est donc en connaissance de cause qu’il traite des idées philosophiques et manichéennes et cherche à réfuter leurs erreurs en s’appuyant sur leurs œuvres et sur leur enseignement. Or, la métempsychose est enseignée aussi bien par les néoplatoniciens que par les manichéens. Saint Augustin ne peut donc éviter le sujet.

En traitant du mystère de l’Incarnation de Notre Seigneur Jésus-Christ, Saint Augustin défend fermement la nature humaine telle que l’enseigne l’Église. « Le corps est associé à l’âme, afin que l’homme tout entier soit. »[2] Une autre traduction est plus précise : « le corps est uni à l’âme, et cette union fait l’homme total et complet. »[3] Il défend cette vérité de foi en raison de la forte opposition des païens, notamment du philosophe néoplatonicien Porphyre.

Saint Augustin cherche à connaître les raisons qui expliquent leur refus. Il va alors directement au cœur de leur objection. « Est-ce ce corps que la mort abat, que la résurrection transforme, et qui, affranchi désormais de la corruption et de la mort, s’élève glorieux vers le ciel ; est-ce cela ce que vous refusez de croire ? »[4] Il revient alors longuement et à plusieurs reprises sur la métempsychose telle qu’elle est enseignée par les platoniciens et néoplatoniciens. Il traite en effet de ce sujet dans différents traités sans en consacrer un ouvrage spécifique. Il l’expose en particulier dans plusieurs livres de La Cité de Dieu et dans deux sermons sur la résurrection. Bien qu’il reconnaisse dans le platonisme beaucoup de vérités et de conformité avec la doctrine chrétienne, Saint Augustin se montre un adversaire décidé à réfuter toute idée de métempsychose car non seulement celle-ci est incompatibilité avec les vérités de foi mais aussi avec la raison

La métempsychose selon les platoniciens et néoplatoniciens

Dans La Cité de Dieu, Saint Augustin précise les doctrines enseignées par les platoniciens, distinguant notamment celles de Platon et de Porphyre.

Selon Saint Augustin, les platoniciens ne peuvent pas considérer le corps terrestre comme « substance du mal » puisqu’ils « attribuent les éléments constitutifs de ce monde visible et tangible avec leurs différentes qualités, à Dieu en tant que Créateur »[5]. Ils voient néanmoins dans le corps la source de toute corruption de la vie humaine en raison de la nature de la matière, passible et corruptible. Lorsque l’âme, immortelle et sans faiblesse, habite dans un corps, elle reste asservie aux passions comme appesantie et alourdie par la chair. Comme elle est soumise aux sens, elle ne peut non plus connaître et contempler le monde intelligible. Elle demeure dans l’ignorance, ce qui est pour un pur esprit une peine et un malheur immense. Ainsi, par ses liens avec la chair, l’âme est non seulement jugée comme souillée mais aussi éprouvée. La purification de l’âme et son bonheur passent donc par sa séparation avec le corps. Pour connaître la véritable joie, il faut fuir le corps. Cependant, dans ce monde matériel, il est possible à l’âme de se détacher de la matière par la philosophie. Par conséquent, le composé que forment ensemble le corps et l’âme n’est pas naturel. Il est par conséquent forcé. Pour quelle raison ?

Considérant que l’homme souffre en ce monde, les philosophes ont supposée qu’il doit expier dans son corps une faute qu’il a commise dans le ciel ou dans une vie antérieure. « En effet, comme ils enseignaient, d’après leurs convictions, que l’âme des hommes est immortelle, ils durent rechercher les causes de ce qui affligent l’humanité, de tant de chagrins et d’erreurs auxquels sont sujets les mortels ; ils s’occupèrent de cette question avec leurs lumières purement humaines, et ils répondirent, comme ils purent, que dans une autre vie l’homme avis commis antérieurement je ne sais quelles fautes, et que ces fautes avaient mérité à l’âme d’être jetée dans le corps comme dans une prison. »[6] C’est donc pour expliquer le mal, que nous éprouvons, que les philosophes ont élaboré leur doctrine.

La purification de l’âme selon les philosophes platoniciens et néoplatoniciens

Pour expier une faute et donc par justice, les âmes sont placées dans des corps comme dans une prison. À la mort, une fois sortie du corps, elles connaissent des sorts différents selon la vie qu’elles ont menée. Tandis que l’âme des méchants retourne dans un autre corps, celle des bons monte au haut des cieux pour gagner un autre monde au milieu des étoiles comme le pensait Plotin ou dans une retraite inconnue auprès des dieux. Mais après un long repos, oubliant ce qu’elle a vécu, elle désire de nouveau rentrer dans un autre corps. Selon Saint Augustin, Platon présente en effet un cycle de réincarnations qui ne s’achève jamais puisque l’âme ne peut vivre éternellement sans le corps au point que son séjour auprès des dieux lui est même rendu impossible.

Porphyre ne partage pas cette idée. Il met en effet un terme à ce cycle en donnant à l’âme la possibilité de se régénérer et de retourner à Dieu, là d’où elle vient, pour s’unir à Lui afin d’être affranchie de tout mal, de toute souillure corporelle. Une âme ne retourne donc plus dans un corps et ne connaît plus sa corruptibilité. Mais il avoue néanmoins son ignorance sur les moyens qu’il permet à l’âme de se purifier et de se délivrer de son corps, soulignant alors indirectement l’impuissance de la philosophie grecque à trouver cette voie mais aussi la stérilité de « l’austère discipline des sages de l’Inde »[7] ou encore celle des chaldéens. Nul n’a encore trouvé ce chemin. Saint Augustin revient alors sur « cette voie qui purifie tout l’homme »[8], une voie qui ne se réduit pas à l’âme comme le croyait Porphyre. « Il se charge de tout l’homme, ce purificateur véritable ce puissant Rédempteur. »[9] Mais pour y croire, faut-il d’abord qu’il se détache de l’orgueil de son esprit…

La réincarnation dans un corps humain ou animal ?

Saint Augustin distingue aussi la métempsychose enseignée par les platoniciens selon la nature du corps dans lequel l’âme se réincarne. Platon enseigne que l’âme humaine après la mort retourne dans un corps humain ou animal. Dans Phédon, nous apprenons en effet que les hommes qui ont pratiqué les vertus sociales et civiques de modération et de justice « renaîtront dans une espèce analogue d’animaux paisibles et sociaux, comme des abeilles, des guêpes, des fourmis ; ou même qu’ils rentreront dans des corps humains, et qu’il en résultera des hommes de bien. »[10] Nous retrouvons aussi cette renaissance dans l’âme dans des corps animaux dans Timée et dans la République. Chaque animal devient en quelque sorte l’incarnation d’un tempérament.

Porphyre ne croit qu’à la réincarnation de l’âme humaine dans un corps humain, « par la honte de penser qu’une mère transformée en mule puisse servir de monture à son fils »[11]. Cependant, il ne semble ne pas s’inquiéter que l’âme d’une mère puisse se réincarner dans la femme de son fils. La plupart des néo-platoniciens adhèrent aux idées de Porphyre. « Sans les enseignements de Dieu, sans les enseignements des prophètes, ils n’ont pu rien découvrir d’authentique et ils ont été réduits à des conjectures »[12]. Saint Augustin montre ainsi que ce sujet dépasse la raison.

Erreurs et contradictions dans la métempsychose selon Platon 

Saint Augustin revient longuement sur le cycle interrompu des réincarnations selon la doctrine de Platon. Que l’âme soit celle d’un mauvais ou d’un juste, sa peine est la même. La seule différence qui les distingue est le long séjour au cours duquel le bon peut se reposer alors que le mauvais retrouve un corps dès le mort. Où est alors la justice ?

Mais comme le souligne Saint Augustin, le sort du juste est même plus affreux que celui du mauvais. « Si cet oubli leur suggère le désir de leur corps, où le mal va de nouveau les enlacer ; il faut le dire, leur souveraine félicité devient la cause de leur malheur, et leur parfaite sagesse, celle de leur folie, et leur dernière purification, celle de leur impureté. »[13] Non seulement l’expiation des fautes est inutile mais encore l’âme du juste est trompée. Le cycle de la transmigration de l’âme est alors un véritable malheur puisqu’il se présente comme « une alternative sans fin de purifications et de souillures nouvelles »[14]. Ainsi, « tu mènes une vie malheureuse, mais tu espères la bienheureuse vie ; au lieu que tu jouiras alors de la vie bienheureuse, mais avec l’espoir de la vie malheureuse. Ne s’ensuit-il pas que le bonheur est dans l’attente du malheur, et le malheur, le bonheur ? »[15] Conscient de ces contradictions, Porphyre a mis un terme à ce cycle éternel.

Le désir du corps

Mais comment l’âme peut-elle oublier la vie qu’elle a vaincue tout en désirant se réunir à quelques corps ? Les philosophes cherchent peut-être à montrer que l’âme désire naturellement son union avec un corps et qu’elle ne peut vivre sans habiter un corps. Par conséquent, la plénitude de son bonheur lui serait-elle impossible sans le corps ? Pourtant, les mêmes philosophes ne cessent de prouver que ce bonheur réside dans la fuite du corps. Saint Augustin revient sur ce désir qui apporte en fait un argument favorable à la résurrection de la chair.

En outre, puisque l’âme éprouve le désir de retourner dans le corps et donc de se souiller par de nouveaux liens avec la chair, « le germe de tous mouvements illégitimes et déréglées de l’âme »[16] se trouve aussi dans l’âme elle-même, pourtant libre de toute souillure. « Ainsi, de leur aveu, ces affections de l’âme, désir et crainte, joie et tristesse, n’ont pas la chair pour principe unique ; mais l’âme aussi peut d’elle-même être agitée de ces mouvements divers. »[17]

La métempsychose selon le manichéisme

Le manichéisme[18] professe le dualisme radical dans l’homme en raison de leur conception de la vie. En effet, leur doctrine se fonde sur un principe simple : tout ce qui existe provient de deux principes contraires, l’un spirituel et bon, l’autre matériel et mauvais. Le premier est appelé lumière, le second, ténèbres. Chacun dispose d’un royaume. Les ténèbres cherchent à s’emparer du royaume de la lumière. Au cours du combat, le principe bon se mêle au principe mauvais, entrainant la création de la matière. Les étincelles de lumière, qui constituent l’âme, se trouvent emprisonnées dans la matière. Le salut passe donc par leur libération graduelle. Ainsi, selon le manichéisme, « composé de deux éléments contraires, la substance mauvaise et les parcelles de lumière, l’homme ressent continuellement un combat intérieur et ne peut atteindre le bonheur qu’en libérant son âme des liens du corps. »[19]

La doctrine du manichéisme consiste alors à expliquer la provenance du mal et la manière de s’en délivrer. Les moyens sont le jeûne, les prières, les ablutions et tout ce qui permet de s’éloigner de la souillure de la matière : refus de toute nourriture provenant des animaux pour ne pas se souiller de la matière, interdiction de porter atteinte à toute vie y compris celle des végétaux pour ne point maltraiter les âmes, interdiction du mariage et de toute procréation des enfants pour ne pas contribuer à l’extension des ténèbres. Ceux qui suivent ses règles, c’est-à-dire les élus, peuvent être délivrés immédiatement de la substance mauvaise et retourner à l’union avec la lumière. Les autres, fidèles de degrés inférieurs, peuvent seulement espérer se réincarner dans un élu, voire dans la nourriture que les élus absorbent. Enfin, ce combat entre le bien et le mal aura un terme où les âmes qui se seront libérées de leur corps pourront rejoindre le royaume de lumière, qui jouira d’une paix et d’un bonheur imperturbable alors que les autres rejoindront le royaume des ténèbres, condamnés aux tortures éternelles.

Une doctrine fantaisiste et absurde

La théorie de la métempsychose prend une place importante dans les réfutations de Saint Augustin contre le manichéisme. Bien que les manichéens utilisent la Sainte Écriture pour se justifier, le Père de l’Église fonde son argumentation sur des méthodes rationnelles. En effet, il la considère comme de la pure fantaisie et de l’absurdité.

Selon Saint Augustin, l’erreur de leur doctrine provient essentiellement d’une méconnaissance de Dieu qui aboutit à une fausse conception de la nature humaine. Par conséquent, il cherche d’abord à montrer en quoi leur concept de Dieu est erroné. Leur doctrine remet en cause la toute-puissance de Dieu et son immutabilité. Comment peut-elle en effet expliquer qu’une partie de lui-même, c’est-à-dire les étincelles de lumière, se laisse emprisonnée dans une substance mauvaise ? Si cela n’est pas fait involontairement, il serait profondément cruel. Comment est-il aussi possible de considérer l’union de l’âme et du corps comme un péché alors que son état est indépendant de sa volonté ? Il n’y a donc point de justice.

Selon Saint Augustin, le mal physique n’est pas une réalité positive mais un manque alors que le mal moral prend sa source dans une volonté mauvaise. Le péché consiste en une transgression de la loi divine. Or, la situation de péché dans laquelle se trouve l’âme réside dans son union avec le corps, dans les liens qui les unissent.

Par conséquent, avec une telle conception du mal, le manichéisme s’égare dans les solutions pour délivrer l’âme du péché. Les manichéens voient leur libération dans leurs propres œuvres. Les étincelles de lumière qui proviennent de Dieu rejoignent le royaume des lumières grâce à leurs actions. Finalement, ils sont les sauveurs de Dieu. Enfin, ils ne se considèrent pas responsables du mal et des péchés qu’ils commettent mais les attribuent à un principe mauvais. Par conséquent, le pardon ou l’expiation des fautes n’ont pas de sens. La vraie prière est aussi absurde.

Saint Augustin s’attaque aux détails de la doctrine pour montrer les contradictions et les absurdités que contient la doctrine manichéenne de la métempsychose.

Conclusions

La passibilité et la corruptibilité du corps s’opposent à la nature spirituelle et à l’immortalité de l’âme. La métempsychose se fonde sur l’idée du dualisme que constitue l’homme par son corps et son âme.  Chez les philosophes païens, le corps est le lieu du mal alors que chez les manichéens, il est de nature mauvaise. Or, par sa nature ou par son origine, l’âme est bonne. Le dualisme soulève alors de nombreuses questions auxquelles tentent de répondre leurs doctrines. Comment l’âme considérée donc comme bonne, voire divine, peut-elle se laisser emprisonnée dans la chair décrite comme une prison ? Comment l’âme peut-elle alors fuir ce corps pour retrouver son état naturel ? Les philosophes et les manichéens tentent alors de répondre en faisant appel à une faute à expier et donc à une nécessaire purification au travers du corps, considéré alors comme lieu d’épreuve. L’âme se souille par le corps mais se libère aussi par le corps.

Connaissant bien ces doctrines, Saint Augustin nous fait comprendre leurs principales erreurs. Les philosophes comme les manichéens tentent en effet d’expliquer l’existence du mal en rendant l’âme innocente de la situation dans laquelle elle est et de décrire des moyens pour obtenir le bonheur par la force seule de l’homme. Or, comme tout système erroné, ils ne peuvent empêcher les contradictions qu’il contient. Comment l’âme peut-elle en effet expier une faute dont elle est innocente et dont elle n’a plus souvenance ? De telles doctrines remettent aussi en cause l’idée même d’un Dieu bon et puissant. Enfin, elles récusent l’individualité de l’âme.

La métempsychose semble présenter des éléments communs avec le christianisme : la nature humaine constituée d’un corps et d’une âme, la corruptibilité du corps, l’immortalité de l’âme, la nécessité d’expier une faute originelle, l’idée d’une sanction après la mort selon la vie vécue, le salut de l’âme comme repos auprès de Dieu... Cependant, que d’erreurs et d’incompatibilité avec les vérités de foi ! L’expiation d’une faute n’est pas liée à l’idée du péché mais d’une purification de l’âme. La vie éternelle est conférée à l’âme juste non en raison de la volonté et de l’amour de Dieu mais de sa nature et de sa fusion en une puissance supérieure. Les notions de péché et de grâce n’ont pas de place dans la métempsychose. Comme le souligne Saint Augustin à l’égard des manichéens, le juste est son propre sauveur. Il parvient par lui-même à réparer l’impuissance ou la négligence de Dieu ! Notons enfin que contrairement à la métempsychose, le salut de l’homme ne vient pas d’une élévation de l’âme vers le ciel mais de la descente de Dieu ici-bas. Le Verbe s’est fait chair…

Le chrétien ne peut donc croire à la métempsychose ou à toute forme de réincarnation sans renier sa foi. Non seulement elle s’oppose à des vérités de foi, comme celle de la résurrection de la chair mais elle remet en cause tout le christianisme. Elle est aussi folie. Comme le montre notamment Saint Augustin, la raison s’oppose à une telle doctrine …


Notes et références

[1] Helmut Zander, Geschichte der Seelenwanderung in Europa, 1999, trad. Par Bruno Michin dans Archives de sciences sociales des religions, n°134, avril-juin 2006, éditions EHESS, journals.openeditions.org.

[2] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXIX, traduit par Louis Moreau, 1846, éditions du Seuil, 1982.

[3] Traduit par Émile Saisset dans Œuvres complètes de Saint Augustin, tome XIII, éditions L. Guérin & Cie, 1869.

[4] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXIX.

[5] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XIII.

[6] Saint Augustin, Sermon CCXL,  4, dans Œuvres complètes de Saint Augustin, trad. par l’abbé Raulx, 1866.

[7] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXXI.

[8] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXXI.

[9] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXXI.

[10] Platon, Phédon, 82, b, trad. par Victor Cousin, Œuvres de Platon, tome I, 1903.

[11] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXX.

[12] Saint Augustin, Sermon CCXLI, 4.

[13] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXX.

[14] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXX.

[15] Saint Augustin, Sermon CCXLI, 6.

[16] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXX.

[17] Saint Augustin, La Cité de Dieu, livre X, XXX.

[18] Voir Émeraude, décembre 2013, articles « Le Manichéisme » et « Saint Augustin et le manichéisme : raisons du succès et de l'échec du manichéisme ».

[19] Aloys Bukowksi, L’opinion de Saint Augustin sur la réincarnation des âmes dans Gregorianum, volume 12, n°1, 1931, jstorg.org.

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