Le New Age ne s’enferme pas facilement
dans une parole. Notre vocabulaire
nous semble bien pauvre pour décrire en un mot ce qu’il est. Pourtant, il
suffit de prononcer cette expression vieillie pour que de nombreux
contemporains le dénigrent par des accusations sévères, n’y voyant que bêtises
humaines, ignorances et superstitions. Sûrs d’eux-mêmes, ils ne craindront pas
de n’y voir qu’un phénomène sans envergure ni danger. Sans-doute, ils songeront
aux hippies et aux soixante-huitards attardés, ou encore aux révoltés de 68. D’autres,
ne se souciant guère du passé et encore moins des on-dit, lanceront un pourquoi
pas. Sans bagage ni souvenir, ils sont plus légers et plus prompts à
s’aventurer sur des chemins moins tracés.
Pour
mieux comprendre ce qu’est le New Age, essayons de retrouver ses principaux architectes. La tâche
est plutôt ardue car là encore se trouvent bien des mystères. Cependant, dans
tous les articles et ouvrages qui évoquent ou traitent de ses origines, deux
noms se répètent : Lindisfarne et
Esalen. Prenons donc ces chemins
afin d’y voir plus clairs. Allons d’abord à Lindisfarne…
William
Irwin Thompson (1938-2020), fondateur de l’association Lindisfarne
Pour
l’émergence de cette culture planétaire, l’élite
dans tous les domaines doit être rassemblée dans un même réseau. Scientifiques,
artistes, enseignants, religieux, activistes politiques, économistes et bien
d’autres experts doivent se réunir pour la mettre en place. C’est le rôle de
l’association Lindisfarne.
David
Spangler, la naissance du New Age
Avant
de rejoindre l’association Lindisfarne en 1973, Spangler participe au
développement de la communauté dite de Findhorn,
« communauté spirituelle
internationale »[4], autre
centre du New Age qu’ont fondé Peter et Eileen Caddy et Dorothy Maclean dans le
Nord de l’Écosse. Dans leur caravane, installée sur un terrain de camping, ils
multiplient les communications spirituelles avec les « dévas », sortes de divinités du
bouddhisme[5] qu’ils
considèrent comme l’esprit des plantes afin de mieux pouvoir les nourrir.
Lindisfarne,
une association en proie à des difficultés
Retournons
à New York, dans la nouvelle académie de la culture planétaire. Les conférences
qu’elle propose chaque année confirment cette volonté d’une nouvelle façon de penser. Elle présente en 1974 la culture
planétaire et la nouvelle image de l’humanité, puis l’année suivante,
l’évolution consciente et l’évolution de
la conscience. En 1976, elle prend possession d’une église, celle de la Sainte
Communion et de ses bâtiments, véritables monuments historiques de New York.
Jusqu’en 1979, elle est le siège de l’association de Lindisfarne et d’un centre
culturel. De généreux bienfaiteurs fournissent à Thompson des terres près de
Spanish Creek en Colorado sur lesquels s’élèveront des bâtiments sous la
propriété et la gestion de Crestone Moutain Zen Centre. Ce dernier offre des
exercices et des méditations Zen sous la direction de Zentatsu Baker Roshi.
Essayons
désormais de connaître ceux qui participent à l’association Lindisfarne. La
liste serait bien longue. Nous y côtoyons philosophes, mathématiciens,
physiciens, biologistes, anthropologues, économistes, politologues,
architectes, compositeurs, poètes,… Parmi ces partisans, plus ou moins fidèles,
retenons certaines figures…
L’historienne
Élaine Pagels
Commençons
par un spécialiste des religions, Élaine
Pagels. Née en 1943, elle est historienne et théologienne américaine, professeur
d’histoire des religions à l’université de Princeton et auteur de nombreuses
ouvrages, notamment The Gnostics Gospels (1979), Évangiles
secrets (1980), Adam, Ève et le serpent (1988) et l’Origine
de Satan (1995). Elle remet en
cause l’enseignement du christianisme en défendant l’idée d’une évolution
progressive des dogmes et des croyances chrétiens jusqu’au IVe siècle au
détriment du gnosticisme pour des raisons arbitraires. Elle scrute les Saintes
Écritures et les textes hérétiques pour démontrer les inventions théologiques
du christianisme. Elle prend plutôt partie pour le gnosticisme [12],
auquel Saint Paul aurait adhéré.
Le
moine Steindl-Rast
En
2000, Steindl-Rast a aussi cofondé l’organisation A Network for Grateful living,
chargé de diffuser « la gratitude
attitude » et d’offrir des pratiques permettant de trouver « une vie plus éveillée, plus joyeuse et
pleine de sens ». Cette « attitude
positive » consiste à éprouver
un sentiment de reconnaissance, source de véritable bonheur. « C’est un mode de vie qui nous invite à ne
rien prendre pour acquis, en cultivant la conscience et l’appréciation de la
plénitude de nos vies. […] Nous
approfondissons notre engagement et embrassons la vie dans toute son intensité
et sa préciosité. »[13]
Mais
de tous ces centres d’intérêts et prises de positions, pouvons-nous identifier
une unité ou encore une idée forte ? Nous pensons l’avoir trouvé dans un
de ses articles [16]
dans lequel il défend le panenthéisme.
Ce terme signifie que tout est en Dieu par opposition au panthéisme qui admet
que tout est Dieu [17]. « La mystique de la gratitude nous fait saisir
que jamais le christianisme n’a été théiste, mais panthéiste. La foi en Dieu
unique et trinitaire impliquait ceci dès le début ; maintenant nous en
prenons en conscience. » C’est « un courant sous-jacent à toutes les religions, un courant plus ancien
et plus puissant que les diverses doctrines. Au cœur du dialogue interreligieux
est ce courant de spiritualité partagée de gratitude, une spiritualité assez
forte pour restaurer l’unité de notre monde en morceaux. »
Le
mathématicien Ralph Abraham
Ralph
Abraham, né en 1936, est un mathématicien américain réputé, porté sur le développement d’une théorie du chaos
dans un système dynamique [18]. Mais
sa science ne se limite pas aux mathématiques. Il applique en effet sa théorie dans l’histoire de l’humanité. Dans un
de ses ouvrages, intitulé Chaos, Gaia, Eros, il décompose
l’histoire humaine en trois âges à la lumière de trois mythes, où s’affrontent
l’ordre et le désordre, le cosmos et le chaos. À l’origine, l’homme vit dans
l’âge de la stabilité, au cours duquel apparaissent l’agriculture et la
sédentarisation, avant de connaître l’âge périodique, où l’ordre domine sur le
désordre, avec l’invention de l’écriture, époque où se développent la politique
et les religions. Puis, à partir des années 60, le chaos commence à domine le
cosmos. C’est l’âge chaotique. « En
somme, l’opposition ordre/désordre nous a menés au bord du gouffre. Ce qu’il
faut pour rendre notre société vivable, c’est une pincée de chaos. Seule cette
prise de conscience, grâce à l’union des mathématiques et de la philosophie, va
permettre de jeter les bases d’une nouvelle religion et de nouveaux modes de
comportement. »[19]
L’anthropologue Grégory Bateson (1904-1980),
Réunissant
des spécialistes mathématiciens, psychiatres, biologistes, etc., Bateson fonde
l’école de Palo Alto en Californie,
« creuset d’une intense réflexion
sur les interactions sociales, la communication et les thérapies familiales. »[21] Elle
« proclame haut et fort que l’ère de
l’individu a pris fin. L’homme psychologique n’est qu’une illusion. La primauté
revient aux systèmes d’interaction […] dont l’individu n’est qu’un élément et,
dans une large mesure, un produit … »[22]. Mais,
il s’en éloigne pour étudier les communications animales comme celles des
dauphins.
En
1972, son livre Vers une écologie de l’esprit le rend célèbre. L’« écologie de l’esprit » traduit
l’ensemble des relations qui lient
l’homme à son environnement. Il y trouve un remède à l’individualisme.
« La monstrueuse pathologie atomiste
que l’on rencontre aux niveaux individuels, familial, national et international
– la pathologie du mode de pensée erroné dans laquelle nous vivons tous – ne
pourra être corrigée, en fin de compte, que par l’extraordinaire découverte des
relations qui font la beauté de la nature. »[23] Il
demande alors aux scientifiques d’abandonner leur vision simple à laquelle ils
sont accoutumés pour envisager le monde
comme un ensemble de relations et pour retrouver
le sens de l’unité. « Le sacré,
c’est la communion, la communion de notre individualité avec la structure
dynamique de l’écosystème. »[24] Finalement,
Bateson est un de ces « penseurs
originaux »[25] à la
recherche d’un « nouveau cadre de
référence conceptuel pour l’investigation scientifique des sciences de la
vie »[26].
Pour cela, il fait converger des savoirs
de plusieurs domaines tels que la biologie, l’anthropologie, la
communication ou la psychiatrie. « Son
dernier ouvrage La Nature et la Pensée
(1979), paru l’année précédant sa mort, le consacre comme défenseur de
l’interpluridisciplinarité et du pont entre biologie et sciences sociales. »[27]
L’économiste
Ernst Friedrich Schumacher (1911-1977)
En
effet, Schumacher veut concilier
économie et développement humain puisque l’homme se réalise dans son
travail et que nos ressources sont limitées. Il connaît la célébrité avec son
ouvrage Small is beatiful : a
study of Economics as If people Mattered [28], publié en 1973. Dans ce livre, il dénonce la pensée
économique classique qui ne se préoccupe que de production de biens matériels au détriment des besoins essentiels de
l’homme et qui contribue à la
destruction de l’environnement par un système technologique démesuré. L’homme
moderne ne fait que gaspiller les ressources de la planète, n’ayant pour
obsession que la croissance économique. Il souligne aussi les échecs de l’éducation en dépit des efforts fournis. Il critique
enfin la démesure technologique qui
détruise la structure des sociétés modernes. « Nous sommes aujourd’hui victimes d’une idolâtrie quasi universelle du
gigantisme. »[29]
À
partir de ce constat, Schumacher définit la
cause de tous ces maux. « Il voit
dans la perte de toute métaphysique, de toute transcendance et dans la
relativisation de l’éthique, l’origine première des maux d’une société
occidentale qui fait systématiquement valoir les moyens sur les fins. »[30] Il
prône donc le retour à une économie respectueuse de l’homme et de la vie sous
toutes ses formes, au respect des équilibres naturels et des limites à ne pas
dépasser, notamment par une technologie intermédiaire, qui se situe entre les techniques
primitives et les technologies sophistiquées, c’est-à-dire une technologie à visage humaine, conviviales, décentralisées et
écologiques. Il en appelle au retour de la mesure, à la simplicité et aux
petites structures. « Toute activité
qui ne respecte pas ce principe d’autolimitation est diabolique. » Enfin,
il plaide pour une éducation qui laisserait
une place à la métaphysique, donnant sens à ce qui est.
Mais,
et c’est le drame de notre société, l’homme
moderne ne croit qu’en ses moyens pour résoudre ses problèmes. Or, le
remède ne réside pas dans la science ou l’économie, ni dans l’augmentation de
la richesse ou dans de nouvelles sources d’énergie, mais dans la sagesse. « En réalité, c’est la logique de production
qui se trouve à l’origine du mal, car elle n’est pas une logique de vie, ni une
logique social. »[31] Il
prévoit ainsi la nécessité d’un « grand
changement philosophique, pour ne pas dire religieux. »
En
1977, son livre A Guide for the Perplexed renouvelle sa critique du
matérialisme scientiste et explore la nature et l’organisation du savoir
occidental, proposant une philosophie de
vie. « L’économiste en était
arrivé à la conclusion que les humains devraient restreindre son appétit
économique à l’aide de croyances éthiques ou spirituelles, faute de quoi ils
dépouilleraient le monde de ses ressources. »[32]
En
1980, Andrew Plotsky a fondé le Schumacher Center for New Economics [33] pour
imaginer une économie mondiale juste et durable selon les idées conçues par
l’économiste « contre-culturel »[34] E.F.
Schumacher. Ce centre applique ses concepts localement dans la région de
Berkshires au Massachusetts puis les partage pour une large application. Ce
centre de recherche diffuse aussi des « conversations »[35] qui ont
eu lieu lors des réunions des Lindisfarne Fellow.
L’ex
hippy Stewart Brand
Passons
rapidement sur Stewart Brand (1938), « figure
de la contre-culture américaine dans les années 60 »[36], fondateurs
de nombreuses organisations et publications. L’une d’entre elles est le Whole
Earth Catalog, destiné à contribuer au développement d’une contre-culture fondée sur le
développement technologique et l’écologie. « Pour l’auteur, plus qu’une simple publication, le Whole Earth Catalog
est une technologie intellectuelle », « un espace où les différentes communautés produisent simultanément de
nouveaux cadres intellectuels et de nouveaux réseaux sociaux. »[37] Depuis
les années soixante-dix, il s’intéresse à la cybernétique et à l’informatique,
puis à l’Internet. Il y voit le moyen de créer de nouvelles communautés et
tente de constituer « une élite
collaborative et nomade capable de distinguer des lois invisibles au cœur des
systèmes naturels et économiques. »[38]
Le
poète Wendell Erdman Berry
Dans
un de ses ouvrages, Berry oppose deux
modèles économiques, images de deux modes de rapport au temps et à l’être.
Le modèle de l’exploitation de la terre, qui a donné lieu à l’agriculture
industrielle, n’est soucieux que de production et de profit immédiat alors que
le modèle de la culture est fondé sur l’entretien de la terre. Ces deux modèles s’incarnent dans des types
d’homme, le premier dans l’exploitant qui « ne se préoccupe que de savoir ce que peut produire une terre et comment
la faire produire le plus vite possible », le second dans le
cultivateur qui « se pose une
question bien plus complexe et difficile : quelle est sa capacité de
production, […] que peut-elle
produire indéfiniment sans faillir ? »[41] L’un
construit une organisation quand l’autre se plie à l’ordre humain. En cherchant
la productivité à tout prix, la
civilisation industrielle a rompu l’union entre la vie intérieure et la vie
active. « Nous avons dégradé les
produits du travail et nous sommes à notre tour dégradés par eux. »
L’origine des différentes crises, notamment énergétique, se trouve dans « l’ignorance morale et la faiblesse de
caractère ». Leur remède réside donc dans « notre style de vie dont chaque personne porte la responsabilité ».
Ainsi, il cherche à développer la
conscientisation de ce qu’on fait, la responsabilisation de l’individu et
l’harmonisation de la relation entre l’homme et la nature ou encore au
développement des communautés locales. Enfin, inspiré par le protestantisme, il
nous exhorte à lire la Sainte Écriture « à la lumière de l’état dans lequel se trouve la Création »[42].
Conclusions
Il
ne s’agit pas d’une révolution bruyante et violente, politique ou sociale mais
d’une transformation individuelle et
pratique, ou encore pragmatique. Cette transformation se fonde sur des
associations qui proposent des livres, des services, des conseils, ou encore
des outils facilement accessibles. Ces différentes pratiques et ouvrages qui se
fondent sur ces idées communes tendent à offrir
un mieux-être, de meilleures relations, un bonheur plus sensible. Elles
parviennent ainsi à toucher un grand nombre d’individus, à modifier leur perception,
leur manière d’être ainsi que leur vie quotidienne. C’est ainsi que
progressivement, de manière inodore et sans éclat, leur vision du monde, de l’homme et de la vie change peu à peu. Et
sans s’en rendre compte, discrètement, inconsciemment, ils sont gagnés par le
New Age…
Mais
leur solution n’est pas si différente des maux qu’ils condamnent. Elle relève
en effet des mêmes causes. Elle s’appuie
encore et toujours sur l’homme seul. Leur regard est désespérément tourné
vers l’homme…
Notes et références
[1] Titre original : At The Edge of History : speculations
on the transformation of culture.
[2] Ralph Peters, The Gaian Politics of Lindisfarne’s William
Irvin Thompson dans EarthLight Magazine, n°47, 2002/3,
www.earthlight.org.
[3]
Voir Wikiwand,
article David Spangler, accessible le 23 novembre 2020.
[4]
Voir www.findhorn.org.
[5]
Voir Émeraude,
octobre 2020, article « Les bouddhismes traditionnels : connaissances
élémentaires. Diversité et socle commun ».
[6]
Traduit du site de Facebook.com de l’association Lorian.
[7]
Page d’accueil de Lorian.org.
[8] Voir williamirwinthompsonblog.wordpress.com/the-lindisfarne-fellows-1975-2012.
[9] Voir Gaia II, Emergence : the science of
Becoming, S. Oyama, 1990.
[10]
Par exemple : Homage to Pythagoras :
rediscovering sacred science en 1994, Archetypal imagination en 1992.
[11]
Étude
sur la nature des mouvements écologistes, 4, Maurice Strong, 1er
janvier 2005, Larecherchedubonheur.com.
[12]
Voir Émeraude,
juin 2013, article « L'enseignement de Saint Irénée de Lyon sur le
péché originel ».
[13]
Site Web gratefulness.org, 29 novembre 2020.
[14]
Suzanne Proctor et Marie-Françoise Touret, Nouvelles sciences et nouvelles spiritualité,
site sagesse-marseille.com.
Elles rendent compte d’un cours du physicien Fritjof Capra en mai 1992 auquel
était invité David Steindl-Rast. Le scientifique et le moine ont écrit un livre
intitulé Belonging to the universe. Titre en français : L’univers
aux frontières de la science et de la spiritualité, éditions Sans,
1994.
[15]
Daniel S. Larange, Neurosémiotique et bouddhisme, Dialogue interculturel entre la science
et la conscience, selon L’univers aux frontières de la science
et de la spiritualité, Sand, Capra et Steindl-Rast, 1994.
[16]
David Steindl-Tasr, Reconnaissance, bulletin n°14, juillet 2002, dimmid,
dialogue interreligieux monastique, dimmid.eu.
[17]
Voir Dictionnaire
de Littré, littre.org.
[18]
Il est l’auteur d’un ouvrage de référence sur la théorie, The Chaos Avant-Garde :
Memories of the Early Days of Chaos Theory, publié en 2000.
[19]
Nicolas Witkowski, Chaos, Gaïa, Médias, dans Raison présente, n°115, Autour
du Chaos, www.persee.fr.
[20]
La cybernétique est définie comme la science de la communication et du
contrôle.
[21]
Xavier de la Vega, Gregory Bateson, Une écologie de la communication, dans Les
grands penseurs des sciences humaines, 2016, www.cairn.info.
[22]
Dominique Picard, Edmond Marc, Chapitre V, La psychothérapie, Dominique Picard édition, L’école de Palo Alto, Presse universitaire de France, Que
sais-je ?, www.cairn.info.
[23]
Bateson, Vers une écologie de l’esprit, 1972.
[24]
Jean-Jacques Wittezaele, L’écologie de l’esprit selon Grégory Bateson,
revue en ligne Multitude, n°24, printemps 2006, Ecopolitique now.
[25]
Jean-Jacques Wittezaele, L’écologie de l’esprit selon Grégory Bateson.
[26]
Laurence Franck cité dans Batson : The Leagacy of a Scientist,
Beacon Press, dans L’écologie de l’esprit selon Grégory Bateson, Jean-Jacques
Wittezaele.
[27]
Bateson
Gregory, Gilles Marchand, Sciences Humaines, hors-série,
n°38, septembre/octobre/novembre 2002, scienceshumaines.com.
[28]
« Ce qui est petit est bel et
bon : une étude de l’économie comme si les gens importaient ».
[29]
Schumacher, Small is beautiful. Une société à la mesure de l’homme, dans Small
is beautiful, alerte-environnment.fr, 30 octobre
2010.
[30]
René Sigrist, Ernst Friedrich Schumacher (1911-1977) : le monde moderne et ses
ressources, 1er décembre 2018, nosfuturs.ch. L’auteur résume le
livre Small is Beautiful : a study of economics as If People Mattered,
1973, trad. Small is beautiful. Une société à la mesure de l’homme, 1979.
[31]
René Sigrist, Ernst Friedrich Schumacher (1911-1977) : le monde moderne et ses
ressources.
[32]
Magalie Masson, Robert Leonard honoré à l’international, actualités UQAM, 30
juin 2020, actualites.uqam.ca.
[33]
Voir centerforneweconomics.org.
[34]
Voir centerforneweconomics.org,
page about, “our mission”, lu le 27 novembre 2020.
[35]
Voir centerforneweconomics.org,
page “lindisfarne-tapes”.
[36]
Guillaume Pajot, Steward Brand, pape de la dé-exctinction, liberation.fr, 29 juillet
2015.
[37]
Frad Turner, Aux sources de l’utopie numérique, De la contre-culture à la cyberculture,
Steward Brand un homme d’influence, trad. de l’anglais par Laurent
Vannini, C&F, 2012, journal.openedition.org.
[38]
Frad Turner, Aux sources de l’utopie numérique.
[39]
Auteur notamment de La Santé de la , essai agrarien (2018), Nul lieu n’est meilleur que le
monde (2018).
[40]
Renaud Beauchard, article de L’Esprit portant sur La
Santé de la terre. Essais agrariens de Wendell Berry, janvier-février
201, esprit.press.fr.
[41]
Wendell Berry, Unsettling of America, dans Wendell Berry et Bernard Charbonneau,
critiques de l’agriculture industrielle, L’Agora, vol. 8, n°3,
juin-juillet 2001, agora.qc.ca.
[42]
Renaud Beauchard, article de L’Esprit portant sur La
Santé de la terre. Essais agrariens de Wendell Berry, janvier-février
201, esprit.press.fr.
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