Les
hérauts de l’humanité s’appuient souvent sur des mensonges que leurs aînés ont
fabriqués pour noircir une réalité bien plus complexe comme peut l’être la vie
humaine. Ils peuvent aussi s’appuyer sur des études publiées dans les années
60, qui peignent une Église méprisante à l’égard du corps et du monde. En notre
époque où le corps est l’objet de toutes les attentions et convoitises, une
telle peinture pourrait écarter de la foi bien des hommes de bonne volonté. Cependant, en ce XXIe siècle
moins furieux contre le christianisme, en raison sans-doute de sa situation
très affaiblie, ces études ont perdu de la consistance et de la crédibilité.
Elles ont en effet été bien relativisées par des recherches plus rigoureuses et
objectives.
Ces
études anciennes décrivent un christianisme corrompu par des pensées étrangères
qui ont dénaturé le message évangélique. Elles prônent alors le retour aux
sources et à l’authenticité. D’un trait de plumes, elles effacent alors vingt
siècles d’histoire et pensent ainsi ouvrir une ère nouvelle. Parmi les
coupables, elles citent les religieux du XIIe siècle, et plus précisément
les auteurs d’une réforme monastique. Selon toujours ces études, ce réveil
du monachisme a entraîné le christianisme dans une attitude méprisante à
l’égard des réalités terrestres et ainsi éloigné l’Église du monde moderne. Pour
mieux comprendre ces accusations portées contre les religieux, écoutons l’un de
ses plus grands accusateurs. Il s’agit de Robert Bultot (1929-2017). Ses
ouvrages ont défrayé la communauté des historiens dans les années 60 et ont
donné lieu à une furieuse controverse. Celle-ci mérite de s’y attarder. Elle
est révélatrice d’une méthode qui explique bien des révolutions.
L’histoire est parfois un alibi pour des intentions bien peu historiques…
Robert
Bultot, à l’attaque contre la doctrine du mépris du monde dans le christianisme
Nous
allons surtout nous intéresser à son principal ouvrage portant sur le Christianisme
et le mépris du monde, qui provient d’une thèse de l’auteur. De
nombreux historiens ont réagi contre ce livre, présentant les faiblesses
méthodologiques et les erreurs.
Pierre
Damien contre les valeurs humaines
Selon
son enseignement, le corps serait impur d’abord en raison de sa nature matérielle.
« Qui ne serait contraint de
reconnaître qu’il n’est que pourriture lorsqu’il considère la laideur à ce
point obscène de son origine ? »[4]
Selon Bultot, sa conception du corps viendrait donc de sa conception erronée de
l’œuvre de la création. « Le mépris
du monde que prêche Pierre Damien n’exprime […] pas seulement le détachement ni le renoncement évangélique : il
comporte une réelle oblitération du sens de la création »[5].
Puis, voyant dans tout plaisir une perversité, Pierre Damien aurait alors dénoncé
le corps comme l’instrument de perdition. Il aurait enfin rejeté la sexualité
et le mariage puisque par eux, la procréation transmet le péché, « l’immonde hideur de notre
origine ». Par conséquent, toujours selon ses citations, il faudrait
se débarrasser de son corps pour revêtir l’étole d’immortalité.
Finalement,
face à tant de constats, Bultot conclut : « cette théologie fermée, cette synthèse prématurée, impose à tout
mouvement de récupération légitime du profane, à toute revendication du profane
comme valeur, de se poser contre la sphère religieuse, et lui impose
nécessairement, par violence, le visage de l’apostasie. »[8]
Une
analyse biaisée
« Cette analyse sommaire de ce qui concerne le
corps chez Pierre Damien »[9]
laisse de nombreux critiques bien songeurs, voire sans concession. Comme eux, nous
pouvons en effet nous interroger sur la méthode utilisée. Est-il en effet
légitime d’isoler dans son œuvre si grande ce qui n’est qu’un de
ses aspects afin de ne s’intéresser qu’à un seul phénomène ?
Les
critiques à l’encontre de l’œuvre de Bultot suggèrent alors que s’il avait étendu
son champ d’investigation et mieux préciser le contexte de son époque,
il aurait peut-être trouvé « quelques
indices d’une théologie moins totalement négative des valeurs terrestres »[10].
Des
procédés bien étonnants
Un
tel procédé n’est alors guère approprié à une publication rigoureuse sur un sujet qui
réclame pourtant bien des précisions et de la prudence. En effet, « la lecture de la littérature hagiographique,
théologique ou spirituelle du moyen-âge, requiert, aussi bien que celle de
l’Écriture et des Pères, un certain degré de culture et un effort de
discernement approprié. »[13]
Or, les lecteurs ne sont pas armés pour porter un jugement critique et sain sur
les affirmations de l’historien. De tels écrits destinés à un public peu
instruit ne sont donc ni édifiants ni inoffensifs.
Des critiques s’étonnent aussi que sa thèse qui porte sur le mépris du corps commence par Saint Pierre Damien, c’est-à-dire par une vision particulière du Moyen-âge, par des textes destinés aux religieux et aux ecclésiastiques. Saint Pierre Damien n’est pas en effet bien représentatif du monde religieux. Moine ermite, il appartient à l’ordre des camaldules. Il s’est surtout attaqué aux maux qui sévissaient dans l’Église, c’est-à-dire à la simonie et au nicolaïsme. Élevé au cardinalat, il a écrit une imposante correspondance, des sermons et des prières ainsi que des traités. Il est un « moine, amant de la solitude et, en même temps, intrépide homme d’Église, personnellement engagé dans l’œuvre réformatrice lancée par les papes de l’époque »[14]. Il est aussi décrit comme une « personnalité exubérante, riche et complexe ». Comme le note le pape Benoît XVI, « il n’est pas commun de trouver des œuvres de théologie et de spiritualité aussi pointues et vives que celles de l’ermite de Fonte Avellana. »[15] Saint Pierre Damien se caractérise aussi par une forme d’austérité extraordinaire, « qui aujourd’hui, pourraient presque nous sembler excessives. »[16]
Un
ouvrage en faveur d’une nouvelle anthropologie
Les
intentions de Bultot sont en effet claires, même s’il ne semble pas l’exprimer
clairement. Il veut en effet se débarrasser de l’ancienne anthropologie chrétienne,
d’un christianisme qui ferait obstacle à « la promotion des valeurs terrestre et, du même coup, une pleine
considération positive de la condition laïque. »[18]
Ils veulent ainsi réécrire une nouvelle anthropologie chrétienne plus propre
à promouvoir le rôle des laïcs dans l’Église et les valeurs du monde.
« C’est pourquoi il a parfois mêlé à
l’objectivité sereine de l’historien des jugements personnels sur la valeur des
thèses de l’auteur qu’il étudie. »[19]
Ses recherches historiques sont donc inspirées par son engagement personnel.
Congar n’est pas le seul à constater ce mélange peu propice à l’objectivité.
« On peut se demander si les
conceptions générales de l’auteur, qui plaide en faveur d’une « théologie
des réalités terrestres » ne nuisent pas parfois à l’objectivité de
l’enquête historique. »[20]
Cependant, cette théologie qui le guide dans ses jugements semble manquer de
précision et paraît bien fragile. Elle manque cruellement d’arguments et de
démonstration. Un autre commentateur est encore plus direct. « L’auteur nous apparaît, en plusieurs pages,
comme un doctrinaire, et combien passionné, plutôt qu’un historien. »[21]
Un
ouvrage manquant de justice, de mesure et de rigueur
Mais,
au-delà du style, les méthodes employées ne sont pas non plus à la hauteur de
l’entreprise si ambitieuse de Bultot. Parmi les critiques les plus courantes à
l’encontre de ses ouvrages, nous pouvons citer l’imprécision et l’ambiguïté de
ces formules, des formules peu adéquates, un défaut de finesse, à la fois
littéraire et psychologique, des contre-sens dans certaines traductions, la
rapidité de l’analyse, insuffisamment attentive aux circonstances dans
lesquelles ont été écrits les passages incriminés. Ses conclusions ressemblent
aussi plus à celles que nous pourrions faire en notre siècle qu’au temps des
écrits. « Tout en disant « il
est nécessaire de savoir ce qu’un auteur pense de l’univers, de la relation de
l’homme avec l’univers, avec son corps, de la relation de l’homme avec son âme,
sa sexualité, … pour savoir ce que signifie pour lui, le « mépris du
monde »[23], il
ne cesse de reprocher à un homme du XIe siècle de ne pas avoir l’intelligence
des choses d’un homme du XXe siècle. »[24]
Des
partisans au secours de Bultot
Les
mêmes auteurs justifient cette doctrine par le contexte dans lequel s’est
développé le christianisme, par un monde qui n’a pas permis le développement
d’une spiritualité des laïcs. « Comment
reprocher à des hommes affrontés à un monde de violence et d’injustice
généralisée de ne pas percevoir les valeurs qui devraient y cheminer et de ne
pas trouver des raisons de s’y engager pour les faire triompher ? »
Ainsi, faut-il juger ces hommes selon « une juste appréciation des ensembles culturels, des possibilités
réelles de dépasser des conditionnements. » Par conséquent, ils
demandent aux historiens d’aujourd’hui de prendre suffisamment de recul et de
ne pas s’identifier à ce passé. Cette critique semble être adressée à Bultot.
Pourtant, elle s’adresse aussi aux historiens anciens ou d’aujourd’hui encore
animés d’une vue apologétique. La suite de l’article sera plus explicite et
désignera plus clairement ceux qui sont dans l’erreur…
Contre
l’idéologie monastique ?
Les
auteurs se focalisent sur une certaine conception du monachisme qu’ils
qualifient d’« idéologie monastique »,
terme bien anachronique et porteur de sens négatif, pour définir ce que
l’histoire désigne par « réforme
monastique », une idéologie qu’ils jugent en outre insuffisante.
Quelle est cette idéologie ?
« L’idéologie monastique » présente
une difficulté. Elle ne se manifeste pas en effet dans une doctrine bien
établie et cohérente. Elle se développe dans des textes qui portent sur des
thèmes qui s’harmonisent entre eux. L’article la définit comme « une vision du christianisme tout entière
bâtie sur les « à-part » : fuite du monde, vie dans l’absolu,
vie angélique, paradis retrouvé hors du siècle, vie purement contemplative –
sans que les aspects corrélatifs de présence, de responsabilité, de médiation
viennent la rééquilibrer de l’intérieur ». Selon toujours les auteurs,
se sont alors opposées deux visions religieuses : la vie contemplative et
la vie active. En outre, cette idéologie est marquée par le platonisme et
l’hellénisme, et enfin par une majoration des effets du péché.
Notons
que cet article, certes nécessairement bref, ne précise aucun auteur, aucune œuvre
et ne renvoie à aucun ouvrage. Comme l’article le dit lui-même, tout cela
est bien vague. Mais heureusement, rajoute-il aussitôt, des historiens
viennent préciser ses pensées, comme Bultot auquel les auteurs apportent leurs
suffrages. Certes, l’article ne peuvent guère mettre sous silence une certaine
incompréhension portant sur ses desseins, pourtant « bien arrêtés », et sur sa méthode qui « ne sont toujours pas clairement
exposés. »
Des
controverses naturelles et nécessaires ?
L’article
justifie les controverses par les différentes interprétations que les
historiens peuvent naturellement faire de leur lecture et leur analyse, et donc
par la pluralité des recherches mais aussi par la personnalité des chercheurs. « Si les textes sont une solide donnée
commune, ceux qui les abordent le font nécessairement en apportant avec eux non
seulement leur propre personnalité et leur propre culture, mais aussi leur
propre objectif de recherche ou tout au moins leur propre motif
d’intérêt. » Finalement, l’analyse d’un texte et sa critique ne
sont que subjectives donc elles doivent être relativisées. L’analyse des
textes anciens soulèvent aussi une autre difficulté, celle des « rapports généraux qui existent entre pensée
médiévale et pensée occidentale moderne. » Si la première est source
de la seconde, elle est devenue étrangère, difficile à saisir, bien qu’une
distanciation complète ne soit possible. Il faut donc reconnaître cette partialité
dans toute analyse. De nouveau, les conclusions des chercheurs sont à
relativiser. Finalement, il est impossible que l’homme s’oublie derrière
l’historien ou le théologien. « Selon
que celui qui étudie un texte adoptera d’abord une attitude plus participante
ou plus détachée, il aboutira normalement à des positions assez différentes, et
il lui sera difficile ensuite de prendre l’attitude complémentaire. » Qu’est-ce
que « l’attitude complémentaire » ?
Il s’agit probablement de faire une synthèse de toutes les études, mêmes
contradictoires, selon le fameux plan : thèse, antithèse, synthèse…
Mais,
conscient sans doute des profondes contradictions entre les différentes positions,
l’article conseille plutôt les chercheurs à ne point chercher une unité de
vue qui n’est « ni possible ni
souhaitable ». Il leur propose de publier leurs conclusions en prenant
soin des objections des autres afin que par ce pluralisme et cette opposition,
émanent des conclusions plus fermes. Telle est « l’attitude complémentaire ».
Un
consensus biaisé et trompeur
Si
l’approche que décrit l’article peut paraître prudente et pacifique, elle est en
fait terriblement nuisible puisque non seulement elle oublie le fondement
des critiques portées contre Bultot, qui ne portent pas sur sa thèse mais
sur la méthode qu’il utilise et sur ses desseins, mais surtout elle ouvre la
voie à toutes les opinions au détriment de la vérité historique en raison
de la nécessaire partialité des historiens. Tout et son contraire peuvent donc être
dits.
Enfin,
en dépit de son intention de faire cesser les controverses, l’article n’hésite
pas à prendre parti pour Bultot et à montrer les faiblesses et les incohérences
de « la plupart des auteurs
spirituels » du Haut Moyen-âge accusés de « gauchissement par rapport au donné révélé ». Il récuse les
critiques portés contre lui sauf sur des points de détail de son dossier. Sa
conclusion est claire. Ses auteurs « souscrivent
à ce jugement », c’est-à-dire au jugement théologique de Bultot,
« dont nous avons rappelé les
fondements doctrinaux. »
Un
nouveau réquisitoire contre la doctrine du mépris du monde
Les
auteurs reprennent alors les arguments classiques en faveur de la doctrine
du mépris du monde : influence de la pensée païenne, contexte
favorable au mépris du monde, etc. Le « théologie patristique et le monachisme primitif n’ont pas été à
l’abri de toute contamination » en combattant durement le gnosticisme
des premiers siècles. Saint Augustin aurait gardé « une certaine atmosphère mentale » des livres platoniciens
qu’il a lus. Et évidement, le contexte dans lesquels la pensée des Pères a été
formée est plus propre à une vue pessimiste du monde et n’est pas favorable à
« l’idée d’un monde à former ou
d’une société à construire ». Et pire encore, l’effort de Cassiodore
de sauver le patrimoine intellectuel de l’Europe montre évidemment selon
l’article un contexte de fuite et non de conquête !... Pourtant, lorsque
nous fuyons, nous préférons tout abandonner ou tout brûler. L’œuvre de Cassiodore
manifeste plutôt une volonté de survie et de restaurer, et finalement une
espérance incroyable ! Que serait devenu l’Europe sans son
œuvre ! À elle-seul, elle suffirait à faire démentir la thèse que
défendent Bultot et ses partisans.
Enfin,
la vision pessimiste s’expliquerait par « la traduction brutale » des Saintes Écritures en des langues qui
manquent de nuances. Les Pères de l’Église ont ainsi commis des confusions,
défendant le dualisme corps et âme. Cela est bien étrange quand ce dualisme a
surtout été développé et accentué par Descartes …
La
fin de leur conclusion est très instructive. « Reste le constat que fait Bultot d’une grand nombre de positions
théologiques inacceptables. Ce résultat nous semble solide. Tous ne
l’acceptent pas – mais ce n’est peut-être pas très grave : la leçon
majeure de cette discussion, comme nous l’avons vu, est sans doute de nous
faire mieux comprendre la diversité nécessaire des approches actuelles. »
Or, c’est au nom de « ses positions
théologiques inacceptables », défendues selon une méthode contestable,
que l’enseignement de l’Église a brutalement changé de route. À leur tour, de
manière intolérable, les auteurs finissent leur texte par un reproche adressé
aux critiques : « il est
parfois nécessaire de consentir à revoir les options théologiques que l’on
tient de sa formation ou de son milieu… »
Conclusions
Mais
heureusement, la vérité historique a encore ses adeptes. Éloignés des
idéologies et de tel « conditionnement »,
des historiens actuels remettent sérieusement en cause les thèses
défendues par Bultot et par d’autres historiens de même tendance. Ils se
plongent dans les sources, les scrutent avec rigueur et sérieux et se montrent
beaucoup plus prudents et clairs. Leurs travaux et tous les combats menés ici
et là pour dénoncer les mensonges et rétablir la vérité ne sont pas vains…
Notes et références
[1] Les titres de ses œuvres et de ses
articles montrent en effet son sujet de prédilection. Ses livres : Christianisme
et valeurs humaines. A : La doctrine du mépris du monde, tome IV,
en deux volumes, v.1 : Pierre Damien (1963), v.2 : Jean
de Fecamp. Hermann Contract. Roger de Caen. Anselme de Canterbory
(1964), et La Chartula et l’enseignement du mépris du monde dans les écoles et les
universités médiévales (1967). Ses articles : Mépris du monde, misère et
dignité de l’homme dans la pensée d’Innocent III dans Cahiers
de civilisation médiévales, 4ème année, n°16,
octobre-décembre 1961 ; Le mépris du monde chez Saint Colomban dans
Revue
des sciences religieuses, tome 35, fascicule 1 (1964) ; Aux
sources du divorce entre l’Église et le monde moderne : la doctrine du
mépris du monde, dans Rêves et chrétienté, réalités du monde,
actes du colloque, Louvain la Neuve, novembre 1999.
[2] L.-J. Bataillon et J. P. Jossua, Le
Mépris du monde. De l’intérêt d’une discussion actuelle, dans Revue
des sciences philosophiques et théologiques, vol. 51, n°1 , 1er
janvier 1973, jstor.org.
[3] Voir Théologie des réalités terrestres
et spiritualité du Laïcat, R. Bultot, dans Concilium Revue internationale de
théologie, n°19, novembre 1966.
[4] R. Bultot, Christianisme et valeurs humaines.
La doctrine du mépris du monde. T.IV : le XIe siècle : vol. I :
Pierre Damien, Louvain, Nauwelaerts, 1963 dans Christianisme et valeurs humaines
(R. Bultot, Christianisme et valeurs humaines, A. - La doctrine du mépris du
monde, en Occident, de 8. Ambroise à Innocent III, Tome IV : le XIe
siècle. Volume I : Pierre Damien, 1963 ; Tome IV. Volume 2 :
Jean de Fécamp, Hermann Contract, Roger de Caen, Anselme de Canterbory,
A. Chirat, 1964, dans Revue des Sciences religieuses, tome
39, fascicule 4, 1965, www.persee.fr.
[5] R. Bultot, Christianisme et valeurs humaines.
La doctrine du mépris du monde. T.IV : le XIe siècle : vol. I :
Pierre Damien.
[6] R. Bultot, Christianisme et valeurs
humaines. La doctrine du mépris du monde. T.IV : le XIe siècle : vol.
I : Pierre Damien, Louvain, Nauwelaerts, 1963 dans Cahiers
de civilisation médiévale, année 1964, 7-25, www.persee.fr.
[7] Y. Congar, Critique sur Christianisme
et valeurs humaines. La doctrine du mépris du monde. T.IV : le XIe
siècle : vol. I : Pierre Damien, Louvain, Nauwelaerts, 1963,
dans Cahiers
de civilisation médiévale, année 1964, 7-25, www.persee.fr.
[8] R. Bultot, Christianisme et valeurs
humaines. La doctrine du mépris du monde. T.IV : le XIe siècle : vol.
I : Pierre Damien.
[9] Michel Sot, Mépris du
monde et résistance des corps aux XIe et XIIe siècles, revue Médiévales,
année 1985.
[10] Y. Congar, Critique sur Christianisme
et valeurs humaines. La doctrine du mépris du monde. T.IV : le XIe
siècle : vol. I : Pierre Damien.
[11] A. Chirat, Christianisme et valeurs humaines.
[12] A. Chirat, Christianisme et valeurs humaines.
[13] A. Chirat, Christianisme et valeurs humaines.
[14] Benoit XVI, audience générale du 9
septembre 2009, vatican.va.
[15] Benoit XVI, audience générale du 9
septembre 2009.
[16] Benoit XVI, audience générale du 9
septembre 2009.
[17] A. Chirat, Christianisme et valeurs humaines.
[18] Y. Congar, Critique sur Christianisme
et valeurs humaines.
[19] Y. Congar, Critique sur Christianisme
et valeurs humaines.
[20] A. Guillaumont, Critique sur Christianisme
et valeurs humaines.
[21] A. Chirat, Christianisme et valeurs humaines.
[22] A. Chirat, Christianisme et valeurs humaines.
[23] Robert Bultot, Aux sources du divorce entre
l’Église et le monde moderne.
[24] Jean-Luc Molinier, Monachisme
et le monde, Introduction Solitude et communion, Tome
I. La fuite du monde, Cerf, 2016, ora-et-labora.net.
[25] L.-J. Bataillon et J. P. Jossua, Le
Mépris du monde. De l’intérêt d’une discussion actuelle, dans Revue
des sciences philosophiques et théologiques, vol. 51, n°1 , 1er
janvier 1973, jstor.org.