De nombreuses études ont été
faites sur la diffusion du bouddhisme en Europe comme nous l’avons pu
constater. Nos articles s’appuient abondamment sur des ouvrages, articles et
thèses de doctorat portant sur ce phénomène. Notons que ce sont surtout des
études sociologiques, ethnologiques, ou psychologiques qui s’intéressent à ce
mouvement. Elles sont instructives, y compris pour l’apologétique. Les
bouddhismes sont étudiés selon plusieurs axes que nous allons reprendre…
Un bouddhisme selon
l’origine
La distinction du bouddhisme
selon l’origine fait aussi ressortie une
autre dichotomie, celle des bouddhismes moderne et traditionnel, qui nous
renvoie alors aux fidèles ou aux pratiquants. Il apparaît en effet que « le bouddhisme moderne est principalement
l’affaire de convertis contrairement au bouddhisme traditionaliste pratiqué,
notamment, dans des temples de migrants asiatiques. »[3]
Les uns viendraient par conviction, les autres par conditionnement culturel ou
familial. L’un sera porteur de modernité, l’autre de traditions.
Un bouddhisme selon
l’histoire
Au début du XXIe siècle, ce
sont plutôt ses pratiques bouddhiques
qui sont mises en valeur en raison de leurs effets bénéfiques sur le mental.
Le bouddhiste Matthieu Ricard les défend et les promeut « afin d’apporter plus de paix et de
compassion dans le monde ». Il n’hésite pas à s’appuyer sur des
expériences en neuroscience pour prouver leurs effets bénéfiques. Il en vient
donc à justifier le bouddhisme occidental comme thérapie mentale. Les études soulignent alors la contradiction
entre la pensée originelle du bouddhisme cherchant à rompre le cycle de
renaissance par le détachement de soi et une pratique tournée vers soi. La
méditation et la relaxation sont souvent confondues.
En se focalisant sur la
méditation bouddhique, terme devenu central dans les discours, la morale ne
fait plus l’objet des préoccupations. Ne se souciant guère ce qui est bon ou
mauvais, il s’agit désormais de se
sentir bien et de développer des
pensées altruistes. Des expériences viennent confirmer ses bienfaits au
point que, selon les discours, « ce
n’est donc plus la morale qui justifie aujourd’hui le bouddhisme, mais la
science. »[5]
Pourtant, l’idée que le
bouddhisme est finalement une « science
de l’esprit » n’est pas neuve. La société théosophique cherche depuis
le XIXe siècle à le prouver. C’est sans-doute une des permanences que nous
pouvons noter dans l’évolution du bouddhisme.
Le bouddhisme selon la
doctrine
Le
bouddhisme occidental relève de ces néo-bouddhismes,
qui apparaissent sans dogme ni doctrine, sans organisation hiérarchique. Il impose
l’image d’une religion de liberté et d’individualisme. L’histoire des moines
tibétains fuyant le communisme chinois et la figure très médiatique du
Dalaï-lama réconfortent cette vision idyllique.
Ces études notent de malheureux malentendus en raison des
confusions que peut conduire l’usage inapproprié de termes porteurs de sens
bien précis dans la culture occidentale pour désigner des idées et des pensées
spécifiquement asiatiques. Le bouddhisme
est ainsi inséré dans un cadre sémantique qui lui est étranger, un cadre qui
relève du christianisme. Donc nécessairement et de manière mécanique, des
comparaisons s’imposent entre le bouddhisme et le christianisme dans l’esprit
de nos contemporains occidentaux, et le plus souvent au profit du premier…
Le bouddhisme et ses rites
Lorsque certains partisans
ou ouvrages en faveur du bouddhisme osent parler du rite, ils les assimilent à
des symboles et les réduisent à des moyens pédagogiques pour soutenir la
pratique. Une rhétorique habile
permet de faire croire que les pratiques rituelles ne sont guère importantes et
défend une pratique désintéressée et
sans lien avec une religion. Selon le philosophe et maître bouddhiste Fabrice
Midal, la méditation bouddhique n’a « aucun
but », « aucune finalité »
mais est « un espace de pure
gratuité », permettant aux Occidentaux stressé de prendre le temps
d’« être »[7].
Finalement, leur aspect technique et
leurs effets sur l’homme sont mis en exergue au détriment de leur finalité.
Mais, cette image du bouddhisme se confronte à une réalité toute différente
dans les centres bouddhiques, où le rite
est pourtant omniprésent.
Les différents rites ne sont
en fait guère décrits dans les ouvrages
de vulgarisation. Peu sont les livres qui les exposent de manière claire et
définissent leur finalité première. Pourtant, ils sont très nombreux, les ouvrages
et les conférences dédié au bouddhisme et à ses pratiques comme s’ils s’apprenaient en lisant. En outre, ce sont des ouvrages
de vulgarisation, faisant croire que ce sont des techniques à la portée de tous. Or, comme le soulignent
certaines études, le bouddhisme demande de nombreuses années de vie monastique,
un long enseignement de la part d’un maître et une véritable discipline du
disciple sans oublier une nécessaire appropriation de la culture asiatique
comme le constatent certains pratiquants bouddhistes occidentaux. En un mot, il
est fortement encadré et attaché à une
culture, ce qui contredit évidemment l’image d’un bouddhisme où peut
s’épanouir la liberté individuelle. Des études montrent le rôle important du maître et des
liens de soumission qui doivent l’unir à ses disciples. La réalité est donc
encore bien différente de l’image d’un bouddhisme où le fidèle est libre contrairement
à l’image d’un christianisme fortement soumis à une hiérarchie.
Un bouddhisme selon les
fidèles ou les pratiquants
Il est en fait bien complexe
de définir qui est réellement bouddhiste. Le fait de s’exercer à des
méditations bouddhiques suffit-il pour être bouddhiste ? Une carte
d’adhérent à une institution gérée par des bouddhistes, carte renouvelée
annuellement, est-elle une marque d’adhésion au bouddhisme ? Ou
faut-il nécessairement adhérer à une croyance ? De plus, le lien que les
fidèles ont établis avec ces organisations sont plus ou moins distendus.
Frédéric Lenoir parle de « plasticité
identitaire »[8].
Il est vrai que les offres sont multiples et qu’il est possible de passer d’un
groupe à un autre. Néanmoins, les « fidèles » ont en commun une activité, la pratique
bouddhique, et un discours favorable
à leurs effets jugés bénéfiques.
Le bouddhisme et son
développement
Des
études portent aussi sur le développement du bouddhisme en Occident,
soulignant sa diffusion au sein de la société occidentale. Elles cherchent à
décrire les processus de conversion
et se focalisent parfois sur un
mouvement particulier.
L’une de ces études est par
exemple consacrée à un mouvement appelé Soka-gakkai[9].
À partir de résultats de questionnaires et d’entretiens, elle montre que la
conversion commence par des relations sociales puis par la recherche de
bienfaits matériels de la pratique et ensuite par celle d’autres effets portant
davantage sur le développement intérieur, les valeurs morales. Selon d’autres
études, la lecture d’ouvrages bouddhiques est souvent le premier pas. Les
convertis s’engagent ensuite de plus en plus au sein de l’institution
bouddhique, qu’ils jugent démocratique. Ils œuvrent enfin dans sa défense
contre les accusations portées contre elle. Il est noté qu’il leur est demandé
de faire du prosélytisme auprès de leur entourage. L’expérience individuelle de
la pratique est soulignée dans une étude plus centrée sur le rite religieux et
la piété[10].
La diffusion du bouddhisme
en Occident manifeste, selon des études, le « retour au religieux » ou encore l’« élan vers la spiritualité »[11].
Certains l’expliquent plutôt par l’efficacité
de la propagande bouddhiste. Obadia[12]
parle même d’un recrutement de la part de ses maîtres dans un cadre
institutionnalisé. Le rôle du maître à l’égard des disciples est notamment
souligné dans la thèse de Céline Campergue, qui note aussi leur prosélytisme. Mais
elle insiste sur l’aspect thérapeutique de la relation entre le maître et le
disciple, c’est-à-dire sur le rôle
psychologique tenu par le maître à l’égard de son disciple, rôle qui peut
conduire à des liens de soumissions et
d’obéissance, voire à des abus de
pouvoir. D’autres y voient plutôt d’un résultat
du désenchantement du « libre
marché » des biens religieux[13],
ou encore celui d’une déconstruction et
reconstruction de la croyance occidentale, toujours dans une situation de
marché religieux.
Étude particulière du bouddhisme
vécu par des occidentaux
La religion dans la société
de consommation
L’étude inscrit le
bouddhisme dans la société de
consommation que nous connaissons, un contexte fortement défavorable à
toute sorte de religion. « L’individu
choisit librement sa vision religieuse du monde dans une situation de pluralité
en fonction de ses besoins. »[14]
C’est ainsi que pour
l’attirer, les religions se doivent répondre à ses besoins, et pour cela, se focaliser sur sa sphère émotionnelle,
conduisant alors à un « processus
d’individualisation et du subjectivation du croire. »[15],
ce qui génère un éparpillement des croyances et un appauvrissement religieux.
Par ailleurs, l’individu ne
cherche pas une religion institutionnalisée et peu compatible à sa vision
individualiste et subjective, mais
plutôt une spiritualité pratique et pragmatique, à effet sensible, qui doit
donner sens à sa vie. « La
religion est perçue de manière négative » au contraire du terme de
« spiritualité ». Celui-ci
ne désigne en fait qu’une religiosité subjective distante de tout lien avec des
institutions religieuses.
Le bouddhisme occident, un
produit adapté à la société de consommation
Zuzana Bartova .
www.recherche.unistra.fr/
Photo MR
D’autre part, le
consommateur ne recherche pas le bonheur absolu, c’est-à-dire le salut, mais l’épanouissement de soi qui donne sens à sa
vie. L’avenir ne l’intéresse guère. C’est le présent ou encore
l’immédiateté qui l’attire[16].
Seul le temps présent lui est essentiel. Or cette expériences de la vie subjective est au centre des pratiques bouddhiques
telles qu’elles lui sont présentées. Ce n’est pas un hasard si le bouddhisme
occidental se tourne de plus en plus vers la thérapie.
Finalement, « nous y voyons la volonté de conférer au
bouddhisme une image moderne et non dogmatique d’une expérience proprement
personnel, unificatrice et pratique. »[17]
Bouddhisme et pragmatisme
L’auteur de la thèse
constate que les notions fondamentales
du bouddhisme originel sont rarement évoquées dans les enseignements qu’il
a assistés. Certes, les pratiquants n’ignorent pas qu’il véhicule des croyances
mais ils ne leur apportent guère d’importance car elles n’apportent rien d’important
dans leur vie quotidienne. L’un d’entre eux n’y voit que mensonge mais un
mensonge utile pour le fonctionnement éthique de la société. En fait, les croyances sont adoptées plus ou moins
par les pratiquants en fonction de leur rôle dans leur vie et de leur
expérience dans « l’affirmation
identitaire inscrite dans un itinéraire de sens », et finalement selon le caractère pragmatique qu’ils leur
attribuent. Elles n’ont en fait de valeur que selon leur efficacité dans l’amélioration
de soi qui ne passe que par soi. Cela est aussi vrai dans l’altruisme porté par
le bouddhisme tibétain. « L’éthique
tourné vers les autres trouve ainsi sa base dans le souci de soi et de
l’amélioration individuelle. L’individu en ressort comme l’autorité ultime et
responsable de sa vie. »
À la recherche de soi
Par conséquence, les
croyances bouddhiques en soi ne fondent pas l’adhésion au bouddhisme. Elles
apparaissent plutôt comme des justifications des pratiques dont l’efficacité
est recherchée pour soi. Elles n’ont de sens pour les pratiquants que dans leur
volonté de s’améliorer et dans leur affirmation de soi. La notion même de
l’éveil et de la bouddhéité semble se confondre avec l’affirmation de soi ou
encore la confiance placée en soi. « L’éveil »
est perçu comme « le but subjectif
d’un progrès individuel et l’idéal de la réflexivité émotionnelle et
éthique ». Il est donc une motivation pour le développement de soi ou
encore de la nature religieuse de soi, ou plutôt d’un soi idéal.
Pourquoi le
bouddhisme ?
Écoutons le témoignage de
trois pratiquants. Mélanie parle de son expérience de la pratique bouddhiste.
« Je trouve quelque chose qui me correspond
bien parce que …, ça reste quand même assez libre, c’est pas du tout
contraignant. Je fais ça parce que j’ai envie de faire ça … »[18]
Mélanie pratique ainsi des exercices bouddhiques en tant que « sujet individuel et authentique »,
ce qui est faisable pour elle en raison de ses revenus et de ses connaissances
sur le bouddhisme acquise en université. Elle les a connus par l’intermédiaire
d’une collègue soucieuse de diffuser le bouddhisme. Pour Mélanie, la pratique
rituelle est pour elle plaisante et lui procure un sentiment de bonheur. Nous
sommes donc dans la sphère de la
sensibilité ou de l’émotion. « Le
bonheur devient son émotion religieuse authentique. » Or cette « authenticité affective » est le
propre de la religiosité contemporaine et même de notre société.
Une autre adepte, Pavel,
rencontre les exercices bouddhistes au travers des livres et des sites
Internet. Si au départ, ils lui sont désagréables, il continue néanmoins à les
pratiquer au sein d’un groupe bouddhique et finit par s’y plaire en raison des relations sociales qu’il
a pu établir avec ses membres. Il est aussi intéressé par le calme et la
sagesse qui y règnent.
Maryline n’apprécie pas les
cérémonies auxquelles elle participe, les trouvant incongrues et ridicules.
Pourtant, elle est attirée par leur ambiance et la discipline qui s’impose. L’émotion
qui se dégage de l’environnement, serait-elle la cause de son attirance pour le
bouddhisme ? Comme le suggère l’auteur de la thèse, ce serait plutôt l’ordre ou encore la maîtrise de son
corps. Elle désigne ces exercices comme « des techniques du corps » qui lui permet de prendre conscience
du corps ou de le discipliner.
Motivations psychologiques
Motivations sociales
Lorsque les pratiquants sont
interrogés sur la place du bouddhisme dans leur vie quotidienne et sociale,
leurs réponses sont souvent la même. D’abord, ils refusent les normes sociales dominantes, plus particulièrement
la domination du christianisme et la sécularisation de leur société, le
consumérisme ou encore le matérialisme. C’est donc par rejet d’une culture qu’ils
justifient leurs choix. Leurs discours expriment en fait une volonté forte de se distinguer de leurs contemporains. Ils
veulent « s’approprier de pratiques
temporelles, corporelles et psychologiques exigeantes », opposées au conformisme ambiant.
La sociabilité, c’est-à-dire
l’affectivité au sein des relations,
est aussi un des facteurs qui attirent les pratiquants. La pratique s’inscrit
toujours dans un cadre collectif. Les différentes formes de bouddhisme offrent
suffisamment d’institutions différentes pour plaire à toutes les sensibilités. Comme
les exercices n’existent qu’au sein des espaces bouddhistes, les pratiquants
finissent par s’enfermer dans un certain communautarisme.
L’auteur de la thèse
souligne que les pratiquants relèvent en grande majorité de la classe moyenne de la société thèque.
À plusieurs reprises, il note que la participation aux exercices nécessite un
minimum de ressources financières et culturelles que détiennent les membres de
cette classe. Les bienfaits qui transparaissent dans les entretiens relèvent
des valeurs de cette classe, notamment la recherche authentique de
développement et de réalisation de soi, ou encore l’agir authentique.
Conclusions de l’étude
Après avoir rappelé les
différentes études sur la société de consommation, l’auteur de la thèse peut alors
conclure : les valeurs prônées par le bouddhisme occidental ne sont pas en
effet différentes de celles de la société de consommation. Le bouddhisme
occidental est en effet caractérisé par le positionnement central de l’individu
dans ses organisations, par le rôle porté à l’expérience religieuse individuelle
et affective autour de l’identité au détriment de la croyance, jugée plus
secondaire, par la place cruciale du corps qui doit être performant, par l’esthétisation
de la façon de vivre, par la financiarisation des activités conçues comme une
activité commerciale, par une proposition de services à la carte, par l’autonomie
de l’individu avec flexibilité et souplesse dans les adhésions, par l’accompagnement
d’une expérience collective, par la sociabilité autour d’une activité commune,
émotionnelle, dans des espaces dédiés, par la diffusion de guides pratiques au
quotidien, médiation d’experts, etc.
Contrairement à certains
discours, « il n’est plus possible
de présenter le bouddhisme comme une solution à la culture de consommation. Au
contraire, il est conforme aux principes de cette culture. » Cela
explique notamment que les pratiquants ne sont pas à la marge de la société.
C’est plutôt leur entourage qui leur renvoie une image marginalisant, ce qui
semble les réconforter dans leurs pratiques.
Le paradoxe du bouddhisme
vécu
Pourtant, les pratiquants
soulignent le statut minoritaire et la spécificité du bouddhisme dans ses
pratiques, ses représentations et ses valeurs par rapport à la société
contemporaine, c’est-à-dire la société de consommation. « Ils s’opposent au bonheur narcissique, à
l’individualisme, à la violence, au matérialisme, au dualisme, au christianisme
et à la sécularisation, en proposant une éthique authentique, des collectifs,
le développement psychologique, le regard holiste de l’individu et un style de
vie religieux. » Et comme nous l’avons déjà évoqué, ils veulent se
démarquer de nos contemporains.
L’auteur de la thèse
explique alors ce paradoxe comme une
position de classe, d’une classe moyenne qui s’approprie d’une image
innovante et authentique par opposition à celle de la classe populaire, plus
conformiste. Le bouddhisme occidental lui apparaît donc comme un moyen d’affirmer son identité.
Conclusions
Mais leur rhétorique ne trompe pas les différentes études sérieuses qui portent sur les pratiquants. Les
pratiques bouddhistes correspondent en effet parfaitement à la société
contemporaine. Elles développent en effet les valeurs qu’elle défend. Elles
sont aussi organisées selon les principes de cette société. Le bouddhisme vécu
n’est finalement qu’une voie différente, et non opposée, à celle qu’empruntent
leurs contemporains. Ils recherchent la même chose. Ils sont conduits par les
mêmes désirs. Ils vont vers le même objectif mais de manière différente. Et
c’est justement la raison du succès du bouddhisme occidental. Parfaitement adapté à notre société et à
ses valeurs, le bouddhisme occidental leur offre l’illusion de la différence. Il
est en fait le cas typique d’une religion de consommation, d’un culte du
bien-être, d’un moyen de satisfaire l’égocentrisme et le solipsisme de nos
contemporains. Elle n’est donc qu’une chimère supplémentaire qui ne peut
conduire qu’à la désillusion amère.
Notes et références
[1] Voir Émeraude,
octobre 2020, article « Les bouddhismes traditionnels : connaissances
élémentaires. Diversité et socle commun ».
[2] Voir Émeraude,
octobre 2020, « Bouddhismes : malentendus et mensonges, confusions et
contradictions, causes d'un plus grand mal-être » et novembre 2020,
article « Le bouddhisme occidental ou le néo-bouddhisme, mensonges et
préjugés. Un piège savamment organisé... ».
[3] Zuzana Bártová, Le bouddhisme comme style de vie
organisé pour les classes moyennes dans la culture de consommation : analyse de
la religiosité des pratiquants bouddhistes en France et en République tchèque,
introduction, §1, Religions, Université de Strasbourg, 2019, archives ouvertes,
https://tel.archives-ouvertes.fr, 19 mai 2020.
[4] Voir Émeraude, novembre 2020, article « Le "bouddhisme
occidental", pur produit des idéologies du XIXe siècle ».
[5] Marion Dapsance, Sur
le déni de la religiosité du bouddhisme, Un instrument dans la polémique
antichrétienne, 2015.
[6] Marion Dapsance, Sur
le déni de la religiosité du bouddhisme, Un instrument dans la polémique antichrétienne,
2015.
[7] Fabrice Midal, Études,
octobre 2013.
[8] F. Lenoir, Le
bouddhisme en France, Fayard, 1999.
[9] Voir A Time to Chant. The Soka Gakkhai Buddhsts in Britain, Bryan
Wilson et Kael Dobbelaere, 1994, Claredon press.
[10] Voir Louis Hourmant, , La relation à l'objet sacré dans un culte néo-bouddhique, Systèmes de pensée en Afrique noire [En ligne], 12 | 1993, mis en ligne le 03 décembre 2013, consulté le 30 avril 2019, http://journals.openedition.org/, L. Harmand est auteur d'une thèse La construction du croire au sein du mouvement bouddhisme Soka Gakkai en France, 2009.
[11] B. Etienne et R.
Logier, Être bouddhiste en France aujourd’hui, Hachette littérature,
2004.
[12] L. Obadia, Bouddhisme
en Occident. La diffusion du bouddhisme tibétain en France,
L’Harmattan, 1999.
[13] T. Mahé, Le
bouddhisme des Français. Le bouddhisme tibétain et la Soka Gakkai en
France : contribution à une sociologie de la conversion,
L’Harmattan, 2004.
[14] Zuzana Bártová, Le bouddhisme comme style de vie
organisé pour les classes moyennes dans la culture de consommation : analyse de
la religiosité des pratiquants bouddhistes en France et en République tchèque, chapitre
1, §2.1.
[15] D. Hervieu-Léger, Le
pèlerin et le converti.
[16] Voir Émeraude,
août 2020, article « Le culte du bien-être : syndrome, obsession,
narcissisme. Réalité de l'égoïsme et du
solipsisme de l'homme moderne. ».
[17] Zuzana Bártová, Le bouddhisme comme style de vie
organisé pour les classes moyennes dans la culture de consommation : analyse de
la religiosité des pratiquants bouddhistes en France et en République tchèque,
2ème partie, chapitre 2, §3.2.
[18] Zuzana Bártová, Le bouddhisme comme style de vie
organisé pour les classes moyennes dans la culture de consommation : analyse de
la religiosité des pratiquants bouddhistes en France et en République tchèque,
2ème partie, chapitre 2, §3.2.
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