Pourtant, au même moment, de
nombreuses autorités s’alarmaient de la diffusion de son esprit et de son succès.
En outre, « le succès des librairies
et stations de radio ainsi que la myriade de groupes de réalisation de soi
apparus dans les villes, petites et grandes, s’inscrivent en faux contre une
telle affirmation. »[1]
Ce constat date déjà de 2003. De nos jours, le phénomène se confirme avec éclat
par le développement de pratiques nées dans les instituts de New Age. Sa
musique n’a jamais été aussi florissante. La lithothérapie est un « business » en explosion[2].
Les offres de spa, de massages dits d’Esalen, de chakras ou de thérapies encore
plus étranges ne cessent de fleurir sur Internet. En 2020, des librairies
peuvent encore vendre des livres du New Age fraîchement publiés. Enfin, pour
terminer cette longue litanie, nous pouvons évoquer un vin intitulé « expérimental New Age », né en 2019 dans le Lot-et-Garonne en partenariat
avec une entreprise internationale stationnée à Sacramento afin de « retrouver la santé de nos sols. »[3]
Peut-être, cette expérimentation ne relève pas du New Age mais son nom n’est
pas anodin. Il est désormais un libelle recherché, une marque qui fait vendre…
De
nos jours, le New Age demeure encore bien présent. Il
est même plus visible dans notre vie quotidienne qu’au début du XXIe siècle. Avec
étonnement, nous l’avons constaté cet été quand nous avons vu des touristes envahir
une boutique de vente de pierres aux pouvoirs extraordinaires. Quelques signes
et livres ésotériques ne semblaient guère les gêner. Et, depuis que nous nous
livrons à l’étude de New Age, nous sommes encore plus surpris de sa présence au
travers de boutiques, de sites Web, de revues et d’ouvrages en sa faveur. Le succès du bouddhisme occidental en
est aussi un de ses aspects, sans doute les plus caractéristiques de ce
phénomène toujours vivace dans notre société.
La fin du New Age pour le
Next Age ?
En outre, à l’arrivée du
nouveau millénaire, des partisans du New Age annonçaient des catastrophes,
catastrophes que nous attendons encore. L’âge d’or, un âge de paix et de
prospérité, tant promis, tant espéré, n’est point venu non plus. L’attente est
longue, les déceptions plus rapides. Pourtant, le New Age n’est point
millénariste. Sa pensée est beaucoup
plus profonde et sérieuse, et finalement bien plus dangereuse que les
folles idées que portent et diffusent les sectes.
En l’an 2000, pour marquer
un tournant dans l’évolution du New Age, un sociologue[5]
a introduit une nouvelle expression, le « Next Age ». Il voit lui-aussi un changement dans son discours
et dans son esprit. Le New Age aurait
abandonné leur vision de transformation planétaire pour se concentrer uniquement
sur la transformation de l’individu. Il ne rêverait plus d’un âge d’or pour
toute l’humanité mais n’aspirerait désormais qu’à un âge d’or individuel,
c’est-à-dire à un plein épanouissement de l’individu.
Comme nous l’avons évoqué à
plusieurs reprises dans nos précédents articles, le New Age cherchait à
l’origine à faire évoluer un nombre suffisant d’individus pour transformer
l’humanité selon le principe que les actions locales devaient aboutir à une
évolution totale. De manière concrète, il a voulu développer une nouvelle culture
contraire à celle de nos sociétés modernes, une culture globale et pluridisciplinaire, favoriser l’interconnexion entre les hommes par
une plus grande communication entre eux, ou encore diffuser une psychologie humaniste plus centrée
sur l’individu. Cette volonté n’est pas restée au stade d’une pure théorie ou d’une
doctrine verbeuse. Elle a fait naître des moyens et des outils pour qu’elle se réalise concrètement. Elle a
notamment développé de nouvelles thérapies destinées à utiliser tout le potentiel humain jugé encore inexploité.
Le Next Age aurait-il ainsi
abandonné cet objectif pour se consacrer uniquement à l’individu, le moyen
devenant la fin ? Le but du New Age était d’élever une nouvelle
civilisation alors que désormais, il chercherait à ériger l’individu en un être absolu. Cela se traduirait par la
désaffection de l’organisation en groupe ou en mouvement au profit de formes
plus individuelles.
Ou une nouvelle réalité du
New Age ?
Cependant, ne nous trompons
pas. Le temps fait aussi son effet dans le New Age ou plutôt dans son discours.
Celui-ci évolue avec les hommes, surtout pour qu’il demeure perceptible et
attrayant dans notre société. Certains aspects sont sans-doute abandonnés au
profit d’autres plus attirants. Mais, en réalité, le changement en est-il
vraiment un ?
Certes, dans les années 60
et 70, le New Age était surtout vécu et perçu comme une réaction contre la culture contemporaine. Il s’inscrivait en
effet dans la période des hippies et annonçait les bouleversements qui ont
suivi mai 68. Mais contrairement à ce que nous pouvions imaginer avant
d’aborder ce sujet, les fondateurs du New Age ne ressemblaient guère à ces
individus révoltés ou insouciants, en recherche de nouvelles expériences, de
nouvelles sensations. Leurs ambitions étaient plus hautes, leurs pensées plus
solides. L’homme était déjà au centre de
leur préoccupation. Il s’agissait d’accéder à un nouvel état de conscience,
d’une conscience supérieure, comme l’envisageait Sri Aurobindo[6].
Leurs regards étaient donc anthropocentriques. Mais il est vrai qu’ils
espéraient une nouvelle ère, une
nouvelle conscientisation du monde.
Un New Age qui
s’affirme ?
- la tendance spirituelle, voire religieuse, qui cherche à mettre en
place par le syncrétisme une seule vision religieuse, c’est-à-dire une seule religion planétaire, seule solution
pour instaurer un âge de paix et de bonheur ;
- la
tendance culturelle, qui veut développer et imposer une culture universaliste, globale et
holiste, par la pluridisciplinarité ou l’interdisciplinarité, unissant
ainsi les disciplines et finalement les hommes, pour aboutir à une nouvelle
civilisation ;
- la
tendance anthropocentriste, qui veut exploiter le potentiel humain
pour faire de l’homme un surhomme ;
- la
tendance environnementaliste, qui songe à une planète
vivante et veut la soigner pour la sauver de la catastrophe, y compris au
détriment de l’homme et de ses activités.
L’aspect
commercial, inhérente à chacune de ses tendances, n’est pas non
plus oublié, soit par opportunisme, soit par nécessité. Les revues et les
livres, les stages, les conférences fournissent d’excellents revenus.
Enfin, selon le temps et la
mode, l’une des tendances s’affirme au
détriment des autres. Si au début des années 2000, le pouvoir des pierres,
notamment du cristal, ne fait plus recette. Ce n’est plus le cas de nos jours.
Ces changements révèlent aussi l’influence
de la société dans le New Age. Les pensées millénaristes de la fin du XXe
siècle n’y ont plus court alors que les idées féministes et
environnementalistes s’affirment avec force.
Une unité derrière la
division ?
Quelles que soient les
tendances et les influences qui le composent et le divisent, le New Age est pourtant
inspiré par une même pensée et une même
volonté. Partant d’un constat catastrophique, selon lequel l’homme, la
société ou la planète sont en danger, il se propose de les sauver par un nouveau
système, de nouveaux principes, de nouvelles valeurs, de moyens innovants,
toujours opposés à tout ce qui existait auparavant. Le remède ou le salut réside en l’homme, dans sa science, dans son
potentiel psychique, ou encore dans son comportement, voire dans son
anéantissement.
Le New Age se caractérise
donc par :
- le
rejet de notre société,
d’une attitude intellectuelle, spirituelle ou comportementale, d’un ensemble de
valeurs qui caractérisent notre société ou encore de la vision traditionnelle
que nous avons de la vie ;
- la recherche et le développement de tout ce qui apparaît contraire à la culture contemporaine, donc tout ce qui semble nouveauté (bouddhisme, chamanisme, ésotérisme), ou ce que notre civilisation a rejeté (mythologie, paganisme).
Le
New Age ne peut donc qu'évoluer dans ses formes et ses
moyens puisque le constat évolue ainsi que l’apparence de la nouveauté.
Des hommes en crise
Nous aspirons donc légitimement
à un autre plus reluisant. Dans un tel environnement « crisogène », nous
pouvons naturellement éprouver en nous un véritable manque dans notre existence
et donc un besoin d’épanouissement. Nos
contemporains aspirent « à une
spiritualité plus profonde, à quelque chose qui touche leur cœur et donne un
sens à un monde confus et souvent aliénant. »[7]
Mais ces besoins sont comme étouffés
dans notre société actuelle…
En outre, il faut bien trouver des responsables dans les
crises sociales, environnementales et politiques qui touchent notre société. Les
institutions de toute nature sont ainsi dénoncées, comme si par elles-mêmes,
elles en étaient les responsables. Il est vrai que certaines idéologies comme
le communisme ont tellement érigé le bonheur dans des organisations ou la
collectivité que leur échec a abouti à leur discrédit. N’oublions pas non plus que les différents libéralismes,
économique, social, religieux ou encore moral, si prégnantes dans notre société,
impliquent le rejet de toute forme
d’ordre et d’organisation officielle.
L’échec d’une idéologie
Pendant des décennies, après
d’indéniables progrès, la médecine n’a consisté qu’à traiter les symptômes, qu’à
nourrir le corps de médicaments, qu’à injecter des vaccins, rejetant toutes les
autres formes qui paraissaient peu rationnelles, peu modernes, dénigrant les
« recettes de grand-mère »
pourtant si efficaces. L’industrie pharmaceutique a bien profité de cette manne
sans concurrence ni véritable contrôle. Elle a aussi été soutenue par l’État. De
même, le regard n’était tourné qu’à une seule forme d’agriculture, une agriculture
intensive, industrielle, démesurée, considérée comme seule capable de répondre
aux besoins et de nourrir la population. L’unilatéralisme
et le totalitarisme ont montré suffisamment de maladresses, d’erreurs et de
fautes graves pour que de nos jours, ils soient légitimement rejetés. « Le
fait que ce qui était autrefois des éléments centraux de la société soit
aujourd’hui perçus comme peu fiable ou dépourvu d’une autorité véritable a créé
un climat dans lequel les individus regardent en eux-mêmes, à la recherche de
sens et de force. Ils se tournent vers les institutions alternatives, dont ils
espèrent qu’elles répondront à leurs besoins profonds. »[8]
Une erreur fondamentale
Enfin, les organisations religieuses traditionnelles, dans lesquelles les
religions sont enseignées, vécues et organisées, ont aussi perdu toute crédibilité. L’Église visible dans sa hiérarchie et
dans les paroisses n’est pas épargnée. Certes, elle subit les critiques que nos
contemporains adressent à toute forme d’institution mais elle se montre aussi incapable de remédier les crises
actuelles et pire encore, elle a épousé
le monde qui en est responsable. Elle est si mêlée au monde actuel qu’elle
ne peut proposer de réelles solutions alternatives et crédibles. Ses discours
sont ternes, son enseignement inaudible et vieilli, sa voix imperceptible. Elle a oublié ce qu’elle devait être pour
se compromettre avec une culture désormais rejetée. Elle a cruellement
manqué de courage et de lucidité. L’aggiornamento a été une dramatique erreur
qui a coûté chèrement à l’Église et aux hommes. « Beaucoup d’entre eux ont rejeté la religion organisée, estimant qu’elle
ne répondait pas à leurs besoins, pour aller chercher ailleurs la spiritualité.»[9]
À la recherche d’une alternative
Or, « le New Age est né, dans une large mesure, en
réaction contre la culture contemporaine »[10].
Conscients des crises qui nous frappent et partageant le même constat, des
scientifiques, des philosophes, des politiques et bien d’autres encore se sont
regroupés et ont partagé leurs idées pour apporter une réponse pragmatique
capable de satisfaire des individus en quête d’un autre monde plus plaisant et
épanouissant. Finalement, il « séduit
surtout parce qu’une grande partie de ce qu’il offre répond à des besoins que
les institutions établies n’ont pas toujours été capables de satisfaire. »[11]
Comme nous l’avons montré, il prend en
compte toutes les dimensions de l’homme, refusant toute restriction dans leur
recherche, et s’oppose fortement à l’unilatéralisme de notre société si imbue
d’elle-même. Les moyens qu’il a développés ont aussi montré leur succès. Une thérapie inefficace n’aurait guère perduré
face à l’immense industrie pharmaceutique.
À la recherche d’une exaltation
de soi
Bien qu’ils rejettent la société dans laquelle ils évoluent, nos contemporains demeurent encore ses enfants et ils en sont naturellement conditionnés.
D’autre part, la société développe l’individualisme, l’égalitarisme, fils de la démocratie ou du libéralisme[12], finalement le culte du bien-être pour aboutir au solipsisme. Le regard de chacun est tourné vers soi comme tout se rapporte à soi. Finalement, tout concourt à développer et exalter une haute idée de soi. Nos contemporains n’en échappent pas.
Notons enfin que nos contemporains sont fortement imprégnés de la culture d’entreprise et celle du
consumérisme comme ils sont enchantés par les nouvelles technologies et les
nouveaux modes culturelles. Ils embrassent tout ce qui excite leur moi et libère leur force créative. Créer et produire
soi-même...
Le New-Age, une solution
attirante
Ainsi, en partageant le même
constant et les mêmes valeurs, le New Age apparaît comme une solution alternative crédible pour nos contemporains. La
pluridisciplinarité et l’interdisciplinarité remettent en cause
l’unilatéralisme de notre monde tandis que les mystères, les forces spirituelles,
inconscientes ou occultes remettent en question la rationalité de notre
société. À cet ensemble en apparence hétérogène et déconcertant, l’holisme apporte du sens et de la
cohérence. Le mouvement du potentiel humain rejoint l’exaltation de soi. La
volonté de s’interconnecter rejoint le besoin social et le désir de relations
humaines.
Des moyens efficaces, un apostolat omniprésent
L’esprit du New Age est
également présent dans des œuvres,
notamment au cinéma et dans la musique. Or, le moyen le plus efficace,
le plus discret pour toucher une âme, pour la désarmer de toute méfiance, pour rendre banales des idées et des idéologies,
demeure l’art sous toutes ses formes.
Mais une solution pas si
différente que cela…
Les moyens qu’il propose
pour sauver l’humanité et la planète sont de même nature que les solutions
miraculeuses qu’ont vendues les faiseurs de rêve de notre proche passé. Ils résident tous en l’homme. Le
bouddhisme occidentale, le mouvement du potentiel humain ou encore les
nouvelles thérapies sont fondamentalement tournées vers l’homme et reposent sur
lui. Le New Age développe encore plus le
culte de l’homme. Or, cette vision anthropocentrique n’est-elle pas la
cause de tous nos maux ?
Les techniques et processus
employés tendent à la maîtrise et à la transformation de soi, au développement
des forces humaines, à la réalisation de sa personne. Ils offrent de nouvelles
expériences, capables d’une expérimentation de soi, c’est-à-dire d’une
excitation du moi, alors considérée comme une richesse. Ils donnent confiance
et décuplent les forces. Finalement, c’est
l’égocentrisme qui se voit ainsi nourrir et par là croître.
La plupart des individus qui
viennent dans les centres de nouvelles thérapies se moquent bien des idées qui
les ont fait naître. Ils restent en fait des consommateurs de produits destinés
à les satisfaire, à leur procurer le bonheur qu’ils ne trouvent pas dans
d’autres boutiques. Ils recherchent leurs effets bénéfiques ou espèrent en
trouver dans des forces mystérieuses. Le New Age fait ainsi fortune et attire
alors bien des entrepreneurs. Il « s’accorde
parfaitement avec les modèles de consommation propres aux sociétés »[15].
Comme il a su s’adapter aux règles du
marché, il a rapidement compris
l’intérêt et la force des nouvelles communications, répandant ainsi son
esprit.
Conclusions
Le New Age apparaît très
intéressant par sa vision plus large et moins étriquée, moins dogmatique et
sans frontière. Il a pu développer des thérapies qui semblent finalement se révéler efficaces au moment où une médecine imbue d’elle-même et de ses
préjugés se heurte à ses limites et à ses erreurs. Car contrairement à la
culture contemporaine, qui ne voit que le corps, réprime l’esprit et méprise l’âme,
le New Age prend en compte l’homme
intérieur, l’homme psychologique, et il s’en sert habilement.
Comme le montre son
évolution, le New Age a également su
parfaitement s’adapter aux règles de notre société et tire de ses moyens,
de ses technologies, de sa culture la force dont il a besoin pour mieux se diffuser. Même s’il apparaît
encore peu structuré et difficilement structurable, il a aussi épousé les grandes préoccupations de notre
monde. Par conséquent, il influence les grandes institutions et les
organisations internationales. Le New-Age détient donc un véritable pouvoir d’influence…
Mais, en dépit des apparentes
nouveautés qu’il propose, le New Age n’est guère différent des faiseurs de rêve
qui ont causé tant de drames et de maux dans notre histoire. Il est habité par le même vice, le même poison,
le même esprit qui a construit le
monde tant détesté et qu’il déteste lui-même. Telle est sa profonde
contradiction. Dans sa vision anthropocentrique, il ne voit en fait le salut
que dans l’homme. Hors de l’homme, point
de salut, telle est sa devise.
Notes et références
[1]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age », 3 février 2003, vatican.va.
[2]
Voir article Les Échos Start, L’étonnant succès du business de la
lithothérapie, Ariane Blanchet, 8 septembre 2020, startlesechos.fr.
[3]
La dépêche, 29/09/2020, Pour connaître le dessous du vignoble expérimental
New Age de Buzet, ladepeche.fr.
[4] Voir Reimagination of the World, David
Spangly, 1991 ou The New Age : the movement toward the divine.
[5] Massimo Introvigne, New Age & Next Age,
éditions Piemme, 2020.
[6]
Voir Émeraude,
janvier 2021, article « Le New Age (3) : l'institut Esalen et le
développement du potentiel humain pour une nouvelle espèce ».
[7]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age ».
[8]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age ».
[9]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age ».
[10]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age ».
[11]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age ».
[12]
Voir Émeraude,
août 2020, articles « Le culte du bien-être : syndrome, obsession,
narcissisme. Réalité de l'égoïsme et du
solipsisme de l'homme moderne » et « Le culte du bien-être :
Tocqueville et la démocratie. De l'égalité à la tyrannie moderne. ».
[13]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age ».
[14]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age ».
[15]
Conseil pontifical de la culture, Conseil pontifical pour le dialogue
interreligieux, Jésus-Christ le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le
« Nouvel Age ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire