Il
est bien difficile de combattre efficacement une erreur si nous ne la désignons
pas clairement. L’encyclique Veritatis Splendor nous met en garde
contre trois courants de pensées novateurs en matière de morale. Elle nous
explique en quoi elles sont dangereuses et en détermine les causes et , comme l’origine.
Elles proviennent toutes d’une notion erronée de la liberté de
l’homme et ont pour conséquence de justifier une morale individualiste
et subjective. Elles manifestent, comme l’écrit le pape Jean-Paul II, une
crise de la morale au sein de l’Église.
Les
théories mises en cause par le pape sont le « proportionnalisme » ou encore le « conséquentialisme », et toutes celles qui en appellent à la
« création créative » et à
« l’option fondamentale ».
Le
proportionnalisme
Le
proportionnalisme, appelé encore « système de la raison proportionnée », détermine uniquement
le mal en fonction de la proportion de l’acte à sa fin. « Il y a raison proportionnée lorsque l’acte
est proportionné à la valeur qu’il poursuit »[1]. La
proportion dont il s’agit ne consiste pas à une comparaison entre des valeurs
dont il faudrait choisir la plus élevée mais entre l’acte et sa fin. La
relation du moyen proportionné à la fin ou à la valeur poursuivie, c’est-à-dire
en fait la finalité, domine le jugement moral. Prenons un exemple. Un voleur
s’accapare d’un bien. Selon cette théorie, l’acte est mauvais parce qu’il nie
le droit de propriété de manière général, donc le sien propre. Ainsi l’acte de
voler implique une négation d’une condition pour le bien même que le voleur
recherche. Il n’y a donc pas de proportion avec la fin et la valeur
recherchées. L’acte est donc mauvais. En outre, il est un devoir d’« admettre un mal si celui-ci est la seule
manière de ne pas contredire directement le maximum de la valeur qui s’y oppose. »[2] C’est le
cas par exemple de la légitime défense ou de la peine de mort. « C’est véritablement un nouveau système moral
qui nous est proposé et va faire école. »[3]
Il
y a donc une différence entre le bien en soi et le bien pour l’individu. Ce
dernier est le bien qu’il lui est possible d’atteindre. « La valeur morale d’un acte dépend des raisons proportionnées pour
lesquelles je détermine ce qui est un bien pour moi, et qui me permet d’éviter
en toute proportion ce qui est pour moi un mal. »[4] Il
n’y a donc plus d’actes intrinsèquement bons ou mauvais, ou dit plus
simplement, de normes absolues en matière morale.
Le
conséquentialisme
John Stuart Mill (1806-1873) |
Le
proportionnalisme relève d’une théorie plus vaste, appelée conséquentialisme [5], « ensemble de théories morales qui soutiennent
que ce sont les conséquences d’une action donnée qui doivent constituer la base
de tout jugement morale de ladite action »[6]. Selon
cette théorie, tous les actes humains produisent inévitablement des effets bons
et dommageables du point de vue de l’utilité. Elles proposent donc d’établir la
qualité morale d’un acte par le moyen d’une comparaison ou d’une proportion
entre les effets favorables et défavorables selon leur rapport à la fin
poursuivie. L’acte est ainsi considéré bon si les effets bons
l’emportent ; il sera qualifié mauvais dans le cas contraire. Ainsi, le
jugement moral posé sur un acte est déterminé par l’estimation de ses
conséquences directes ou indirectes autant qu’elles soient prévisibles ou
déductibles.
Finalement,
le conséquentialisme semble réduire la valeur morale d’un acte à son utilité
quasi technique. « On en voit
tout de suite les conséquences : une certaine relativisation de valeurs
morales fondamentales »[7]. Selon
cette théorie, tout acte doit être jugé non pas a priori mais toujours a
posteriori, par rapport à ses conséquences. Cela revient à nier toute valeur
intrinsèque d’un acte. En outre, il doit être jugé dans la totalité de
la réalité, ce qui nous paraît bien difficile. Le jugement risque
nécessairement d’être probable ou erroné. Ainsi, la valeur est jugée selon des
conséquences non pas réelles mais estimées. C’est la conscience qui la
déterminera en fonction de ce qu’elle appréhende et de ses faiblesses.
Elle-seule fixera la valeur d’un acte toujours selon ses capacités. Enfin, que
devient la responsabilité de celui qui commet l’acte si la valeur de ce dernier
dépend de circonstances qui lui sont indépendantes ?
Nous
pourrions alors conclure de ces théories que finalement, la notion de faute
devient caduque. La notion de péché, qui est au cœur de la morale chrétienne,
n’a plus de sens non plus. Il sera toujours possible d’évoquer des excuses pour
accomplir, avec une bonne conscience, ce que la loi morale interdit. Il y a en
fait une séparation entre la norme morale définie de manière absolue,
valable en tout temps et tout lieu, et la norme de la conscience, qui décide en
dernier lieu ce qui est bon et mauvais.
Pour
conclure, selon les théories conséquentialistes, il ne sera plus possible de
dire qu’un mal est un mal ou qu’un bien est un bien. S’il n’est plus possible
de dire qu’un péché est un péché, il est alors impossible d’éclairer celui qui
le commet ainsi que la gravité de sa faute, et par conséquent, de l’éloigner de
la miséricorde divine et donc de son salut. C’est sciemment le tromper et le
détourner de Dieu. Or, cela est incompatible avec l’enseignement de Notre
Seigneur Jésus-Christ. Pouvons-nous en effet éteindre la lumière et laisser
ainsi le mal sans juge ?
Parmi
les conséquentialistes ou proportionnalistes, nous pouvons nommer Joseph
Fletcher, Peter Knauer, Bruno Schüller, Joseph Fuchs, Louis Jannsens, Richard
McCormick, P. Knauer, B. Haring, etc. Ils reprennent les théories utilitaristes
de Jeremy Bentham et John Stuart Mill.
La
théorie de « l’option fondamentale »
Plus
discrète que les théories conséquentialistes, celle de l’option fondamentale
est encore plus pernicieuse. Elle distingue et sépare les actions morales
spécifiques et l’orientation plus générale, dite fondamentale, de la vie.
Les péchés spécifiques ou encore les fautes commises par des actes particuliers
n’ont pas de réelles conséquences sur l’âme et son salut si l’orientation fondamentale
est bonne, c’est-à-dire si le désir fondamental est de s’unir à Dieu. Ainsi, le
péché mortel ne résulte pas dans une action spécifique mais il apparaît
comme une orientation inscrite au plus profond de la liberté de l’individu
qui rejette Dieu. Selon cette théorie, si un homme choisit Dieu comme
« option fondamentale », il
ne peut jamais pécher ou L’offenser quelle que soit la gravité de ses actions
car fondamentalement, il désire le bien.
Or
il est difficile de séparer dans l’homme l’option fondamentale et les actions
qui mettent en œuvre sa conscience et sa liberté. C’est rompre l’unité de
l’agent moral qu’est l’homme. Que serait en effet l’individu s’il a choisi
Dieu mais agit comme s’il ne L’avait pas choisi ? La foi est morte si elle
n’est pas accompagnée de la charité. Or celle-ci vit dans les actes concrets,
conscients et libres, et par ces actes. Si l’option est Dieu, l’homme doit en
effet agir en conséquence afin d’éviter qu’elle ne soit qu’un sentiment ou qu’un
vain désir.
Les
théories de la conscience créative
Il
est difficile de déterminer si la théorie de la conscience créative,
décrite par l’encyclique, se manifeste au travers d’une pensée bien précise et
réelle. Elle apparaît plutôt comme une tendance qui touche de nombreux systèmes
de pensées. Pour certains commentateurs[8], Thévenot
est un de ceux qui « cautionnent une
approche créative de la conscience morale qui peut décider ce qui est bien et
ce qui est mal ».
Le
théologien moraliste Mélina [9] la voit multiples
avec différentes nuances entre elles. Le point commun de ces théories est de donner
à la conscience la capacité et le droit de formuler des exceptions à la loi. Elles
revendiquent aussi l’impossibilité de la conscience de se tromper. Ainsi, elles
prétendent que la conscience morale individuelle peut se prononcer sur le
bien et le mal de manière souveraine. Ces théories peuvent prendre deux
formes.
La
première forme revendique « le
caractère rationnel du jugement de la conscience » selon laquelle
« une action déterminée doit être
prise uniquement sur la base de motifs raisonnables »[10]. Elle
conçoit alors la conscience, non pas comme une instance de jugement, mais comme
une instance de décision, qui serait elle-même la loi. La conscience est
capable d’évaluer et de décider de manière autonome du bien et du mal.
Elle n’est plus acte de la raison pratique, appliquant au cas particulier la
loi. Elle ne juge pas la conformité d’un comportement concret par rapport à la
loi. Le choix est en effet fondé sur des critères uniquement rationnels. C’est
ainsi que selon cette théorie, l’enseignement moral transmis par le Magistère
n’est finalement applicable qu’en fonction des arguments qu’il soutient et non
pas en fonction de l’autorité qu’il détient. Selon cette théorie, « c’est en fonction de la conviction rationnelle
de la validité de ces normes qu’il faudrait décider »[11].
La
seconde forme base le jugement uniquement sur l’intention du sujet. Elle
fait la distinction entre la vérité « spéculative »
ou « abstraite »,
c’est-à-dire les normes morales, notamment enseignée par le Magistère, et la
vérité « concrète »,
« pratique » à partir de
laquelle seule la conscience est compétente à juger l’action.
La
principale conséquence de ces théories est de rejeter l’autorité de l’Église
en matière de morale.
Un
fond commun
Comme
le montre l’encyclique, ces erreurs ont la particularité de faire de la
conscience la source du bien et du mal et ainsi de contribuer au développement
de l’individualisme et du relativisme moral. C’est ainsi qu’au lieu
d’utiliser le terme de « jugement »
pour définir l’acte de la conscience, le terme de « décision » est plutôt employé. « La conscience n'est plus considérée dans sa réalité originelle, c'est-à-dire
comme un acte de l'intelligence de la personne, qui a pour rôle d'appliquer la
connaissance universelle du bien dans une situation déterminée et d'exprimer
ainsi un jugement sur la juste conduite à choisir ici et maintenant ; on a
tendance à attribuer à la conscience individuelle le privilège de déterminer
les critères du bien et du mal, de manière autonome, et d'agir en conséquence.»[12]
De
bons esprits considèrent alors ce changement comme une marque de maturité
morale. Au lieu de suivre ce qu’ils appellent des normes rigides, abstraites et
peu applicables, l’homme évolue vers le progrès. C’est ainsi qu’ils opposent deux
sortes de normes morales : la norme doctrinale, valable en
générale, et la norme de la conscience, celle qui finalement a le
dernier mot. Cette distinction nous ramène alors à une conception de la vérité,
celle qui nie toute réalité à la vérité absolue. Après un long combat engagé
contre la conception traditionnelle de la vérité, la morale est à son tour
frappée par le refus de l’absolu et finalement par le subjectivisme en
raison d’une conception de la liberté erronée.
Retour
rapide à l’enseignement de l’Église
Pour
mieux comprendre les erreurs que nous venons de décrire rapidement, il faut
revenir à la conception de la morale telle qu’elle est enseignée par
l’Église et qui a inspiré nos lois.
La
morale ne porte que sur des actes dont l’homme peut être responsable,
c’est-à-dire des actes volontaires et délibérés. Ce sont donc des actes
qui procèdent de l’intelligence, qui permet le discernement, et de la volonté
de l’homme, qui manifeste sa liberté. L’état de connaissance de l’homme
influence sa faculté intellectuelle et peut donc changer la nature de la
moralité de l’acte. Il s’agit en fait de l’ignorance et de l’erreur. La volonté
peut aussi être influencée par la crainte et la violence, par l’éducation, le tempérament
ou encore par l’habitude ou la maladie.
Un
acte est dit bon lorsqu’il contribue directement ou indirectement au bien de
l’homme, c’est-à-dire à la fin
pour laquelle il a été créé. La valeur morale d’un acte dépend en fait de
trois éléments :
- l’objet de l’acte, ce à quoi il tend premièrement et naturellement comme à son terme ou à sa fin, c’est-à-dire la nature même de l’acte. Un acte peut être intrinsèquement bon ou mauvais. La générosité est par exemple un acte bon ;
- la fin ou le but de l’agent, qui est la raison qui induit l’agent à son acte. Plus classiquement, il s’agit de l’intention qui dirige l’agent dans l’accomplissement de son acte. Un candidat à une élection qui se montre généreux uniquement pour gagner les faveurs de ses électeurs commet un acte mauvais ;
- les circonstances qui peuvent l’affecter l’acte. Un homme qui est généreux alors qu’il ne peut nourrir ses enfants commet un acte mauvais.
Ces
trois éléments constituent les sources de la morale, d’où découle la
moralité d’un acte. Pour qu’un acte soit considéré bon, il faut qu’au moins un
ces trois éléments soient bons et les autres au moins indifférents. Il est
pleinement bon lorsqu’ils sont tous bons. Il suffit donc que l’un d’eux soit
mauvais pour qu’il soit jugé aussi mauvais. Constatons que l’effet d’un acte ne
change pas la nature de sa moralité.
Or,
les erreurs que nous avons décrites refusent de prendre en compte dans la
moralité de l’acte son objet même. Elles rejettent l’idée qu’un acte soit par
nature bon ou mauvais. Qu’est-ce que cela signifie ?
Le
fond même de la crise morale
Un
acte est intrinsèquement bon s’il contribue au bien de l’homme, et
intrinsèquement mauvais s’il s’y oppose. Son objet est indépendant de l’agent
et du contexte dans lequel il accomplit l’acte. Revenons sur l’exemple du vol. Comment
pouvons-nous savoir que le vol en lui-même est mauvais ? La raison est
obligée d’évoquer les effets de l’acte pour justifier sa moralité ainsi que les
circonstances du vol. La moralité intrinsèque d’un acte n’a en fait de sens que
si elle se rapporte à une loi qui la détermine mais, soulignons-le, à une
loi extérieure à l’homme, c’est-à-dire à un ensemble de principes,
d’obligations, d’interdits que lui impose une autorité, une autorité qui lui
est extérieure et supérieure. C’est là que réside le fond de l’erreur : le
refus de toute autorité qui ne réside pas en l’homme ou qui n’en émane pas.
Dans le système moral que développent les diverses tendances que nous avons
décrites, il n’y a pas de place pour Dieu. Ce n’est pas une conséquence
mais un principe…
Pourtant,
il faut bien discerner le bien du mal. Le conséquentialisme le détermine en
fonction de la proportion qui existe entre la finalité et l’intention de
l’agent. C’est donc la raison qui dicte ce qui est bien ou mal. Pour la théorie
de l’option fondamentale, l’intention générale de l’agent est l’unique source
de la moralité. Pour les théories de la conscience créative, c’est la
conscience elle-même qui la détermine. Selon ces trois erreurs, la loi
morale relève donc de l’individu seul.
Conclusions
Si
la conscience détermine le bien et le mal au lieu de porter un jugement comme
l’enseigne l’Église, la morale est nécessairement propre à la personne. Elle
s’individualise, elle se subjectivise. Elle se fixe finalement sa propre règle
qu’elle applique ensuite dans son existence. Elle n’a finalement pas
d’autres maîtres qu’elle-même. La morale se confond avec ses intérêts.
Mais
alors que devient les lois, qu’elles soient humaines, naturelles ou
divines ? Elles perdent toute signification puisque c’est l’individu qui détermine
leur moralité et justifie l’obéissance à leurs règles. C’est encore l’individu
qui demeure l’autorité suprême en matière de mœurs. Nous allons encore au-delà
des principes de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août
1789 qui définit le principe de toute souveraineté dans la nation. Désormais, l’autorité
réside dans chaque individu, aussi multiple et divers qu’il puisse être. Il
n’y a plus finalement de règles qui obligent, notamment dans les rapports entre
les hommes ou au sein d’une société. Ou plutôt, comme la morale se confond
avec l’intérêt de l’individu, la morale sociale se confond avec l’intérêt du
plus fort.
Les
tendances que condamne l’encyclique Veritatis Splendor contribue au
développement de telles erreurs. Elles les épousent, cherchant à les intégrer
dans l’enseignement de l’Église. Leur but est bien de supprimer toute idée
de normes morales d’ordre absolu peut-être pour concilier l’individualisme
actuel et le rôle de l’Église. Selon un des innovateurs, ses nouveautés
cherchent à donner une nouvelle signification de la religion dans la société
pour répondre à ses nouveaux besoins. Un fait est symptomatique. Il ne parle
plus de morale chrétienne mais d’éthique chrétienne ! Le changement de
vocabulaire n’est pas anodin.
Mais
n’est-ce pas le rôle de l’Église de rappeler que la morale dépasse l’intérêt de
l’individu comme celui du plus fort ? Faut-il alors qu’elle se taise pour
mieux se faire écouter ? Faut-il qu’elle parle comme le monde pour qu’elle
soit mieux entendue ? C’est justement en s’oubliant ce qu’elle est que
les hommes finissent par l’abandonner. À force de compromission avec un
monde qui s’éloigne de Dieu, on tend aussi à s’écarter de Lui et à conduire son
prochain sur un chemin qui l’éloigne de son bonheur…
[1] P. Knauer S. J., La
détermination du bien et du mal moral par le principe du double effet,
V, trad. de The Hermeneutic Function of Principle of Double Effect, dans Moral
Normes and Catholic Traditions, édition Charles Curran and Richard
A.McCormick, New York, Pauline Press, 1975.
[2] P. Knauer S. J., La
détermination du bien et du mal moral par le principe du double effet,
V.
[3] Servais Pinckaers OP,
Ce
qu’on ne peut jamais faire, La question des actes intrinsèquement mauvais,
2e édition 1995, Éditions universitaires Fribourg suisse, Éditions
du Cerf Paris. Servais-Théodore Pinckaers (1925-2008) est un éminent théologien
moraliste et dominicain qui s’oppose à la théorie du proportionnalisme.
[4] Aline Lizotte, La
Newslatter, 28 octobre 2014, asso-afcp.fr, association pour la
formation chrétienne de la personne.
[5] Les deux termes sont
parfois confondus. Des partisans d’un « conséquentialisme » modéré préfèrent se désigner par le terme
de « proportionnaliste ».
[6] Wikipédia, article
« Conséquentialisme »,
consulté le 8 mars 2020.
[7] Servais Pinckaers OP,
Ce
qu’on ne peut jamais faire, La question des actes intrinsèquement mauvais.
[8] Voir Vérité
et Liberté après Veritatis Splendor. Analyse d’une question disputée et
perspectives de recherches, Denis Audet, , avril 2004, mémoire
présentée à l’université du Québec à Trois-Rivières comme exigence partielle de
la maîtrise en théologie, http://depot-e.uqtr.ca/.
[9] Voir L. Mélina, La
morale entre crise et renouveau.
[10] Denis Audet, Vérité
et Liberté après Veritatis Splendor. Analyse d’une question disputée et
perspectives de recherches.
[11] Cardinal P. Georges
Cottier O.P., Présentation de l’encyclique Veritatis Splendor, Nova
et Vetera, 69/1, 1994.
[12] Jean-Paul II, Veritatis Splendor, n°32.
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