Pouvons-nous
en effet rester muets et impassibles devant une attitude et des paroles qui
manifestent clairement un profond manque de respect à l’égard de notre foi
et de notre religion ? En outre, la situation actuelle reflète admirablement
la crise morale que nous étudions.
C’est
pourquoi nous souhaitons étudier l’attitude du gouvernement face à l’épidémie que
nous connaissons aujourd’hui. Nous allons en fait traiter du discours du
premier ministre du 28 avril[1], des
commentaires du ministère de l’intérieur et des cultes et enfin revenir sur l’appel
du président de la république du 16 mars[2].
Le
retour à une vie humaine
Comme
beaucoup de Français, nous avons entendu le discours du premier ministre daté
du 28 avril ? Nous l’avons écouté avec attention. Le sujet est grave.
Après deux mois environ de vie confinée, sans relations sociales et
professionnelles directes, voire sans relation familiale, la situation n’est
guère enthousiasmante. Le pauvre écran de nos équipements et l’environnement
virtuel dans lequel nous avons été plongés ne peuvent satisfaire notre
nature humaine au niveau tant familiale, sociale qu’affective mais surtout
spirituelle.
Notre
âme ne peut se réduire à des lectures, à des méditations ou à des vidéos. Elle
a soif de la réalité concrète, sensible, charnelle. Elle a besoin d’une
présence qu’aucune machine ne peut remplacer. Ses besoins les plus élevés, les
plus intérieurs ne sont pas uniquement spirituels ou immatérielles. De même, la
musique numérique ne peut remplacer un concert, une vidéo un film projeté au
cinéma. La valeur humaine du travail ne réside pas uniquement dans la
réalisation d’objectifs, dans la satisfaction des tâches accomplies ou encore
dans les échanges de mails ou de paroles. Nous avons aussi besoin de contact,
de relations « charnelles », d’une ambiance humaine bien sensible.
Sans-doute, est-ce une des leçons de ce confinement qui nous a éloignés de
nos véritables besoins et de nos profondes aspirations. Mais cette leçon
a-t-elle été entendue ? La vie virtuelle ou numérique n’est pas une vie.
Elle est un simulacre désespérante, déshumanisante…
Une
stratégie décevante
Nous
avons donc longuement écouté le premier ministre présentant aux députés la
stratégie nationale de déconfinement. Le discours commence par les constats et
les contraintes, limités aux problèmes médicaux et politiques. Nous devons
vivre avec le virus, nous rappelle-t-il. L’évidence nous frappe. L’homme n’a
pas cessé de vivre avec les différentes maladies et les dangers de l’existence.
Car la vie est aussi la mort. Cela ne signifie pas que nous devons les ignorer
ou vivre dans l’indifférence. L’homme cherche perpétuellement à s’en protéger.
La vie est un combat. Mais le combat n’est pas uniquement l’affaire de
spécialistes ou d’experts médicaux.
Le
combat n’est pas uniquement d’ordre médical.
Il est vrai que pour nous protéger de toutes les infections, nous devrions nous
enfermer dans une bulle, nous imbiber de vaccins, nous enfermer dans un caisson
étanche. Mais la vie ne s’enferme pas. Pire encore. L’enfermement détruit la
vie humaine, toute vie. Que devient un enfant qui n’est plus en contact avec le
monde dans lequel il doit vivre ?
Le
discours s’attaque en effet au cœur de nos préoccupations. Comment allons-nous
pouvoir vivre avec le virus ? Le premier ministre commence par l’école.
C’est un « impératif de justice
sociale », nous dit-il ! Étonnant. Je pensais que l’école était
d’abord destinée à l’enseignement, voire à l’éducation de l’enfant, aux savoirs,
à son intelligence. Mais laissons les polémiques. Nous savons combien de nos
jours, l’école a perdu tout son sens. Continuons… Il est en effet difficile
pour certains de suivre l’enseignement à distance. C’est pourquoi la maternelle
et les écoles primaires ont l’honneur de voir leurs portes s’ouvrir les premières.
Étonnant. Confrontés à l’enseignement à distance, nous avons vite compris que
plus l’enfant est grand, plus il devient complexe. La mère ou le père confinés
ne savent-ils plus élever leurs enfants, les garder et jouer avec eux ? Qu’importe.
Cela fait longtemps déjà que l’école des très petits n’est qu’un prétexte pour
les éloigner de leurs parents. Continuons. Car l’attente est grande. Voici que
le premier ministre énumère les contraintes qu’il impose pour qu’une classe
s’ouvre. Nous imaginons ces enfants de quatre ans, avec un masque, obligé de
suivre la fameuse « distanciation sociale ». Mais
heureusement, le premier ministre revient sur une évidence. Les petits n’auront
pas de masque. Mais qui est dupe de ce discours ?
Le
deuxième point important est la vie du travail, c’est-à-dire l’économie.
Les commerces s’ouvrent. Les marchés peuvent être autorisés. Les transports
publics seront possibles selon des conditions. Nous pourrons enfin nous
déplacer. Le discours est long. Nous attendons encore l’essentiel. « Enfin, le déconfinement c’est le retour de
la vie sociale. » Enfin…
Le
premier point abordé concerne les relations entre les personnes âgées et leurs
enfants. Le mot n’est pas évoqué. Pourtant, il s’agit avant tout de la vie
de famille. Remarquons que dans ce discours, le terme de « famille » n’est utilisé qu’une fois
pour traiter de la situation « monoparentale »,
c’est-à-dire une forme déviante de la famille. Elle est aussi évoquée en termes
de lieu (« cellule familiale »)
ou de motif valable. La famille n’est-elle que cela ? La famille n’a-t-elle
plus de sens ? Or, que cherchent nos grands-parents ? … Retrouver
le contact familial, ce qui donne sens à toute leur vie, à leur histoire. Notre
inquiétude grandit.
Le
fait religieux insignifiant
Le
premier ministre se préoccupe ensuite du sport, des parcs, des manifestations
sportives, culturelles, des salons professionnels, … Le football est même
évoqué. Notre sourire devient amer. Après cette longue litanie, le premier
ministre évoque enfin la vie religieuse, c’est-à-dire l’exercice de la
religion dans les lieux de culte. Il y interdit toute réunion, tout
rassemblement. En une phrase laconique, il l’interdit le culte religieux dans
les églises et les chapelles.
Nous
sommes attentifs aux paroles du premier ministre, comme beaucoup d’autres
Français et étrangers, catholiques, protestants, juives, musulmans, bouddhistes,
etc., ou plutôt ceux qui ont respecté le confinement. Cela fait beaucoup du
monde. Depuis le début du discours, nous attendions ces mesures avec
impatience. Le premier ministre a en effet raison d’évoquer notre impatience de
retourner à la messe. Mais notre impatience est déjà indignation. Le
sport, les médiathèques, le football sont bien plus importants que la
messe ! Elle devient aussi colère quand pour une raison
inexplicable, la messe est encore interdite. Aucune condition n’est présentée
pour qu’elle soit possible. Le véto est catégorique.
Une
formule incisive, brève met fin à nos espoirs. Il est possible d’aller au marché, de côtoyer la
population dans la rue, de mêler les bambins dans une classe, de se réunir sur
une place. Les petits musées, les bibliothèques, « essentiels pour la vie culturelle de nos territoires », …
peuvent s’ouvrir. Les métros et les RER sont accessibles à tous ! Qui peut
vraiment croire que dans de tels lieux, la « distanciation sociale » sera respectée! Le 13 mai, nous nous
sommes rendus à Paris. Nous avons vu la réalité. Devant une mairie, des
attroupements, des jeux collectifs, des groupes de jeunes. Le métro est certes
moins bondé que d’habitude mais serrés les uns contre les autres, les gens sont
encore amassés comme des bêtes. Le premier ministre laisse en fait toute
diligence aux personnes. Il a confiance en elles. Ce sont des gens responsables.
Les fidèles ne le sont pas. Aucune mesure ne semble être possible pour réduire
les risques dans nos vastes cathédrales. Elles pouvaient accueillir toute une
foule en procession. Elles ne peuvent plus recevoir les fidèles. Pourtant, elles
sont bien plus grandes qu’une classe de maternelle ou qu’un tribunal ! … Le
véto est absolu.
Un
mot quand même pour les enterrements, les funérailles. Les restrictions
demeurent. Pour se justifier, le premier ministre évoque les exemples des
autres pays. Suivons en effet ce qu’il se passe dans nos pays voisins.
L’Allemagne a aussi catégoriquement interdit les rassemblements dans les lieux
de culte mais suite à une décision de la cour constitutionnelle, évoquant une « intrusion
grave » dans la liberté religieuse, la mesure a été assouplie dès le
30 avril. Le gouvernement français aurait dû peut-être prendre exemple de ce
pays. Comme bien d’autres pays comme l’Italie, les cérémonies religieuses sont autorisées
depuis quelques jours…
Le
11 mai, un décret précise les mesures. Il est plus clair, plus laconique,
encore plus incisif. « Tout
rassemblement ou réunion » au sein des établissements de culte « est interdit ».
Une
maladresse ou une conviction ?
Lors
d’une émission de radio, le ministre de l’Intérieur et des cultes exprime sa
pensée sur l’interdiction de rassemblement dans les lieux de culte :
« je pense que la prière n’a pas
forcément besoin de lieu de rassemblement où on ferait courir un risque à
l’ensemble de sa communauté religieuse. »[3]
Revenons
à cet entretien. Le journaliste demande au ministre s’il fait confiance aux
évêques catholiques français quand ils lui ont proposé un plan de distanciation
pour pouvoir rouvrir les églises aux cultes avant le mois de juin. La question
n’est pas anodine. Le 30 avril, Mgr Éric ce Moulins-Beaufort, président de la
conférence épiscopale catholique, informe publiquement qu’à la demande des
services du premier ministre, un plan de déconfinement lui avait été envoyé, mais
un plan que le discours du premier ministre enterre avant même de lui répondre.
« Il n’était pas très élégant, nous
ayant demandé un plan, de l’enterrer, sans nous avoir au moins prévenu de cet
enterrement. »[4]
Le
ministre répond au journaliste que « rouvrir
tous les lieux de culte n’est pas la meilleure idée pour lutter contre la
promiscuité » puis il donne sa vision des choses : non
seulement l’exercice du culte se réduit à la prière mais l’église
n’est pas nécessaire pour prier. Telle est donc la vision du ministre
chargé de l’exercice du culte en France. Comme le soulignent de nombreux
commentateurs, est-ce le rôle du ministre de définir l’exercice du culte dans
les églises et de nous dire comment nous devons prier ? Il a une opinion
bien limitée de la religion, une opinion qui pourrait soulever bien des
inquiétudes sur ses compétences et surtout sur le combat qu’il doit mener
contre le fait islamiste.
Est-ce
encore une des paroles malheureuses de nos politiciens ou une énième
maladresse de ceux qui nous dirigent ? Pourtant, cette vision n’est guère
éloignée de celle du discours du premier ministre. L’exercice du culte n’est
en fait qu’un accessoire aux yeux du pouvoir.
L’appel
du 16 mars
Nous
avons encore en mémoire un autre discours, celui du président de la république
qui annonce les priorités des mesures pour endiguer l’épidémie. Nous ne l’oublions
pas. Nous sommes le 16 mars. Il s’adresse à la nation. L’heure est grave. Le
ton est solennel. « Nous sommes
en guerre », dit-il en effet à plusieurs reprises. Il est
nécessaire d’engager la lutte, le combat contre un ennemi. C’est « la mobilisation générale »…
Dans
ce moment difficile, le président de la république nous rappelle le « sens de l’essentiel ». Il en
appelle à « cette union nationale
qui a permis à notre pays de surmonter tant de crises par le passé. »
Dans une brillante rhétorique, il nous assure que « beaucoup de certitudes, de convictions sont balayées, seront remises en
cause. » Après les sacrifices et l’union des forces, il nous garantit
que « nous serons plus forts
moralement ». Et terminant son discours savamment élaboré, il nous
demande de nous hisser « individuellement
et collectivement à la hauteur du moment. » État de guerre, sens
essentiel des choses, force morale, union nationale…
Le
verbe doit être haut pour restreindre nos libertés et cacher nos misères. Mais
que peut faire un chef militaire avec des troupes si peu armées et délaissées
depuis bien trop longtemps en dépit des nombreux avertissements ? Depuis
trop longtemps, les troupes ont été sacrifiées au nom de la nécessaire maîtrise
des dépenses. L’argent coule désormais à flot. Les milliards s’enchaînent, les
primes s’ajoutent les unes aux autres, étonnant même les heureux bénéficiaires.
Et pourtant, les mots ne peuvent cacher une misère encore bien plus grande.
Un
appel est en effet bien inutile quand il ne veut qu’émouvoir, quand il n’est
qu’une affaire de style. Il est même dangereux. Il apporte déception et
colère quand il n’est qu’une rhétorique. Il est dangereux en effet de jouer
à l’homme providentiel comme en 40…
Une
réalité toute autre
Le
discours du premier ministre, les mesures qui ont suivi l’appel et la pauvre
opinion du ministre de l’intérieur et des cultes révèlent que rien ne change,
que les mêmes pensées dirigent les mêmes actions, que la même vision
conduise à la même politique.
Les
valeurs essentielles ne sont pas les
promenades le long de la plage, le sport, les bibliothèques, les petits musées.
Elles ne résident pas non plus dans le football. Elles ne résident pas non plus
dans la justice sociale, expression si galvaudée que nous ne savons même plus
ce qu’elle signifie en réalité. L’expression même de « distanciation sociale » nous fait
frémir ! Elles ne sont pas non plus portées par l’arrogance ou la vanité.
Certes, dans des situations de crise, la fermeté est vitale mais elle ne se cache
pas derrière des faux-semblants et des mensonges. Le courage ne s’exprime pas …
Les
faits qui ont suivi le discours montrent clairement que rien n’a changé, que les
mentalités persistent dans leurs erreurs. Car où se trouve le véritable
problème ? Dans la conception de l’homme et de la société telle
qu’elle est partagée par nos dirigeants. La famille ne signifie plus rien pour
eux. Le fait religieux leur est inaccessible. La vie morale ne se réduit
qu’à un jeu de mots. L’homme reste à leurs yeux un électeur, un
consommateur, un entrepreneur, ou encore un gilet jaune, un manifestant, un
gréviste. L’intérêt les guide. La peur… Le court terme les aliène… Ils
subissent…
Le
sens des choses
La
situation que nous connaissons actuellement laisse les choses encore inchangées.
Les mots portent toujours les mêmes mensonges. L’état de crise dans
lequel nous sommes n’est pas comparable aux crises que la France a connues. Il
ne réclame pas tant de sacrifices et d’excessivité dans les mesures prises.
Et quand il y a crise, on n’en appelle pas à l’émotion mais aux valeurs qui
font la grandeur de l’homme et des peuples…
La
religion, un loisir ?
La
religion n’est pas un loisir. Les chrétiens persécutés en Orient ne s’amusent
pas. Certains hommes politiques s’en indignaient lorsqu’ils étaient l’objet de
toutes les actualités. Les mêmes hommes s’étonnent désormais de la réaction des
catholiques devant les décisions prises. Les religieux qui secourent actuellement
les Africains et bien d’autres s’amusent-ils aussi ? Nous appelons aussi à
l’histoire. Les martyrs de tous les temps, de l’antiquité jusqu’à la seconde
guerre mondiale, ne s’amusaient pas non plus quand ils se rassemblaient pour
prier et suivre la messe en dépit des dangers et de la mort qui rôdait.
La
religion n’est pas un loisir. Les vastes cathédrales qui font encore la
richesse de notre pays par leur richesse et leur intériorité n’ont pas été
édifiées pour plaire à des touristes ou pour remplir les caisses de l’État. Les
chants et les musiques sacrées qui nous charment encore et nous élèvent ne sont
pas destinés à être écoutés sur YouTube. Les œuvres qui
illuminent nos bibliothèques, enrichissent nos âmes et transforment les hommes
n’ont pas été écrites pour occuper le temps et les esprits…
Pour
terminer, nous songeons à une vieille personne dont la mort ne l’effrayait pas.
Elle savait qu’elle allait mourir un jour. Pourquoi s’en inquiéter, nous disait-elle ?
La mort est inéluctable à la vie. Ce qui la préoccupe surtout était de bien
mourir, de mourir chrétiennement comme elle a vécu chrétiennement. Elle
a aidé bien des gens, souvent des inconnus, en France comme en Afrique. Elle a
été dans de nombreux combats pour défendre la vérité et les plus faibles. Elle
a pu faire l’objet d’incompréhension ou de moquerie. Elle a été insultée, voire
humiliée. Mais, elle a toujours fait face à l’adversité sous toutes ses formes.
Elle n’a jamais accepté le mensonge ou l’hypocrise, signe d’une lâcheté qu’elle
haïssait. Elle a vécu comme elle croyait en dépit des sacrifices qu’elle a
acceptés. La mort, elle n’en a pas eu peur. Lorsque la mort s’est approchée d‘elle,
elle ne l’a pas fui. Elle n’a pas fui non plus devant les souffrances ou la
déchéance physique. Elle voulait partir avec une âme en paix, ses devoirs
accomplis, si possible au milieu de ses enfants. La religion n’était pas un
loisir pour elle. C’était sa vie…
Conclusion
Les
réactions à la situation de crise que nous vivons révèle bien l’état moral de nos dirigeants et donc de notre société.
Certes, les discours montrent de réelles maladresses, voire une profonde
ignorance, mais au-delà des mots, ils traduisent un état d’esprit qui
peut indigner, voire révolter une partie de la population, plus consciente de
la réalité et des valeurs essentielles. Quand on commence à croire que la
religion est insignifiante, que la messe et les funérailles ne sont que peu de
choses, quand on limite des libertés de manière excessive, de manière
disproportionnée à la situation réelle du pays, sans-doute pour répondre à des
troubles qu’excitent des médias toujours en quête d’émotions, la crise
morale devient en effet dramatique et dangereuse.
La
crise est profonde. L’arrogance d’un État, voulant tout contrôler, y
compris au sein de la famille, dictant la manière de penser et d’agir, est-elle
acceptable ? On ne peut pas marcher en piétinant des valeurs, ce qui fait
que l’homme est grand ! La tiédeur de certaines autorités
ecclésiastiques, habituées par le politiquement correct, est un danger. L’absence
d’opposition courageuse dans la classe politique est un danger. Un fait est
à souligner. Seul un parti insignifiant
en termes d’influence et des associations ont osé requérir le Conseil de l’État
pour dénoncer ce qu’il a finalement appelé « une atteinte grave et manifestement illégale ». Nous sommes en
fait dans une profonde crise morale qui annonce des heures sombres. Nous
pouvons craindre le pire…
Notes et références
[1] Voir Discours de M.
Édouard Philippe, premier ministre, Présentation
de la stratégie de déconfinement, assemblée nationale, mardi 28 avril 2020,
gouvernement.fr. Il est précisé que
seul le prononcé fait foi.
[2] Président de la
République, Adresse aux Français du président de la république Emmanuel Macron,
16 mars 2020, elysee.fr. Il est précisé que seul le prononcé fait foi.
[3] M. Edouard Castaner,
émission Le Grand Jury sur RTL-Le Figaro, LCI, 3 mai, article Le Figaro,
publié le 4 mai, lefigaro.fr.
[4] Le Figaro, article du 3
mai 2020, « Le gouvernement prêt à
étudier la reprise des offices religieuses pour la Pentecôte », lefigaro.fr.
[5] De Gaulle, Discours
de l’Hôtel de Ville de Paris, 25 août 1944.
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